Adalberon De Laon

versement des taxes. Les services militaires du vassal, au 14ème siècle, ne sont plus requis par contre il doit fidélité au suzerain. Section 3 => La société féodale : une société hiérarchisée et inégalitaire 1/ La distinction en ordre Adalbéron, évêque de Laon, autour de l’an mil, va décrire la Sté dans laquelle il vit en distinguant 3 états correspondant à 3 fonctions : Les oratores, ceux qui prient et qui correspond au clergé Les bellatores, ceux qui combattent et qui correspond à la noblesse

distinction sont ethnique et la société n’es pas structuré comme il se doit. Avec les seigneuries, chacun occupe une place bien précise suppose de structuré la société en 3 ordres. Selon la tache de chacun dans la société elle nous a été révélée par Adalbéron de Laon évêque. Il a identifié l’ordre de ce qui prie le clergé. Au coter du clergé qui pris. Ils nous disent qu’il y a ceux qui combattent. Ceux portent les armes. Pouvoir de protection de la population. Ce sont les seigneurs qui intègrent ici l’ordre

cette époque à une simplification des statuts sociaux avec un événement vers le bas, c'est à dire que les statuts sont moins confortables. Cette simplification débouche sur une organisation de la société en trois groupes présentée par l'évêque Adalbéron de Laon. C’est un poème adressé à Robert II, vers 1025, qui présente une société chrétienne composée de trois groupes :  Les plus importants sont ceux qui prient, les oratores. Clercs, moines, tous prient pour le Salut de leurs congénères. La prière

d’ordre. Il y a une structuration juridique très forte car il existe des règles très précises établissant les règles et les droits des citoyens dans une société. Des textes littéraires de l’époque décrivent cette période, dont le texte de Adalbéron de Laon, évêque qui jouait un rôle assez important dans la société carolingienne finissante : il exerçait des fonctions politiques comme les seigneurs, et composa en 1030 un poème qu’il dedia au roi Robert II Le Pieux qui était le deuxième roi de la

représentée par les seigneurs. Les paysans n’existaient pas en tant que tels et n’avaient donc pas de représentation politique. A partir du XVème siècle, le tiers-état est un ensemble disparate. Au début du XIème siècle (capétiens), ADALBERON, évêque dans la ville de Laon, dans un poème au Roi Robert II dit le Pieux, ainsi que Gérard de Cambrai, évêque également, dégagent l’idée que la société comporte deux grandes catégories : les clercs et les laïcs. Au sein de cette seconde catégorie, il y avait

représentée par les seigneurs. Les paysans n’existaient pas en tant que tels et n’avaient donc pas de représentation politique. A partir du XVème siècle, le tiers-état est un ensemble disparate. Au début du XIème siècle (capétiens), ADALBERON, évêque dans la ville de Laon, dans un poème au Roi Robert II dit le Pieux, ainsi que Gérard de Cambrai, évêque également, dégagent l’idée que la société comporte deux grandes catégories : les clercs et les laïcs. Au sein de cette seconde catégorie, il y avait

toute la hiérarchie des honores, des charges publiques. Finalement, ce chassé croisé s’arrête en 987 à l'instigation d'Adalbéron. L'assemblée porte à nouveau son choix sur un Robertien, Hugues Capet. Il est sacré Roi un mois plus tard à Noyon par Adalbéron. Avec lui commence la lignée des Capétiens. En 987 on entre dans la dynastie Capétienne. Cette lignée se succédera sur le trône de France jusqu'à la révolution. Hugues Capet est le fis d’Hugues le Grand (que l’on vient de voir), le duc des Grands

originel. Le sacrement du baptême marque l’entrée dans la communauté chrétienne : ce qui définit un chrétien c’est le fait d’avoir été baptisé. Doc. 4 :  a société chrétienne selon L Adalbéron de Laon Dans son Poème au roi Robert (Robert II, 996-1031), écrit vers 1020, Adalbéron de Laon, évêque de Laon, décrit une société hiérarchisée, une société divisée entre ceux qui prient (oratores), ceux qui combattent (bellatores) et ceux qui travaillent (laboratores, les paysans). Cette division

mieux de ses désirs. Et s'il désire vivre tranquillement sur son alleu, que nul n'ose l'en empêcher d'une manière quelconque et qu'on ne lui réclame rien d'autre que le seul devoir d'aller défendre sa patrie. III. LA FEODALITE 31. ADALBERON, évêque de LAON, Poème au roi Robert, vers 1025 (éd. et trad. C. CAROZZI, Paris, 1979, p. 20-22). Dieu a établi l‟’Eglise […] et ses ministres dont il a réglé la hiérarchie […]. Il leur a soumis par ses commandements le genre humain tout entier ; quand

en fonction de leur statut. Ce sont les clercs qui vont poser cette distinction juridique en ordres. Le terme d’ « ordre » vient du latin « ordo », ce qui désigne le statut juridique. Le premier qui conçoit cette terminologie est l’évêque Adalbéron de Laon qui va exprimer de façon claire et juridique la division en trois ordres : les oratores, les bellatores et les laboratores. Dans son esprit, chaque ordre est affecté, dans la société, à un rôle particulier et l’idée est que chacun doit se tenir