Adam Michnik

le travail : des connaissances sur le travail, sur les métiers doivent devenir publiques. Ils citent le mémoire de Perronet et reprennent l’exemple de la manufacture d’Etat En 1776, l’ouvrage d’Adam Smith, La richesse des Nations, dans cet ouvrage Adam Smith reprend l’exemple de la manufacture d’épingle sans citer ses sources. La division du travail ne va pas cesser pendant tout le 18èmes siècles. La croissance économique va en découler. En 1785, KANT, « Les fondements de la métaphysique

Introduction à la connaissance économique (TD) * « Les 3 devoirs du souverain ». Adam Smith (p.13-14) Dans le cadre libéral l’Etat a un rôle indispensable, mais résiduel. L’initiative individuelle a des répercussions positives sur l’intérêt général, grâce à la Main Invisible qui régule tout. L’Etat Gendarme concentre ses efforts sur la sécurité nationale, la police et la justice. Il prend aussi en charge des services collectifs d’intérêt public lorsque le financement individuel est impossible

A. La division du travail À partir du moment où, dans une entreprise, les tâches se répètent et nécessitent plusieurs personnes, la division du travail devient nécessaire. Les premières références à la division du travail sont à trouver chez Adam Smith avec l’exemple de la fabrique d’épingles. L’organisation scientifique du travail résulte de cette logique en séparant le travail de conception et d’exécution et en parcellisant les tâches. On distingue : – la division verticale qui détermine

Genèse nous limitera ainsi dans le temps (XVI è jusqu’à la fin du XVIII è où elle trouve véritablement sa source). Plan : Premier semestre : Partie I : Les précurseurs de la pensée économique moderne (début XVI è et fin XVIII è) Partie II : Adam Smith, fondateur d’une pensée économique moderne et d’une première version acceptable du libéralisme économique. Partie III : Les Classiques (première moitié du XIX è jusqu’à 1840) Second semestre : Partie IV : Pensée économique de Karl Marx et

Pour comprendre la genèse de la gestion moderne des organisations, il convient aussi de revenir sur l’apport des économistes classiques qui ont proposé au cours du XIXe siècle des concepts utilisables en matière d’organisation des entreprises. Adam Smith (1776) a notamment introduit la nécessité d’une division du travail, David Ricardo (1817) préconise très tôt la spécialisation des tâches et Jean-Baptiste Say (1803) suggère d’inclure les activités de services dans les activités productives

l’origine de la théorie de la concurrence dans les travaux des fondateurs de l’économie classique du 18ème siècle tels que : Page 4 sur 18 Marketing Stratégique – Etude de la concurrence • • Bernard MANDEVILLE dans « La Fable des abeilles » Adam SMITH et la théorie de la main invisible dans « La Richesse des nations » SLIMANI Omar Ils ont voulu démontrer que la concurrence entre les activités individuelles, motivée par des intérêts également individuels, aboutissait spontanément à un

facteurs) et de l’affectation de cette production. Les individus décident de la vente de leur force de travail et de l’utilisation des revenus qui en résultent. Dans leurs choix, entreprises et individus sont guidés par leurs seuls intérêts. Adam Smith, le ‘père de l’économie’ avait déjà stipulé en 1776 que ces échanges décentralisés, basés sur les seuls intérêts des participants, aboutissaient à l’intérêt général, sans qu’une force centrale ne se mêle. Il introduit le principe de la main

précis. Ce mode de régulation est soutenu par les économistes libéraux classiques comme Adam Smith, Jean-Baptiste Say et David Ricardo. A) Les principes de la régulation par un marché concurrentiel Les intervenants sur le marché sont chacun animés d’un égoïsme qui les pousse à vouloir obtenir un bien de façon rentable. Ainsi, cette régulation est basée sur l’existence d’une main invisible, selon Adam Smith, qui régule de façon à obtenir un prix d’équilibre. L’Etat n’intervient que pour veiller

entreprises impliquées dans une action concurrentielle forte. Du fait des économies d'échelle et dans la mesure où l'entreprise cherche à élargir son marché, les produits sont vendus moins chers. Suivant des lois économiques bien connues et analysées par Adam Smith et David Ricardo notamment (« La première croyance est que, s'il y a un gagnant à l'échange, il y a forcément aussi un perdant. Conjuguée au "fétichisme monétaire", cela conduit à penser que les exportations sont "bonnes" tandis que les importations

Que signifie exactement cette curieuse métaphore ? Mais d’abord, est-on sûr qu’elle est une création du philosophe et économiste écossais ? L’idée selon laquelle les intérêts s’harmonisent d’eux-mêmes sur le marché est loin d’appartenir en propre à Adam Smith. Sur ce point comme sur d’autres, il est un auteur de synthèse. Dès le XVIIème siècle, cette conception s’élabore dans des milieux intellectuels très différents. L’un des cercles qui aura le plus fait pour la diffuser est celui des jansénistes