Allitération En R

soir, j’ai assis la Beauté sur mes genoux » : 2/ 3/ 3/ 3-4) puis des phrases plus courtes soulignées par une anaphore : Et je l’ai/ Et je l’ai (« Et je l’ai trouvée amère. – Et je l’ai injuriée » : 7/ 6). La rupture est mise en relief par une allitération en [R] (« soir », « sur », « trouvée », « amère », « injuriée »). Cette rupture au début du texte est redoublée dans les vers suivants, « Or, tout dernièrement m’étant trouvé sur le point de faire le dernier couac ! j’ai songé au festin ancien, où

horrible à voir, hâve, jaune, tanné" et "le plus d'épouvantement". -Utilisation de couleurs, dédicace à Delacroix. Les teintes sont tristes, mornes, repoussantes. -Formes évoquées rappelant la mort, un cadavre décharné, la difformité -Allitérations en [a] [t] [r] * "hâve" et "tanné", "tordus" et "contournés". 2)La laideur morale Une théorie de l'époque affirme que le moral d'une personne se reflète sur son physique -Balzac évoque une âme collective, utilisation de termes au pluriel

embrassées (elle-ante) deux tercets : AAB (ide-ieux) -rimes riches ou normales avec deux ou trois phénomènes (latentes/éclatantes) -assonances en diphtongues nasales  A, E et O : ombre candeur clairon étranges latentes -allitération en v vers 9 : vert -allitération en r vers 7 : rire, dureté Transition : on a pu voir que ce poème présentait une sorte de « jeu » mais on va voir qu’il est en réalité beaucoup plus que cela. II.Un art poétique -Rimbaud crée le symbolisme : il associe le son

laisser croire que le soldat ne fait que dormir. | Vers 14 « Il y a deux trous rouges » | Euphémisme | Le poète atténue la mort brutale en atténuant son expession. | Vers 12 « les parfums ne font pas frissonner sa narine » | Allitération en [n] et en [f] | Alors que la nature est vivante et annimée, le soldat ne bouge pas. Cela est accentué pas les sonnoritées apportées. | Vers 9 « les /pieds /dans /les /glaïeuls,// il /dort. // Sou/ri/ant comme » | Diérèse |

jaguar. " il va frottant ses reins musculeux qu’il bossue " allitération en " s " et en " r " assonance du " u " sonorité expressive; lien entre " musculeux " et " bossue ", c’est le relief des muscles sur le pelage, le frottement du fauve sur l ’écorce. Le " s " de soufflant suggère la souplesse de l’animal. 2. Le fauve au repos : Au vers 15, la chute molle est suivie par l’immobilité, pas de coupe marquée mais une allitération nette du " l ", consonne liquide, évoquant l’allongement de

» = Obligation de vengeance Antithèse maudit/assuré I-C) Hydre c'est le serpent à 7 têtes qui repoussent par 2 pour 1 coupée. C'est Hercule qui l'a tué. Corneille modifie le symbole des chiffres 7=1000 Hyperbole Assonance en I et allitération en R Monstre caché et invisible (Comme les conjurés dans Caligula) Auguste semble déposséder son pouvoir TR : Dans notre extrait, il y a une réponse judiciaire évidente pour le complot dont il fait l'objet. La vengeance avec le sang. Hydre =

emploi du « je », césure qui relève l’idée de l’agonie, on note une hyperbole. L’absence lui donne les soucis à martyre, comble de la souffrance. Absence de celle qu’il aime. Les jours et les nuits à Le martyre ne cesse pas, aucun répit. (Allitérations en « t », assonance en « ir », musicalité) « Tant » vers 3 à Intensité de la souffrance. « Je ne sais que je suis » à Confusion mentale, folie : la passion le prive de son libre arbitre. Un chagrin = mille chagrins à Amplification. Il l’aime

ses amours perdus Aux femmes qu'il à aimés : présenter par leur prénom = intimité renforcé On reconnaît Annie et Marie (Laurencin) mise en valeur avec le « Et toi » (blessure de la colombe) - assonance en « i » (répétition de son voyelle) - allitération en « m » (répétition de son consonne) => lamentation, plainte - métonymies (partie pour le tout) vers 1 : figure => vue lèvres => toucher fleuries => odorat * A ses amis perdus Parallèle de construction entre femme et amis - toujours

foudre pour une jeune femme croisée dans la rue ? I La violence de la rencontre a) Le contexte de la rue Evoqué : - Ds le titre : « passante » - Ds les mots : « la rue » Description péjorative : - Champ lexical du bruit (péjoratif) : - Allitération en « r » : Série d’assonances faisant écho : - « assourdissant » « hurlait « Métonymie : « la rue hurlait » : rue directement associée aux hurlements = accentuation péjorative Contexte agressif accentué par l’idée d’enferment : « autour de

vers 1. Celui-ci est "malade" = expression chargée de fatalité. Cela annonce la mort de l’été. Dans le mot "adoré", en retrouve "doré" qui est la couleur de l’automne. C’est peut-être à cause de cette couleur qu’Apollinaire aime l’automne. Allitération en [r] (vers 2) = son désagréable qui évoque le frisson, le grelottement, son guttural et agressif pareil au vent d’automne. "Ouragan" évoque la violence, la force des intempéries. Le futur au début du vers 2 évoque quelque chose de certain, qui