Allitération En R

destructrice de la guerre | ''bataillons'', ''cent milliers d'hommes'', ''en masse'', ''tas'', ''tout le jour'', ''par l'infini du ciel bleu'' | Allitérations en /r/ | Souvent employée pour les impressions désagréables telles que saleté, violence | ''Roi'', ''Raille'', ''CRachats'', ''CRoulent'', ''miTRaille'', ''BRoie'' | Allitérations en /f/ | Évoque le souffle des bombardements | ''siFFlent'', ''inFini'', ''Folie'' | Jeu d'opposition vers 7 & 8 | Guerre qui

Combat déjà terminé => plus-que-parfait "avait été" mais la violence est toujours perceptible : "le choc avait été très rude" - superlatif "très" - isolation de la phrase derrière la césure "rude"// -phrase brève, allitération de consonnes dures avec le "t" et le "d" (dentales), le "r" et le "c" dur lexique de la violence : "choc", "rude", "carnage" chiasme vers 3-4 "humaient" "carnage" "âcres" "parfums" => ivresse meurtrière des combattants 3) Les conséquences du combat - importance

choisie comme l’ermite chez Molière) - L’association de ses femmes à des animaux est dévalorisante (elles se tordent, elles mugissent, leur seins pendent, leur robes sont ouvertes) donc une nudité et une impudeur qui leur ôtent toute dignité Allitérations en[ R] dans la deuxième strophe Sonorité qui ressemble à des râles et qui participe à cette dévalorisation des femmes Oxymore vers 6 : Une allusion au tableau de Delacroix : Le Naufrage De DJ dont le ciel obscur à peine éclairé de lueur orangé

papillons qui l'assaillent. Dans la phrase « Mais brûlés aussitôt ou vannés dans la bagarre, tous frémissent aux abords d'une frénésie voisine de la stupeur », nous pouvons observer des allitérations en « s », « r » qui montre que les papillons sont dans une rage féroce. Nous pouvons également trouver différentes allitérations et assonances dans ce poème avec le « f » (massif, feuille, frémissent) et le « i » (ravive, massif, miteux) qui nous rappelles les bruits et le mouvement des papillons. Différents

Rome dans les deux tercets sont froids et durs (le front audacieux, le marbre dur, le Tibre latin, le mont Palatin, l’air marin  ALLITÉRATIONS dentales D et T + R) , alors que les termes qui servent à décrire le village regretté sont extrêmement familiers et chaleureux (me plaît, mes ayeux, l’ardoise fine, mon Loire, mon petit Liré, la douceur angevine  ALLITÉRATIONS liquides L + M, N). c. Oppositions syntaxique et rimique : la comparaison  Répétitions de la structure comparative, renforçant l’opposition:

quatrain, les mots « ailes semés », « débris » et « foudre » peuvent nous faire penser à une tornade qui aurait causé les séquelles du poète. Au vers 15 et 16, une allitération en [m] se fait entendre dans le texte. Cette sonorité est collante, comme si l’oiseau que représentait le poète était plaqué au sol. Un autre allitération, cette fois-ci en [r], se trouvant aux vers 3 et 4, pouvait nous avertir de cette fragilité qu’allait rencontrer le poète dans le futur. Les rêves de Lamartine n’ont plus la même

Les heptasyllabe sont des rimes féminines (e muet). ETUDE DE LA 1ère STROPHE : - V1-2 : riche, " s ", " eu " et " r ". Masculine. Autres sons : " on " et " a " ce qui renforce la rime. - V 3-6 : riche, " s ", " en ", " b " et " l ". Féminine - V 4-5 : suffisante, " i " et " r ". Masculine - V 7-8 : riche, " ou ", " ill " et " é ". Masculine - V 9-12 : riche, " a ", " r " et " m ". Féminine - V 10-11 : suffisante, " i " et " eu ". Masculine - V 13-14 : suffisante, " t " et " é ". Masculine

allemands « enfer » (v2) > met en valeur le diable et la cruauté des allemands verbe « enfoncer » (v3) > ce sont des êtres sans limites qui font preuve de cruauté et de férocité sonorités dures allitérations en [R] et en [S] > rappelle la férocité des allemands 3 alexandrins > omniprésence des allemands allitérations en sifflante « sera » (v1) ; « surenchérir » (v2) ; « féroce » (v2) ; « enfoncer » (v3) ; « crosses » (v3) > férocité La violence des ennemis : emploi de la négation « vous n'éveillerez

terribles au 17ème. C'est une excellente crise pour l'observation des relations humaines. • La peste est définie par 2 appositions avant d'être nommée, ce qui crée une attente progressive, pressante en gradation. • Registre dramatique : - Allitération en r : « répand, terreur, guerre » - Hyperbole, voc violent, rimes masculines (fureur, terreur) : dureté - Idée du destin, non issue ('Mal que le ciel en sa fureur. Inventa pour punir' : Dieu envoi un châtiment aux Hommes) et Ciel. Achéron connotation

musique/chant (lien avec la poésie lyrique - Orphée) - qualification dévalorisante : chant sans mélodie + écho connotations - - = douleur blessure, voire mort (oxymore - brûler vif + vif/Enterré = le chant porteur de mort) - chant = bruit du crapaud (allitération en « r » + assonance en « oi » = « croa ») – métaphore = chant du poète. C° : champ lexical chant → (titre) chant du crapaud dévalorisé. qui est-il ? Le poète maudit ? 2. Le poète maudit : - pointe du sonnet → identité/nature crapaud → invitation