Amplification épique

Hugo, la poésie est une expérience individuelle, elle est aussi l'expression de la destinée humaine universelle : vaste épopée, La Légende des siècles , par les mythes qu'elle revisite, les symboles, le surnaturel, les amplifications qui y sont à l'œuvre, traduit l'importance de l'imagination qui fonde le génie poétique. Cette imagination transforme le monde. Le sentiment que la nature est animée (« Tout vit ! Tout est plein d'âme ! ») se traduit par une

spectacle de ses clientes (description de l'agitation) ; une jouissance teintée d'érotisme ... - ses pensées (Discours Indirect Libre), les passions parfois violentes : on perçoit qu'il jubile, qu'il savoure sa victoire, qu'il est orgueilleux - images épiques, de la guerre (termes connotés): domination, mépris (bétail, peuple) ; évocation de l'autocratie (despote, peuple) - Zola évoque cette phase de bilan : rappel de tout ce que Mouret a mis en œuvre - un passage centré sur le patron du magasin : «

attachant Hercule, Achille, Hector, Ajax héros d'épopée d'Homère L'originalité de V.H est de jouer entre la féerie et l'épique pour augmenter le pathétique Problématique : Epopée ou féerie? Pourquoi ce mélange de pathétique à épique Plan : 1) Un personnage épique 2) La féerie 3) Augmenter l'effet pathétique 1) La mise en scène spectaculaire "spectacle"--> ce n'est pas un spectacle mais dans l'épopée oui "debout" --> il prend une attitude héroïque, de défis On a l'impression que VH

ainsi L’Énéide, Ronsard, L’Henriade) ; — métaphoriquement (Agrippa d’Aubigné crée, avec Les Tragiques, l’épopée des guerres de religion, Hugo retrace, dans La Légende des siècles, l’épopée de l’histoire humaine universelle. Remarque Le style épique se caractérise par l’emploi d’un vocabulaire recherché et par l’usage très fréquent de figures comme l’antithèse et l’amplification. F fable En littérature, la fable désigne un court récit dont les personnages sont souvent des animaux doués

que la guerre est totalement stupide autant sur le fond que sur la forme, Voltaire utilise un registre profondément ironique. Pour ce faire, il utilise des figures d’amplification, comme des gradations, des amplifications et des accumulations, qui ne sont pas sans rappeler le registre épique, et parvient de ce fait à tourner en dérision les troupes. Ainsi, en disant que « rien n’était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées », son ton est profondément railleur et instaure

L’ analyse des caractéristiques épiques de La Chanson de Roland Résumé： La Chanson de Roland, œuvre représentative de la chanson de geste au Moyen Âge, est l’épopée de la France et le texte fondateur de la littérature française. Le Moyen Âge est une période où s’épanouit l’épopée dont le thème est centré sur la fidélité au roi et l’héroïsme patriotique, et qui reflète le développement de la féodalité. La Chanson de Roland en donne un exemple remarquable. En étudiant les figures de style utilisées

que la guerre est totalement stupide autant sur le fond que sur la forme, Voltaire utilise un registre profondément ironique. Pour ce faire, il utilise des figures d’amplification, comme des gradations, des amplifications et des accumulations, qui ne sont pas sans rappeler le registre épique, et parvient de ce fait à tourner en dérision les troupes. Ainsi, en disant que « rien n’était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées », son ton est profondément railleur et instaure

païen, interdit toute représentation directe. Toutefois, il faut noter que ce recours au récit ne va pas vers un affadissement de la représentation théâtrale : au contraire, l’utilisation du pouvoir de suggestion du langage (hypotypose, rythme, amplification…) permet de jouer sur l’imagination du spectateur et le suspense, et de suggérer beaucoup plus qu’on n’en pourrait montrer sur une simple scène de théâtre. 1) Commentaire composé du texte suivant : Phèdre, acte V, scène 6, vers 1498-1570 II-

lutte a) La dimension épique : Meursaut venu chercher de l'ombre et de l'eau ( symboles de repos) mais il est en lutte: -les verbes d'action le montrent : " je serrais les dents " ; " je fermais les poings" " je me tendais tout entier " " mes mâchoires se crispaient " - Un réseau de métaphores d'amplification propre a l'épopée telles que " éclatement rouge " " plage de vibrante de soleil " rideau de larme " " le ciel s'ouvrait " " pleuvoir du feu " -> ces amplifications ou hyperboles donnent au

valorisant)→ termes comme « courageusement, étandart de la philosophie.... »– proposition subordonnée d’hypothèse : « s’ils s’obstinaient dans leur faiblesse »→ législateurs français – verbes à l’imp. présent, rythme ternaire + amplification avec dernière proposition très longue– tonalité épique femmes = combattantes du bien + lexique ( étendard) et verbes d’actions (déployez... )Hommes = le mal « rampants à vos pieds »=métaphore du serpent= péché originel– « nos serviles adorateurs »= hommes en dessous dans