Affixe

la partie réelle et b la partie imaginaire de ?. Le module de z est : | ?| =   √? + ? Le complexe conjugué de z est : ?̅ = ? − ?? Le plan complexe (0, ⃗, ⃗) orthonormé direct est la représentation graphique qui associe un ? ? ⃗ nombre z à un affixe M de telle sorte que : ?? = ?  ? + ?  ? ⃗ ⃗.  Cela  nous  permet  d’introduire   la  notion  d’argument  de  z : ???(?)   =   (? ??) ⃗, ⃗ II) Notation trigonométrique, notation exponentielle et formules d’Euler Notations trigonométrique

automobile, un livre intéressant). L’adjectif préposé marque une caractéristique qualifiante très souvent assez générale (grand/petit, bon/mauvais, jeune/vieux, vrai/faux). En autre il peut exprimer des valeurs très proches des déterminatifs ou des affixes en remplissant une fonction semiauxiliaire: les nombreux adhérents, son propre fils, l’ancien député (= ex-député), le nouveau sujet, etc. A la différence des adjectifs postposés les adjectifs qui précèdent le nom constituent le plus souvent

irréductible) x -a a x² + b x + c (x - a)² Pré-requis : Programme de Terminale STI Contenu • Trigonométrie et fonctions trigonométriques • Nombres complexes (module, argument, racines carrées, cubiques) • Eléments de géométrie dans le plan complexe (affixe d’un point, d’un vecteur, produit scalaire, etc.) • Formules trigonométriques (a cos 2πf t + b sin 2πf t = A cos (2πf t + ϕ), etc.) • Réciproques des fonctions trigonométriques • Factorisation de polynômes de degré peu élevé • Equation de degré

irréductible) x -a a x² + b x + c (x - a)² Pré-requis : Programme de Terminale STI Contenu • Trigonométrie et fonctions trigonométriques • Nombres complexes (module, argument, racines carrées, cubiques) • Eléments de géométrie dans le plan complexe (affixe d’un point, d’un vecteur, produit scalaire, etc.) • Formules trigonométriques (a cos 2πf t + b sin 2πf t = A cos (2πf t + ϕ), etc.) • Réciproques des fonctions trigonométriques • Factorisation de polynômes de degré peu élevé • Equation de degré deux

paramètre) associe un point du plan. On peut aussi x(t) la noter f : D ⊂ R → R2 , pour insister sur ce fait, ou écrire en abrégé t → M(t) ou t → ou enfin, y(t) t → M(t) x(t) t → z(t) = x(t) + iy(t) avec l’identification usuelle entre le point M(t) et son affixe z(t) = x(t) + iy(t). Par la y(t) x = 3 ln(t) , t ∈]0, +∞[ ou suite, un arc sera fréquemment décrit de manière très synthétique sous une forme du type y = 2t2 + 1 it aussi z = e , t ∈ [0, 2π]. Il faut dans ce cas comprendre que x et y désignent des

alors l’équation admet deux racines com- Qu’est-ce qu’un nombre complexe conjugué ? complexe z  =  x  – iy. Dans le cas d’une équation faisant intervenir  z , le Dans le plan complexe, si le point M a pour affixe z conjugué de z, ou son module |z|, on pose z = x + iy, et M′ pour affixe z, alors M et M′ sont symétriques puis on fait appel au théorème suivant  : deux par rapport à l’axe des abscisses. nombres complexes sont égaux si et seulement s’ils V O ont même partie réelle et même partie

 y= 2  y =− 4  y =0  y =0      3 3 1 1  Conclusion : S = i ; ;−  ; −i 2 2 2   2 Corrigé séquence 6 – MA02 199 Deux points images sont sur l’axe des imaginaires purs et symétriques par rapport à l’origine du repère car leurs affixes sont opposés. Les deux autres points images sont sur l’axe des réels et sont de même symétrique par rapport à l’origine du repère. Le quadrilatère formé par les quatre points images est donc un parallélogramme (les diagonales se coupent en leur milieu)

douleur 89. L’affection 90. L’étonnement 91. La joie 92. La souffrance. COURS 25 : LES MOTS ET LEURS SIGNIFICATIONS Objectifs du cours : à la fin de cette leçon, l’apprenant devra être capable de noter le sens des mots après avoir identifié les affixes. Corpus : Introduction La plupart des mots français viennent du latin et du grec. Ceci veut dire que pour comprendre leurs significations, il faudra remonter au sens originel latin ou grec, c’est l’étymologie. Voilà pourquoi nous intéresserons

seul 46 axiome de départ. Tout en permettant d’exclure les phrases agrammaticales, les grammaires syntagmatiques contextuelles fournissent des explications très lourdes et inélégantes de la coordination et des constituants discontinus (auxiliaire + affixe de passé, passif analytique, …) [1, chap. 5], et échouent à expliquer les relations de paraphrase (l’exemple privilégié étant ici le couple passif/ actif) ou l’ambiguïté de construction (j’ai vu manger des poulets, ou poulets est soit le sujet soit

nombres complexes La construction de C n’est pas exigible. Parties réelle et imaginaire, forme algébrique. Opérations sur les nombres complexes. Conjugaison : définition, compatibilité avec les opérations. Le plan étant muni d’un repère orthonormal, affixe d’un point, d’un vecteur et image d’un nombre complexe. ¯ MoModule d’un nombre complexe. Relation |z|2 = z z. dule d’un produit et d’un quotient. Inégalité triangulaire, cas d’égalité. Notations Re(z), Im(z). Interpréter géométriquement le conjugué