A Quoi Bon Punir

membre qui lui a déjà nui et qui pourrait lui nuire encore. – S’il ne s’agissait que de cela, la prison perpétuelle suffirait. À quoi bon la mort ? Vous objectez qu’on peut s’échapper d’une prison ? Faites mieux votre ronde. Si vous ne croyez pas à la solidité des barreaux de fer, comment osez-vous avoir des ménageries ? Pas de bourreau où le geôlier suffit. Mais, reprend-on, – il faut que la société se venge, que la société punisse. – Ni l’un, ni l’autre. Se venger est de l’individu, punir est de Dieu

80 Scène III 82 Scène IV 83 Scène V 86 Scène VI 90 Scène VII 92 À propos de cette édition électronique 94 Adresse Épître de Corneille à Monsieur P.T.N.G. Monsieur, Je vous donne Médée, toute méchante qu’elle est, et ne vous dirai rien pour sa justification. Je vous la donne pour telle que vous la voudrez prendre, sans tâcher à prévenir ou violenter vos sentiments par un étalage des préceptes de l’art, qui doivent être fort mal entendus

L’équité des systèmes éducatifs européens - Les sentiments d’injustice à l’école : paroles d’élèves Quels que soient les termes utilisés, les témoignages des élèves révèlent leur ressenti lors d’événements qui se déroulent à l’école. Il n’est pas opportun d’aborder ces textes en cherchant à estimer leur pertinence ou la gravité « objective » des faits relatés. Il s’agit plutôt de donner l’occasion aux futurs enseignants de mieux comprendre les modes de réactions des adolescents, d’imaginer la

Médée (Corneille) Pierre Corneille Publication: 1635 Source : Livres & Ebooks Adresse Épitre de Corneille à Monsieur P .T.N.G. Monsieur, Je vous donne Médée, toute méchante qu’elle est, et ne vous dirai rien pour sa justification. Je vous la donne pour telle que vous la voudrez prendre, sans tâcher à prévenir ou violenter vos sentiments par un étalage des préceptes de l’art, qui doivent être fort mal entendus et fort mal pratiqués quand ils ne nous font pas arriver au but que l’art se propose

En quoi ce poème est-il un apologue ? I/ PART DU NARRATIF - Parodie de la cours, du procès - Aspecte comique : hommes non supérieur aux animaux - Aspect satirique : Analyse/métaphore sociale - Des persos typés (Lion, Renard, Ane, Loup, communauté des animaux) - Dramatisation (registre tragique : peste, mort, plus d’amour/ de joie (symbole amour avec « les tourterelles se fuyaient ») , aucune activité ne plait aux animaux, allitérations en « R » accentuent impression fatalité, de mort par

La notion de sanctions pénales : définition, nécessités, limites Problématique A travers ce mémoire nous allons nous intéresser à la notion de sanctions pénales, en effet nous allons nous demander en quoi la sanction pénale est indispensable à la société et quelles en sont ses limites ? Plan du mémoire INTRODUCTION p. 3 I. La notion de sanctions pénales p. 3 A. L’objet du droit pénal p. 3 1. Le droit pénal et ses acteurs 2. L’infraction B. L’application de la loi

................90 Scène VII....................................................................................92 3 Adresse Épître de Corneille à Monsieur P.T.N.G. Monsieur, Je vous donne Médée, toute méchante qu’elle est, et ne vous dirai rien pour sa justification. Je vous la donne pour telle que vous la voudrez prendre, sans tâcher à prévenir ou violenter vos sentiments par un étalage des préceptes de l’art, qui doivent être fort mal entendus et fort mal pratiqués quand ils ne nous font

membre qui lui a déjà nui et qui pourrait lui nuire encore. – S’il ne s’agissait que de cela, la prison perpétuelle suffirait. À quoi bon la mort ? Vous objectez qu’on peut s’échapper d’une prison ? Faites mieux votre ronde. Si vous ne croyez pas à la solidité des barreaux de fer, comment osez-vous avoir des ménageries ? Pas de bourreau où le geôlier suffit. Mais, reprend-on, – il faut que la société se venge, que la société punisse. – Ni l’un, ni l’autre. Se venger est de l’individu, punir est de Dieu

membre qui lui a déjà nui et qui pourrait lui nuire encore. – S’il ne s’agissait que de cela, la prison perpétuelle suffirait. À quoi bon la mort ? Vous objectez qu’on peut s’échapper d’une prison ? Faites mieux votre ronde. Si vous ne croyez pas à la solidité des barreaux de fer, comment osez-vous avoir des ménageries ? Pas de bourreau où le geôlier suffit. Mais, reprend-on, – il faut que la société se venge, que la société punisse. – Ni l’un, ni l’autre. Se venger est de l’individu, punir est de Dieu

A quoi servent les exemples ? A quoi servent les exemples ? les exemples correspondent à des cas particulier souvent tirés d’une règle ou d’une généralité mais ce sont également des modèles, paragons suscitant fortement l’imitation dans la vie de tous les jours. Cependant les exemples sont surtout présents pour illustrer, aider à comprendre, ou pour tirer un enseignement… Plusieurs philosophes se sont par ailleurs posés la question des bienfaits des exemples et sur leur nécessité dans la vie