Adam Smith Laisser Faire Les Hommes Laisser Passer Les Marchandises Laisser Faire Laisser Passer

l’utilité totale croît (mais moins vite) Si l’utilité marginale est de 0, l’utilité totale est à son maximum Si l’utilité marginale est négative, l’utilité totale décroit Arnaud Pêtre - 2010 8 4 Exercice Ryanair à besoin de 50.000€ de pour faire voler un avion entre Charleroi et Lisbonne. Il y a 200 places. LA compagnie ne doit donc pas vendre le billet à moins de ?. Mais il reste 10 places 2 jours avant le départ La compagnie vend en last minute les billets restants, à quel prix peut elle

le même objet, mais c′est selon l′éclairage de cet objet qu′on va voir ressortir tel ou tel aspect... I - Comment naît un marché ? Tout un pan de l′économie est bâti sur une hypothèse, énoncée par Adam SMITH : c′est la naturalité de l′échange, il existerait un « penchant naturel des hommes » à échanger, et que c′est de l′intérêt individuel qui naîtrait l′intérêt des autres. 1) Questions sur la nature de l′échange Pour Karl POLANYI il y a une diversité des formes sociales de l′échange

justifient le fait de limiter l’accès aux marchés nationaux pour les étrangers. LE LIBRE ECHANGE Le libre-échange est une doctrine prônant une organisation fondée sur la liberté du commerce entre les nations. Il repose sur le « laisser faire, laisser passer » et s’oppose à toute entrave qui limiterait les échanges. Selon ses défenseurs, il est source de croissance et de développement. 1 Les théories du libre échange 1 Les théories classiques Elles ont été élaborées de la fin du

concurrent. » C'est ainsi une science morale qui va utiliser les valeurs, l'intuition et l’éthique. Quelque chose qui s'occupe des motivations, incertitudes psychologique,... Non constant et homogène. C'est une science douce. On comprend que les hommes aient des besoins limités, ils veulent toujours plus, l'économie va donc essayer de résoudre ce paradoxe-là. Dans l'antiquité on parlait d'économie domestique. Petit à petit on s’intéresse à la cité, on résonne sur des ensembles plus vastes. A partir

doute : un pays peut toujours tirer parti du commerce avec d’autres nations. Avec une telle proposition Ricardo pose les fondements au début du XIXe siècle de la doctrine libre-échangiste, doctrine qui s'inscrit dans la pensée libérale initiée par A. Smith. Cette grande vertu attribuée au libre-échange marque une rupture évidente avec la conception mercantiliste du commerce international qui avait prévalu jusque-là. Les Mercantilistes portent toute leur attention sur l'enrichissement de la Nation, enrichissement

richesse les agriculteurs les artisans et les commerçants intermédiaires Créateur de richesse Agriculteurs Commerçants Consommateurs Propriétaires Les physiocrates ont une pensée économique libérale (laissé faire) II – Les auteurs classiques 1- ADAM SMITH (1723 – 1790) théorie de la valeur des prix : il adopte une théorie reposant sur la valeur du travail incorporé dans un bien ou dans un service ; pour cela il distingue la valeur d’échange qui exprime le pouvoir d’acheter

doute : un pays peut toujours tirer parti du commerce avec d’autres nations. Avec une telle proposition Ricardo pose les fondements au début du XIXe siècle de la doctrine libre-échangiste, doctrine qui s'inscrit dans la pensée libérale initiée par A. Smith. Cette grande vertu attribuée au libre-échange marque une rupture évidente avec la conception mercantiliste du commerce international qui avait prévalu jusque-là. Les Mercantilistes portent toute leur attention sur l'enrichissement de la Nation, enrichissement

l'observation et de la formalisation (généralisation). L'exigence ici est la rationalité. On pose déjà que le marché, l'échange libre est au fondement de l'économie. ------------------------------------------------- Chapitre 2. Les classiques. * Adam SMITH (1723-1790) publie en 1776 Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations. * Thomas Robert MALTHUS (1766-1834) entre 1798 et 1803 publie Essai sur le principe de population. * Jean-Baptiste SAY (1767-1832) publie en 1803

prévision, erreurs d'analyse, erreurs conceptuelles, erreurs de diagnostic, erreurs de jugement, erreurs de raisonnement, elles ont au moins un point en commun : elles auraient pu être évitées, s'il n'y avait eu souvent au départ l'intention de bien faire. « L'erreur, écrit Descartes, n'est pas une pure négation, c'est-à-dire n'est pas le simple défaut ou le manquement d'une perfection qui n'est point due, mais c'est une privation de quelque connaissance que je devrais avoir» (Méditations, TV, 4)

Étymologie Le terme vient du latin mercari, « faire du commerce », et de la racine merx, « la marchandise ». Le marquis de Mirabeau est le premier à employer le terme en 1763 qui est popularisé à partir de 1776 par Adam Smith 2. Origines du Concept Pour certains auteurs le mercantilisme n'est pas un courant de pensée en tant que tel. Pour plusieurs historiens de la pensée économique, comme Joseph Schumpeter et Lars Magnusson3, le mercantilisme a pris corps en tant que système au XIXe siècle