Absolutisme Et Despotisme

Mussolini, Hitler, De Gaulle, etc. On a donc deux conceptions différentes: On appelle dictature un régime où un homme a pris le pouvoir illégalement par la force, et l'exerce sans y être appelé. Dans la terminologie romaine, cela correspond au despotisme ou à la tyrannie. Dans une autre conception, c'est un régime où une personne est mandatée par les organes légaux d'un Etat pour exercer un pouvoir anormal et pour un temps limité, dans des circonstances particulières. Ici, il y a un minimum

opinion quel qu’elle soit est devenue dangereuse. Les conventionnelles vont se diviser en trois groupes : Les montagnards (à gauche)Tout à gauche (200 députés), (ceux qui siègent les plus haut sur les bancs), c’est la haine de l’aristocratie et du despotisme, du fanatisme c’est-à-dire la religion catholique. Ils exaltent le patriotisme, le souci de l’égalité sociale (pas d’élitisme). Ils sont tous affiliés au club des jacobins. Il y a un prince du sang, c’est un cousin de Louis XVI, Philippe Duc D’Orléans

catholiques et protestants puisqu'il fallait combattre diverses théories qui cherchaient à soumettre l'autorité royale non pas à un contrôle aristocratique mais à un contrôle populaire. I. Définition de l'absolutisme, l'exaltation de la souveraineté Absolutisme vient du latin ABSOLUTUS. Pouvoir libéré, dégagé de toutes contraintes, de tous contrôles. Lorsqu'on accole ce mot au mot monarchie, cela veut dire que le pouvoir du roi n'est pas partagé et réside tout entier dans sa personne seule. Il n'a de compte

impraticable dans les grands Etats. Les mécanismes juridiques qu'elle implique sont difficilement compatibles avec les impératifs liés à la stabilité des décideurs et des décisions politiques. En outre, la souveraineté populaire porte en elle un absolutisme qui peut la rendre dangereuse pour les citoyens dans la mesure où elle est de nature à déboucher sur "la tyrannie de la majorité". Toute loi votée par la Majorité est présumée être une bonne loi, expression de la volonté et des intérêts généraux

propres rationalités, son autorité, sa loi. L’Etat est capable à partir du 16è de faire primer sa volonté sur toutes les autres. (Individuelle ou collective). C’est dû à la volonté des rois d’affirmer leurs autorités et aux auteurs comme Jean Bodin (absolutisme). L’Etat était confronté à une Eglise plus puissante que lui parce qu’elle avait un dogme transnational. Quand le schisme s’est produit il est apparu qu’il n’existait plus une vérité mais plusieurs. Cela a fragilisé l’autorité du pape et de l’Eglise

pour Locke. Les droits de nature sont inhérents a l'H. Intervient a ce moment la un contrat social qui fixe les bases d'un état moderne. Par le contrat social les H forment une société politique qui obéit à certaines règles tendant à éviter tout absolutisme, c'est ce que l'on appelle la division des pouvoirs, que Montesquieu reprendra --> avec la séparation des pouvoirs. Liberté, propriété, égalité, sureté (la finalité de l'état) L'état ne donne pas autant de liberté a l'h qu'il pourrait en exister

impraticable dans les grands Etats. Les mécanismes juridiques qu'elle implique sont difficilement compatibles avec les impératifs liés à la stabilité des décideurs et des décisions politiques. En outre, la souveraineté populaire porte en elle un absolutisme qui peut la rendre dangereuse pour les citoyens dans la mesure où elle est de nature à déboucher sur "la tyrannie de la majorité". Toute loi votée par la Majorité est présumée être une bonne loi, expression de la volonté et des intérêts généraux

Britannicus, que Néron, avide de puissance et de jouissance, fit empoisonner, percevant en lui un rival dont la perspicacité était dangereuse), cette mort marquant le début d’un règne cruel, la fin prochaine d’Agrippine qu’il tue parce qu'elle limite son absolutisme et sa liberté, et menace peut-être sa vie.. Chez lui, bien que la réaction décisive de I'empereur soit activée par une blessure de vanité, le conflit entre lui et Britannicus est exclusivement politique : Néron craint d'être renversé par le fils

Britannicus, que Néron, avide de puissance et de jouissance, fit empoisonner, percevant en lui un rival dont la perspicacité était dangereuse), cette mort marquant le début d’un règne cruel, la fin prochaine d’Agrippine qu’il tue parce qu'elle limite son absolutisme et sa liberté, et menace peut-être sa vie.. Chez lui, bien que la réaction décisive de I'empereur soit activée par une blessure de vanité, le conflit entre lui et Britannicus est exclusivement politique : Néron craint d'être renversé par le fils

que chez Hobbes les prérogatives découlent du pouvoir du prince, il va s’agir pour d’autres de rendre ces prérogatives opposables au prince. Tel fut le cas de Godin, Grossius, ou encore Locke. * Raisonnement de Locke : Sa théorie est un absolutisme qui repose sur le pouvoir absolu du prince. C’est un individualisme autoritaire. Mais les droits des individus peuvent ici être opposés au pouvoir : c’est de l’autre côté un individualisme libéral. Locke prend donc le contre pied de la théorie