Amor fati

I il est possible de trouver dans la souffrance un point d’accroche1) Affirmer sa souffrance comme le début de son rejet, s’inscrire dans une démarche de rejet de sa souffrance en commençant par l’affirmer et non pas « «  cf sujet.- amor fati chez nietzsche s’inscrit dans une démarche de refus de la souffrance car refuse de subir , il veut embrasser le destin -hugo réflechit beaucoup à sa souffrance, il la reconnaît tout de suite, il passe alors pas une phase de rejet global, rejet de

La condamnation chrétienne du désir et l’amor fati Le christianisme condamne les désirs sensuels (péchés capitaux) et valorise des désirs spirituels (foi, espérance, charité). De la sorte, le christianisme valorise un arrière-monde, une après-vie, et dévalorise la vie sensible qui nous est donnée. Ainsi, il faut le rejeter (Nietzsche). Il faut désirer que ce qui arrive arrive. Il faut aimer tout événement qui advient, même s’il est douloureux. Amor fati (Nietzsche, stoïciens). 2) Le bonheur a) Bonheur

C’est ça qui nous fera cesser d’avoir peur. Arrêter de penser qu’on va le transformer parce qu’on risque d’être frustré, déçu et triste. C’est ce qui on trouvera chez Nietzsche d’après la notion de l’Amor Fati (il s’agit de la Doctrine du Salut nietzschéenne). Mais cette pensée et cet Amor Fati n’est pas une forme de passivité et une pensée du fatalisme ? Marc Aurèle, au contraire, dit par exemple que c’est une ascèse permanente, un exercice qu’on doit faire tous les jours, c’est un travail spirituel

Montrez la place et les limites de l’art.  Schopenhauer dresse une hiérarchie des arts. Expliquez-là (l’énoncer + la logique de cette hiérarchie) Nietzsche :  Définitions à connaître : - Nihilisme : - Surhomme : - Amor fati : L'éternel retour peut être analysé comme une spirale, une centrifugeuse qui purge le monde de tous les demi-vouloirs, les désirs mesquins1: si je suis susceptible de répéter mes actes et de supporter leurs conséquences à l'infini, je ne privilégierai

qu’on en oublie la nécessitéOn parle de nécessité économique ( les haricots pour les ouvriers car ils ne peuvent se payer autre chose) Or parfois il arrive qu’on ait le gout de ce à quoi nous sommes condamnés C’est ce qu’on appelle Le gout comme amor fati : choix du destin, choix forcé par des conditions d’existence qui ne laisse d’autre choix que le gout du nécessaire.  L’art de boire et de manger reste sans doute un des seuls terrains sur lesquels les classes populaires s’opposent explicitement

plus petits : en tout cela pas un grain d'orgueil ou de mépris caché. Lorsque je méprise quelqu'un il devine que je le méprise : je scandalise par ma seule présence tout ce qui charrie du sang corrompu... La grandeur de l'homme s'exprime dans son amor fati, voilà ma formule ; ne pas demander de changement, ni au passé, ni à l'avenir, ni à l'éternité. II ne faut pas se contenter de supporter ce qui est nécessaire, - il faut encore moins le cacher - tout idéalisme est mensonge en face de la nécessité

passivité. Il faut pratiquer l’Amor Fati (stoïciens), qui est le fait d’aimer son destin et non pas pratiquer le fatalisme, c'est-à-dire la résignation. Ce sont les Dieux qui ont choisis notre destin. Ce qui nous arrive à un sens. Mais nous ne percevons pas toujours ce sens. Il faut faire confiance aux Dieux. Cosmo = Univers ordonné, chaque existence à un sens. Notre existence a un sens donc nous devons l’accepter et non pas passivement, mais y contribuer. Amor Fati = Participer à notre existence

il faut apprendre à apprécier des situations qui ne dépendent pas de nous, il faut savoir tirer profit des situations que nous n’avons pas choisie, il faut apprendre à voir ces situations de façon positive c’est ce que les stoïciens appellent « amor fati » (« le secret du bonheur et de la vertu aimer ce qu’on est obligé de faire » Le meilleur des mondes) Pour apprendre a apprécier ce qui ne dépend pas de nous il faut agir sur ce qui dépend de nous c’est-à-dire nos idées

. » Donc, tout ce qui arrive, arrive nécessairement. Naïf celui qui croit qu’il a une quelconque emprise sur les événements. La seule liberté possible réside dans le seul fait d’accepter l’inéluctable. Nietzsche dira plus tard avec la formule amor fati qu’il faut non seulement accepter ce qui advient mais aussi l’aimer au point de le vouloir à nouveau encore et encore (l’éternel retour). Alors comment expliquer que la conviction du libre arbitre soit acceptée et enseignée comme un attribut de

quoi je suis destiné. * Je peux pester contre mon destin, tenter d’aller à son encontre (sans y parvenir puisqu’on n’y échappe pas) ou alors, je peux l’accepter et c’est là la voix de la sagesse et de la vertu. * Les Stoïciens parlent d’ « amor fati » = Amour du destin en latin * Pour illustrer le rapport de l’homme à son propre destin, les stoïciens ( Zénon est Chrysippe) utilisent une métaphore : celle du chien et de la charrette : Quand un chien est attaché à une charrette, s’il