Alors regarde

Nerval compare le soleil à la gloire, il utilise une comparaison pour dire qu’il a regardé vers la gloire, même s’il ne sait pas vraiment ce que va être cette gloire. Il y a donc un basculement entre le premier tercet et le suivant. Au vers 6, le point noir qui nous est désigné, reste sur son regard, il est représenté comme une forme de blessure puisque le poète insiste sur le fait que ce point soit resté sur son regard. Il y a une évolution temporelle à partir du troisième tercet, le point noir devient

Scène de séduction/ parodie du romanesque qui permet d’annoncer la chute de Renée. I. Une scène de séduction théâtralisée 1) Particularité du lieu, décor  Evoqué par quelque éléments : « glace »  Zola  procédé d’emboîtement : Maxime regarde Renée qui regarde la glace « glace » excitation de Renée par les noms qu’elle voit  « divan »  instrument ou espace obligé de toute adultère  espace de l’affrontement répété plusieurs fois  couple : élément essentiel de la scène Les éléments sont le

de la haine pour sa mère: la maléfique reine de la nuit et porte un drap rouge ce qui pourrait représenter la colère, la haine. Ainsi, le décor de la scène et plutôt restreint mais très expressif. Par cette simplicité, le spectateur porte donc un regard beaucoup plus critique sur le jeu des comédiens et sur la précision des gestes. Les comédiens sont en effet ici très précis dans leurs gestuel et chaque objet sur scène est placé de manière minutieuse, rien n'est laissé au hasard, surtout dans un

pour qu'une femme comme Roxane prête attention a moi. Mais qu'elle est belle, d'un parfums exquis et d'un regard tombeur. Mais comment puis-je ? En posant d'un mouvement brusque sa tête entre ces deux main. Je désespère ! Cria t-il. Pourquoi ne ressemble-je pas a cet homme ? Ce relevant. Je souffre, oui j'ai mal ! Cet amour si profond que j'ai pour elle, on cœur chantant croisant sont regard. Malheur, fureur, horreur, que fait-je encore ici ? J'ai perdu espoir, espoir qu'elle m'aime, volonté de

Le regard camera de Monika Parmi les nombreuses audaces de Monika, l’une a frappé plus que les autres l’attention des critiques de l’époque, et notamment de Jean-Luc Godard : le long regard de Harriett Andersson dans les yeux du spectateur, dans le bar, juste avant qu’elle ne trompe Harry. C’est le fameux « regard-caméra de Monika », l’un des gestes de mise en scène les plus fameux du cinéma, célébré comme un des actes de naissance du cinéma moderne. C’est pourtant loin d’être le premier

 A.CAMUS Le portrait de la mère Un regard rétrospectif … Le portrait de la mère est tout d’abord construit sur un double regard et donc d’une sorte de comparaison continue. Le premier regard, est le regard du présent, comment est sa mère très âgée à l’heure d’aujourd’hui, alors qu’il lui rend visite. Le deuxième est un regard passé, il se souvient de sa mère, de son visage, de ses aspects lorsque il était enfant. Il se souvient à la fois de c’est deux époques

premier regard depuis longtemps. Elle est mise en valeur par sa simplicité, nous n'avons pas à faire à une subordonné. On y porte beaucoup d'attention car c'est la dernière phrase qu'on va lire. Deuxièmement, dans l'extrait 2, les deux dernières phrases: «  La lampe, posée sur une console, éclaira ses cheveux blancs. Ce fut comme un heurt en pleine poitrine. » On constate à travers ces phrases que le temps s'est écoulé et que madame Arnoux a vieilli (« cheveux blanc »). C'est alors qu'on comprend

».1 Il n’en sait pas beaucoup sur la rencontre de ses parents mais se la représente très précisément d’après les rares informations que lui racontent ses parents. Selon lui, Maxime et Tania se rencontrent la première fois dans un stade. Au premier regard, c’est le coup de foudre : elle craque pour son corps d’athlète et son côté charmeur, il est séduit par sa beauté parfaite. Au bout de quelques mois de relation, ils s’installent ensemble et vendent des articles de sport. La guerre les pousse à se

pas un quartier qu'il lui était presque inconnu. Ce quartier comporté les mémes maison, les mémes petits arbres et les mémes boutiques. A mis chemins il vit une maison a deux étages elle fesai le coin de la rue. Au premier regard il lui fis pas très attention mais au deuxième regard , il était troublé. Il dépassa le croisement s'arréta et décida de faire demis tour pour la revoir. C'est une maison du style de 1900, un balcon se trouvait au premier étage. L'ombre qui porté dessu resemblé a un sourir

né à Putian le 02 mars 1954, dans la province chinoise du Fujian. A ses 12 ans, il finit ses études primaires et rentre au collège en 1969. Mais pendant la révolution culturelle, Dai Sijie est considéré comme un "intellectuel bourgeois", il est alors envoyé en réeducation dans un village de montagne, dans le Sichuan entre 1971 et 1974. Trois en après il est libéré, et commence a travaillé dans un lycée de province comme employé jusqu'en 1976. Il fais des recherches et étudie la mort de Mao (Fondateur