Albert Zafy

L’ETRANGER Albert Camus. Albert Camus est né en 1913 en Algérie, et mort en 1960. C'est un écrivain faisant parti du mouvement de l'absurde. Camus a écrit l’Étranger en 1942. Ce roman fait parti du mouvement de la littérature engagée. C'est un court roman moraliste qui retrace la vie d'un jeune homme du nom de M. Meursault. « Meur » renvoie à la mer et au meurtre, et « sault » fait phonétiquement référence au soleil, d'après Camus. Cet homme, n'ayant aucune émotion, tuera peu de temps après

Intro: l'auteur (1923-1960, romans théâtre, poésie, essais, journalisme, résistant pendant la guerre, fervent opposant au communisme après la guerre, prix nobel de littérature en 57) l'oeuvre: La peste, roman qui retrace une épidémie de peste à Oran dans les années 1940, épidémie fictive mais qui a une valeur métaphorique et permet à l'auteur de réfléchir au sujet de la seconde guerre mondiale. Ici: l'incipit. Lecture. Pb: Dans quelle mesure cet incipit remplit-il pleinement sa fonction? I-

quarante langues, vendu en France à plus de six millions d'exemplaires, “L'étranger” est rapidement devenu l'un des classiques du XXe siècle les plus étudiés, constitue une étape capitale dans la genèse de la sensibilité littéraire moderne. En 1964, Albert Camus lui-même a lu son roman sur les ondes de l’O.R.T.F.. C’est devenu un livre-cassette sur CD.

Excipit « Un roi sans divertissement » Giono Introduction : Un roi sans divertissement est un roman écrit par Jean Giono, un écrivain français en 1947, peu après la guerre. Il montre que l’ennuie peu conduire l’homme à sa mort comme le dit la citation de Pascal à la fin de l’œuvre. L’extrait étudié ici est l’excipit du roman, on y retrouve Anselmie répondant aux questions des villageois sur Langlois, elle leur raconte son sacrifice de l’oie pour épongé la soif de sang du capitaine de gendarmerie

L’étranger, Albert Camus 1. Albert Camus est un des écrivains, essayistes, journalistes ou encore philosophes majeurs du 20e siècle. Né le 7 novembre 1913 à Mondovi en Algérie, il est élevé par sa mère et sa grand-mère après le décès de son père, blessé à la bataille de la Marne. Albert Camus fait ses études à Alger où déjà un de ses instituteurs remarque son talent pour l’écriture. Au lycée, il connait la différence due à la pauvreté. En 1930, les médecins lui diagnostiquent la tuberculose

Belle du Seigneur est un roman de l'écrivain suisse francophone Albert Cohen publié en 1968. Belle du Seigneur dont la rédaction commencée dans les années 1930 a été interrompue par la Seconde Guerre mondiale a longuement été repris, corrigé, augmenté. Le roman a été finalement publié par les éditions Gallimard en 1968. Certaines scènes burlesques ont été retirées du livre à la demande de l'éditeur Gaston Gallimard puis publiées séparément sous le titre Les Valeureux en 1969[1]. Troisième volet

L'Étranger : Albert Camus 1. Les personnages principaux : - Meursault : Meursault est le personnage principale, ainsi que le narateur. C'est un homme très solitaire, tenace, qui ne triche pas avec la vérité, il accepte les choses telle quelles sont et ne vois pas l'intéret de mentir. Meursault ne semble rien ressentir, il va voir un film comique le lendemain du décès de sa mère et cela lui semble normal, ni la rencontre de Marie, ni la rencontre de Raymond n'a d'impact sur lui. il est assez détaché

l’existence. Il réalise qu’il ne peut agir par rapport à une finalité mais à partir de ce qu’il est au moment où il prend conscience de ce qu’il est. Alors, l’absurde est un fait de réalité de laquelle, indépendamment de sa volonté, il ne peut en sortir. Albert Camus, écrivain, philosophe et romancier, développa dans ces œuvres, en autre Les Mythes de Sisyphe et L’étranger, les principes de l’absurdité fondés sur les notions de l’absurde et la révolte. Sa philosophie existentialiste conçoit le dénouement

grandissante du monde. L’absurde est la relation d’inadéquation entre l’homme et le monde. Dans la tragédie absurde de Caligula, on démontre que le personnage principal de la pièce mène une quête complètement absurde. Voilà sans doute ce qui guide Albert Camus dans ses pièces de théâtres, plus particulièrement dans Caligula, une œuvre qui met en scène un empereur romain tyrannique nommé Caius, qui agit avec démesure envers la société et est en quête d’impossible. Dans cette œuvre, publiée en 1938

pris sa forme explicite de courant philosophique au XXe siècle dans la philosophie continentale, d'abord dans les travaux de Karl Jaspers et Martin Buber dans les années 1930 en Allemagne, puis dans les travaux de Gabriel Marcel, Jean-Paul Sartre, Albert Camus, Simone de Beauvoir et Maurice Merleau-Ponty dans les années 1940 et 1950 en France, et au Canada avec Jacques Lavigne. Leurs travaux ont porté sur des thèmes tels que « la peur, l'ennui, l'aliénation, l'absurde, la liberté, l'engagement et