Adalberon De Laon

parent qui vient revendiquer la succession, son oncle Charles de Lorraine qui est lui-même un Carolingien. Depuis 888, Carolingiens et Robertiens se succèdent sur le trône de Francie. Cette succession commence à agacer un homme, l’archevêque de Reims Adalbéron. Il choisit de privilégier, pour la succession de Louis V, le candidat qu’il juge le plus solide. Il va donc faire campagne en faveur d’un autre candidat que Charles de Lorraine : Hugues Capet (petit-fils de Robert le Fort). Pour écarter Charles

corps, la maladie permet à l’âme de sortir du corps et d’y revenir. Ils racontent par la suite leurs visions. * Le jardinier HEM Cours n°5 05.11.2009 La tripartion de la société médiévale - Bellatores (guerriers, chevaliers…) Adalbéron de Laon - Oratores (priants…) - Laboratores (font fructifier la terre….) Fin XII : 12000 moines clunisiens, 1100 à 1200 structures. Moteur du monachisme occidental : les moines recherchent le désert, la solitude (forêt, …) Il y a une idée de

supériorité du pape va être combattu au 13è siècle, et cela va donner naissance au conflit des deux glaives (le glaive temporel et le glaive spirituel) le temporel va l'emporter. 3. Les données sociales Aux alentours de l'an 1000 des eveques comme Adalberon de laon et Gerard de Cambrais rpz la société répartie en 3 ordres et dans cette division tripartite ils vont inclure les ecclésiastqieu. Cette division repose sur une notion : l'ordre qui vient du latin ordo qui veut dire "genre de vie". A partir de

naissance de ces ordres. 1) Ordres Gérard de Cambrai & Adalberon de Laon, sont deux ecclésiastique au rôle politique important. Ils écrivent dans le premier quart du XI è siècle. De Cambrai dans sa biographie va constater qu'il existe trois fonctions différentes au sein de la société : celles des gens de prière, des agriculteurs et celle des gens de guerre. Si ces ordres sont distincts les uns des autres il y a malgré tout une unité. Adalberon dans son poème au roi Robert évoque aussi la division

choisir Charles le Simple comme succésseur. En 922, il est deposé. Les Robertiens n’ont toujours pas d’héritiers, ils negocient alors des avantages. La légitimité carolingienne s’appuie sur des points forts comme les évéchés et les archés (ex. évéché de Laon). Il y a un enjeu pour contrôler ces 2 evéchés par les Robertiens. Néanmoins, le modele carolingien va avoir encore de l’influence. En Germanie, territoire qui n’est plus carolingien depuis le début du 10eme, le système carolingien se rétablit progressivement

vont degager ceux qui prient, ceux qui combattent et ceux qui travaillent. Cete classification va aboutir a une veritable distinction juridique netre les individus et se degagent alors des ordre (lat. ordo = statut juridique). C’est l’eveque adalberon de laon qui va finalement definir cette division tripartite de cette societe. Il va exprimer cette idee dans la premiere partie du Xie siecle. Il va les qualifies du terme oratores ceux qui prient, ceux qui combatent par bellatores et ceux qui travaille

envahisseurs. A la mort d’Eudes, un carolingien est élu, Charles le Simple. En 922, il est déposé par les électeurs. Un autre roi est choisi : Robert (robertien). En 936, le roi est à nouveau un carolingien : Louis IV. En 987, il faut choisir un roi. Adalbéron a bcp poussé le choix sur Hugues Capet. Le principe d’hérédité de la fonction royale a été malmené. Le partage du royaume a disparu. SECTION 3 : L’évolution de l’église L’église a maintenu son organisation mais l’a adapté. Isidore de Séville

et cela va mettre fin au chassé croisé, en 987, à l’instigation d’Adalbéron, archevêque de Reins, l’assemblée des Grands porte à nouveau son choix sur un robertien, qui s’appelle Hugues Capet. Celui-ci est sacré roi à Noyon par la même Adalbéron — Adalbéron qui a comploté pour que Hugues Capet soit élu. C’est une date très importante car cela met fin au chassé croisé et surtout avec le petit Hugues Capet commence la ligné des capétiens, et cela jusqu’à la révolution. On nomme ça donne la troisième

proche parent qui vient revendiquer la succession, son oncle Charles de Lorraine qui est lui-même un Carolingien. Depuis 888, Carolingiens et Robertiens se succèdent sur le trône de France. Cette succession commence à agacer un homme, l’archevêque Adalbéron de Reims. Il choisit de privilégier, pour la succession de Louis V, le candidat qu’il juge le plus solide. Il va donc faire campagne en faveur d’un autre candidat que Charles de Lorraine : Hugues Capet (petit-fils de Robert le Fort). Pour écarter

proche parent qui vient revendiquer la succession, son oncle Charles de Lorraine qui est lui-même un Carolingien. Depuis 888, Carolingiens et Robertiens se succèdent sur le trône de France. Cette succession commence à agacer un homme, l’archevêque Adalbéron de Reims. Il choisit de privilégier, pour la succession de Louis V, le candidat qu’il juge le plus solide. Il va donc faire campagne en faveur d’un autre candidat que Charles de Lorraine : Hugues Capet (petit-fils de Robert le Fort). Pour écarter