Allitération En R

par un tétramètre qui créé un effet de compte à rebours. - ciel recouvre sans atteindre - l’esprit gémissant - proie qui va se faire traquée jusqu’à la mort - climat pesant ( devient douloureux ( allitération en nasales et sifflantes - cachot humide - Personnification de l’Espérance = chauve-souris (l’espérance aurait pu être associé à un bel oiseau ( élévation rattrapée par le spleen) - Se bat et se cogne la

Au vers 7, il est "étendu", intensifie l'impression de confort ; vers 8 " un lit vert", la nature lui a construit un lit.     Si on regarde d'un peu plus près, nous voyons qu'il paraît mort : vers 14 "deux trous rouges sur le côté droit», allitérations en "r".     À partir de ce moment nous basculons dans l'horreur, dénouement très brutal. III - Aspects contradictoires La mort est en fait omniprésente : vers 1 le mot "trou" fait écho avec le vers 14. L'adverbe "follement" vers 2 signifie l'agitation

la description. Ces sens sont mis en éveil, sa vue est troublée par la lune dont le halo de brume déforme la taille et diminue la visibilité,les buissons sont « difformes » ,l’ouie est sollicitée par le sifflement du vent rendu plus vif par les allitérations en (s) « soufflait » « froissement » et « sifflait » , et en même temps effrayant par des silences inhabituels »aucun froissement de feuilles ». L’enfant est perdue dans un monde qu’elle ne connaît pas : son ouïe est égaré et elle ne reconnaît

Trois mouvement : Strophe 1 : Recherche infructueuse de la pierre philosophale Strophe 2, 3, 4, 5 : Salamandre fantastique : des transformations s’opèrent. Strophe 6 : L’impression erronée d’un éternel retour : l’alchimie poétique fonctionne… Strophe 1 : Dès le début on remarque une phrase négative avec l’adverbe de négation « rien » avec une modalité exclamative et cela montre l’échec de la recherche. 1 La présence du pronom personnel « je » dès le vers 1, et donc on se pose la question suivante

la vieillesse.. » b) Finesse et retenue : Ronsard reste dans le domaine métaphorique mais emploie des métaphores discrètes et partielles. c) Prise de risque : Il envisage la beauté de l'aimée du point de vue de son vieillissement. CCL : R. parvient à revivifier la jeunesse de la femme fleur. Est-ce que son poème se réduite à cela ? III- L'ode. a) Musicalité constante : Pas d'effet outrageant, l'ensemble reste élégant (V3, V13, V16) Ensemble élégant, cadence plus solennel qui donne

découverte2ème mouvement, strophes 5 à 9 : le travail de décomposition3ème mouvement, strophes 10 à la fin : les pouvoirs de la poésieCitations + procédés littérairesInterprétationTitre « charogne » + sonorités désagréables [ch], [r] [gn]Peu poétique, provocateur, désagréablearticle indéfini : « une » Cadavre indéfini : de quoi ? de qui ? → mystère1er mouvement : Une macabre découverteStrophe 1Impératif + pronom : « vous » Adresse intime :

||choix de 2 thèmesreprises //v. 1, 2 - 5, 6, chacun des hémistiches du v. 2-------------------reprises en X|homophonesassonances| - Or, ils deviennent antagonistes (v. 11 à 14)l'eau ne parvient pas à éteindre le feu de l'amour||double : v. 2, 3, 4|allitérations| un véritable|exercice|de|style| 7ème étape : établissement du plan I. Une réflexion axée sur une comparaison entre la mer et l'amour A. L'entrelacement de 2 thèmes, la mer (élément concret) et l'amour (sentiment de l'ordre de l'abstrait)

plaine » => mise en relief, insiste sur l’absence d’éléments naturels => vide immense => infinité. - prose musicale [an] «  sans, grand, grande » rejoint l’idée ci-dessus. Poids l. 1 « Sous, dans » => enfermement dans un endroit immense. - Allitération [p] l.25 «  pieds plongés » + l. 29 « s’enfonça » Tableau => « gris » « poudreuse » « farine » / « charbon » => blanc/noir. Décor uniforme, « gris » pas de distinction entre le ciel et le sol. l. 25 « coupole Spleenétique » + l

Au vers 7, il est "étendu", intensifie l'impression de confort ; vers 8 " un lit vert", la nature lui a construit un lit.     Si on regarde d'un peu plus près, nous voyons qu'il paraît mort : vers 14 "deux trous rouges sur le côté droit", + allitérations en "r".     À partir de ce moment nous basculons dans l'horreur, dénouement très brutal. III - Aspects contradictoires     La mort est en fait omniprésente : vers 1 le mot "trou" fait écho avec le vers 14. L'adverbe "follement" vers 2 signifie

chair ») mais on observe les défauts de chaque partie de son corps (effet de juxtaposition « puis le col » « le dos », « la graisse » « et les rondeurs » ; indication stipulant la lourdeur du corps (« col gras et gris » allitération en [gr], «  rondeurs des reins » allitération en [r], « la graisse », « large » (2 occurrences au vers 5 tout d’abord puis adj. repris au vers 13). Adjectif « large » qui associé à l’adj. « court » souligne la disharmonie de ce corps ( en opposition avec la beauté et la