Alliterations

* «tohu-bohus» (v.12) expression biblique dans la Genèse = le Chaos initial   Dans le poème = grand bouleversement, monde insolite en train de se créer. Exaltation du poète * Par le choix des termes le jeu des coupes les allitérations l’étrangeté des visions * Le Bateau a affirmé sa personnalité («Moi» v.10) Emerveillement d’une liberté toute neuve = joie de naviguer en haute (v.10) = comme un enfant qui sait se couper du monde extérieur pour s’enfermer dans l’univers

mort). La litote : Dire le moins pour suggérer le plus.  Exemple : Ta remarque n’est pas idiote ! La périphrase : Remplacer un terme précis par une définition plus large et plus elliptique.  Exemple : L’astre de la nuit. 4°) Répétition Allitération : Figure de style très utilisée en poésie : répétition d’une ou de plusieurs consonnes dans un groupe de mots.  Exemple : Les serpents susurrent au-dessus de nos têtes. Assonance : Figure de style très utilisée en poésie : répétition d’une

pour…………..)  les procédés sonores (jeux sur les sons) Une assonance : répétition d’un même son voyelle Ex. : « Sous le pont Mirabeau coule la Seine / Et nos amours, faut-il qu’il m’en souvienne »», Apollinaire (répétition du son « ou ») Une allitération : répétition d’un même son consonne Ex. : « Restons face à face / Tandis que sous le pont de nos bras passe » (répétition du « s ») Une paronomase (utilisation de deux paronymes) : rapprochement de plusieurs mots dont la prononciation est très

les poèmes sont destinés à être lus, et surtout à être dits et écoutés. Les poètes recherchent particulièrement les effets provenant des sonorités, ceux-ci peuvent porter sur des sons qui se ressemblent, ou sur une même sonorités répétée: -Une allitération est la répétition, d'un même son de consonne -Une assonance est la répétition d'un même son de voyelle -Une rime est la répétition du même son à la fin de plusieurs vers. -rimes suivies(plates) AABB -rimes croisées ABAB -rimes

très variable, et ne respectent ni les règles classiques de la versification, ni les rimes traditionnelles. • Les vers libres conservent cependant quelques points communs avec les vers réguliers: ils jouent comme eux sur les sonorités (assonance et allitération) et sur les rythmes (notamment par un retour régulier a la ligne qui permet de les identifier comme des vers). ! ! ! c) - Le verset: • Le verset peut être considéré comme une évolution du vers libre: il désigne une séquence qui excède le plus

Procédés : il y a une assonance en [u] qui met en valeur les mots « Dieu », « fleur » et « un jour », ainsi qu’une comparaison de la durée de l’amour à celle de la vie d’une rose. Analyse : L’auteur montre, grâce à cette comparaison ainsi que les allitérations, que l’amour d’une femme est éphémère comme la vie d’une fleur. Il fait comprendre aussi que son amour est inexistant.

: Construction des paragraphes Ponctuation Discours Énonciation Temps des verbes Rhétorique | | | 4. Figures de style | | | 5. Pour les poèmes, ajouter : Rime Rythme Vers Mètre Allitération / Assonance | | | ETAPE 4 : Le plan En observant le tableau, on se rendra compte que plusieurs idées peuvent être rassemblées sous un même thème. On dégagera alors un plan d'analyse qui devra être au minimum le suivant :

Versification : Ce poème est un sonnet (2 quatrains, 2 tiercets, écrit en alexandrins). Les rimes de ses deux quatrains sont embrassés?et les rimes de ses tiercets se forme ainsi AAB. Au vers 3 il y a une assonance en « a » et au vers 5 une allitération en « un » ? La forme du poème de Robert Desnos est très classique. Je pense qu'il utilise cette forme si banal pour prouver a tout le monde que la guerre n'a rien d'extraordinaire et qu'elle ne mérite pas d'être encouragé .

palmier est comparé à « une nonchalance où nage une élégance de poulpe », à la douceur d'entrailles des monstres », « le soleil fier » , « le vif de la terre » : ces images célèbrent la puissance de l'imagination de l'esclave. Assonances et allitérations : harmonie imitative pour les esclaves : « fusant très haut une nonchalance où nage une élégance de poulpes », « douceur d'entrailles des monstres », « l'oiseau calao qui s'y claustre » / contre sonorités dures et cacophonie pour le maitre (« qui

toujours debout, et au soleil qui se couche inexorablement (reprise de chaque terme x 2) tandis que les êtres passent (angoisse de la mort…). - tout cela donne au texte une tonalité fortement lyrique puis élégiaque, servie par une prose poétique (allitération en [s], travail sur le rythme, cf. la première phrase composée de trois décasyllabes, images, « ressemblait » etc.). - cela permet enfin à Chateaubriand d’annoncer son projet avec une dimension presque prophétique i.e. ce qu’il veut réaliser