Allitération En F

comme chez le poète, qui émet un jugement personnel sur l’orange comme sur l’éponge, comme s’il s’agissait d’êtres humains. **** C) A travers les jeux sur les sonorités. Les allitérations et les assonances confèrent un certain rythme à son texte, particulièrement dans les troisième et quatrième paragraphes (répétition des sons « f » et « r », dans « parfaite forme du fruit », alternance des voyelles « i » et « u », récurrence des nasales « on » et « en ».) L’oxymore « acerbement sapide » est ici employée

soldat puisque sa « nuque [baigne] dans le frais cresson bleu » (v.6). La mort est également envisagée à travers les pleurs, on trouve une allitération en « l », « Pâle dans son lit vert où la lumière pleut » (v.8) ce qui suggère les pleurs. Dans ce même vers, les larmes sont connotées par la métaphore « lumière pleut ». On trouve aussi une allitération en « f » au vers 12 : «Les parfums ne font pas frissonner sa narine », qui suggère le froid qui a gagné le soldat. La mort se retrouve dans ce vers

Français/verts chez les Prussiens)… - Par l’ouie avec le champ lexical du bruit : « sifflent v.2, croulent v.4, broie v.5 » Ces verbes aux sonorités brutales montrent la violence. Les allitérations en [r] avec les mots « mitraille » v.1, « raille » v.3 imitent le bruit des machines de G tandis que les allitérations en [f] restituent le sifflement des combats. - Les « crachats rouges de la mitraille » v.1 font référence au dégoût mais aussi au mépris de Rimbaud. Il s’agit d’une métaphore : on se crache

Rappel de notions de Seconde 1) La notion de signe Signe = Signifié+ Signifiant où : • Le signifiant est la combinaison de lettre ou de son Exemple : Les jeux sur le signifiant   • Allitération : Répétition de consonne • Assonance : Répétition de voyelle Les jeux sur les sonorités • Paronomase : eg ( « Je m’ [aime] érveille. » • Et le signifié le sens du mot. On peut noter deux sens : • Le sens dénoté (ou

détruit Jason est marqué par l’alternance qui se prolonge dans la haine. Médée est totalement basculé, avec une rime interne entre aime et « haine » vers 243. 2) Correspondance violence par amour et violence par haine On note aussi une allitération en f marquant l’annonce des feux dévastateurs qui vont s’abattre sur Corinthe vers 242 à 244. Médée établit une correspondance entre sa violence par amour et sa violence par haine. On est ici dans une sorte de temps hallucinatoire avec le passé simple

écoutez-moi». Le fait qu’elle est pris du poison lui donne du courage pour affronter son mari, elle lui dit la vérité d’un ton calme ce qui montre qu’elle a accepter ses sentiments.Le fait qu’elle soit mourante, a l’agonie est montrer pas les allitération en «s», «r» et «f» lors de son aveu : «c’est moi qui sur ce fils chaste et respectueux osai jeter un œil profane, incestueux […] Et la mort, à mes yeux dérobant la clarté». Après son aveu elle lui fait part du fait qu’elle s’en veut et que donc elle a pris

appartenir au réseau lexical de la musique. les enjambements créent un bercement, un rythme qui entraîne et envoûte le lecteur. Les sonorités contribuent à donner au poème sa musicalité suggestive : les allitérations en v et en f du premier tercet reproduisent le son du « vent », les allitérations en m de la dernière strophe suggèrent le « calme » qui clôt à la fois l’écoute du morceau de musique et le poème. 2) Le poète navire Il s’agit bien d’un voyage en mer. La « mer » est désignée par différents

montagnes. • « Et tous ces plans dès lors si nettement articulés » : intensif « si » + adverbe « nettement » + participe passé « articulés » soulignent que l’on passe d’une masse informe à une création qui est façonnée, qui a pris forme - Les allitérations en [c] et en [s] nous font entendre la cuisson du pain tout autant que l’émergence des massifs. • l’évocation du soleil couchant « où la lumière couche ses feux » suggère enfin la teinte brune que le pain prend en cuisant. => Ainsi en racontant

L’anaphore de « Paris » ainsi que l’allitération en [f] des deux adjectifs qualificatifs monosyllabiques « froid…faim » vers 1 ont une force de persuasion et un aspect misérable remarquables. Le poète continue ainsi en décrivant le couvre-feu, la privation de liberté et de biens, puisque ceux-ci sont envoyés à l’Allemagne qui poursuit son effort de guerre, au vers 2. On le remarque par les allitérations en [v] et en [y]. Une telle misère c’est installée que les gens en sont venus

nostalgie du passé fin de vers en [i] > son de souffrance on site la scène en hiver > saison de la mort/vieillesse « souvenirs lointains » fuite du temps + « lentement » langueur 3. Confrontation Ambiance ǂ Chute chaleur « feu qui fume » allitération en [f] carillon > musique gaie « brume » soir > heure du carillon > attire le poète à l'extérieur foyer > à l'abri du froid/monde extérieur/hostile Ambiance rassurante ǂ Chute violente champ lexical de la mort > annonce la mort comme un glas «