Agir Moralement

qui ne sont pas d’un accès facile. Mill introduit également une différence importante concernant le fameux calcul des conséquences. Selon lui, il est inutile, inefficace et moralement erroné de calculer les conséquences possibles d’une action à chaque fois que nous voulons poser un geste dans un contexte moralement problématique. D’abord, on n’a pas le temps, car l’action est souvent pressante, ensuite cela donne souvent des résultats qui contredisent nos convictions morales habituelles.

savoir, le propriétaire décide de se départir des livres interdits Sous argument #1.2 : La population entière semble agir sous l’influence du clergé « Eh ben, c’est pas bon pour la santé icitte de contrer les curés. Les ficelles, c’est eux autres qui les ont, vous comprenez … » p.104 Explications : Métaphore expliquant que le clergé dirige tout dans le village Les gens doivent agir sous l’influence du clergé, ce qui brime la liberté individuelle Argument #2 : Le personnage principal défie l’autorité

Titre l’ouvrage : Savoir vivre ensemble (Un essai sur la thérapie sociale agir autrement contre le racisme et la violence de Charles Rojzman avec Sophie Pillods, éditions La découverte collection Poche/essais) Bibliographie : Caractéristiques : Parution : mars 2001 (2ème édition) / Première édition chez Syros (1998) Nombre de pages : 294 pages Enseignant à l'université Nancy 2 en DESS de psychologie des actions interculturelles, il a fondé Transformations thérapies sociales et Impatiences

ENSLER I- Biographie, bibliographie et réception de l’ouvrage pas les lecteurs Biographie : Eve ENSLER est née le 25 mai 1953 à new York dans une famille aisée. Lorsqu’elle était enfant, son père abusait d’elle aussi bien sexuellement que moralement. Cela s’est arrêté à l’âge de 10 mais la souffrance demeurait. En effet, sa mère savait pour la maltraitance de sa fille mais elle n’a jamais rien dit. Sans doute parce qu’elle avait peur des représailles de son mari. A partir de cet instant, elle

de Troie, parce que ses actes sont impulsifs et non pas réfléchis. Achille agit sous le coup de la colère ou de l’amour propre blessé, il ne prend jamais le temps de la réflexion . Or il ne suffit pas d’être actif et de prendre des risques pour bien agir, encore faut-il que l’action soit réfléchie pour être efficace, ce qui implique une stratégie c’est à dire une intelligence de la situation et des forces qui permette de triompher des obstacles qu’elle dresse devant soi. A cet égard Ulysse n’est pas

psychologique des tendances naturelles de l’homme. Une fois établie la fin que l’homme doit vouloir, on peutdéterminer les principes qui lui permettent d’atteindre cette fin.S’il est difficile à présent d’accepter que Mill soit le promoteurd’une conception moralement exigeante de la liberté qui ne saurait seréduire à l’indépendance à l’égard d’obstacles extérieurs, c’est enraison d’une lecture rétrospective à partir des théories politiques quiont privilégié la liberté des Modernes ou la liberté négative, et

(science de l'âme) et la médecine (science de l'union de l'âme et du corps). La morale doit donc pouvoir se déduire de la physique. Cependant, il faudrait attendre pour cela que la métaphysique et la physique soient déjà constituées. Or, il faut bien agir malgré tout et se donner des règles de conduites provisoires. Ce sont les règles de la prudence qui procure "par provision", c'est-à-dire de façon temporaire, provisoire, la tranquillité nécessaire à la réflexion. Ainsi, Descartes prône une forme de

l’est toujours. On se demandera donc s’il est toujours moral de se conformer à ses engagements ou à ses promesses. Mais aussi, s’il est possible de rester fidèle, sans par là-même porter atteinte à la moralité. La fidélité est-elle fondée, à la fois moralement et dans l’être de l’homme ?La question qui nous est posée comporte une certaine ambiguïté : en effet, elle demande si on doit rester fidèle. Tout se passe donc comme si devoir d’être fidèle ne faisait pas problème : la difficulté porterait seulement

l'on fait. Deuxièmement, il va falloir expliquer et définir ce que c'est que la vertu donc selon le Larousse c'est la disposition spirituelle à agir avec persévérance en accord avec la loi divine. Pour les explications, tout comme Socrate et Platon il y a des gens que la chose la plus importante de leur vie c'est de devenir quelqu'un de vertueux moralement. Cela veut dire que tu n'as jamais fait de mal et tu n'en feras jamais, tu ne feras que du bien autour de toi. D'un autre côté, on pourrait dire

Cette dernière met en avant deux idées: l'outil qui est donc un objet qui sert a faire quelque chose, puis la liberté, dont il s'agit d'être libre physiquement et moralement (être autonome indépendant, être son propre libre-arbitre).Donc, un roman ou une œuvre littéraire peuvent-ils permettre aux lecteurs d'être indépendant, à agir selon son libre-arbitre, ou de se sentir physiquement libre? Dans un premier temps, nous allons nous intéresser au coté néfaste de la lecture, puis dans un deuxième