Amplification épique

certains traits de la tradition antique. Un héros, surtout, inventant « Un beau mensonge » pour justifier une absence de dix ans. Un héros, d'abord dépassé et terrifié par l'ampleur prise par son mensonge qui sera, par la suite, servi par cette amplification épique, par la force de l'imagination, et saura jouer consciemment de l'illusion. Pour Giono, la naissance de l'Odyssée, c'est avant tout celle de la fiction. L'Odyssée de Nikos Kazantzakis : combien de jours faut-il, dans notre monde d'aujourd'hui

commissions… * Indifférence soulignée par l’opposition des pronoms « elle » pour désigner Gervaise et « on » pour les autres Les habitants sont anonymes * " on ne sut jamais au juste de quoi elle était morte " : indifférence absolue * Amplification épique : " La terre ne voulait pas d'elle " : Gervaise est rejetée par les autres, mais aussi par la mort. Inversion de l'image de la mort libératrice A la fin de la lecture, le lecteur ressent des émotions fortes à l’égard de Gervaise et d’une société

sur le cou » v. 13 « il rugit » v. 16, « pique » v. 20, « mettre en sang » v. 25… Mais La Fontaine ne présente pas ce combat comme un combat ordinaire. Il en fait, au contraire, un moment épique). B) Une certaine parodie d’épopée. Plusieurs indices tendent à faire de ce combat un combat épique : Les personnages sont totalement opposés : nous avons un David contre un Goliath, la faiblesse apparente du moucheron ne rend sa victoire que plus éclatante. Le défi ressemble à ceux de

sens. Procédés : usage de la 1ère personne lexique des sentiments et sensations, ponctuation expressive, thèmes du souvenir du temps et de la nature. VIII. Le registre épique Il correspond au combat d’un homme ou d’un groupe confrontés à un défi exceptionnel qui les pousse à se dépasser. Procédés : lexique du combat, amplification, symétries et oppositions… IX. Le registre fantastique Il exprime la peur que provoque l’intrusion inattendue d’un phénomène inquiétant, irrationnel ou surnaturel.

que la guerre est totalement stupide autant sur le fond que sur la forme, Voltaire utilise un registre profondément ironique. Pour ce faire, il utilise des figures d’amplification, comme des gradations, des amplifications et des accumulations, qui ne sont pas sans rappeler le registre épique, et parvient de ce fait à tourner en dérision les troupes. Ainsi, en disant que « rien n’était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées », son ton est profondément railleur et instaure

les canons formaient une harmonie telle qu’il n’y en eut jamais en enfer », le lecteur comprend que l’auteur veut dire que la guerre est un enfer. Il utilise des figures d’amplification, comme des gradations et des amplifications, qui ne sont pas sans rappeler le registre épique. On peut lire qu’il décrit la bataille telle une parade en listant les différents instruments de musique du plus aigu au plus sourd ; il y a ici une gradation. Il amplifie la situation en déclarant que « les canons renversèrent

que la guerre est totalement stupide autant sur le fond que sur la forme, Voltaire utilise un registre profondément ironique. Pour ce faire, il utilise des figures d’amplification, comme des gradations, des amplifications et des accumulations, qui ne sont pas sans rappeler le registre épique, et parvient de ce fait à faire tourner en dérisions les troupes. Ainsi, en disant que « rien n’était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées », son ton est profondément railleur

Procédés : usage de la 1ère personne lexique des sentiments et sensations, ponctuation expressive, thèmes du souvenir du temps et de la nature. VIII. Le registre épique Il correspond au combat d’un homme ou d’un groupe confrontés à un défi exceptionnel qui les pousse à se dépasser. Procédés : lexique du combat, amplification, symétries et oppositions… IX. Le registre fantastique Il exprime la peur que provoque l’intrusion inattendue d’un phénomène inquiétant, irrationnel ou

ponctuation très fort : point + tiret• Répétitions :"Voici","Petit,petit"-> Impression de piétinement, de petitesseII Poème aux accents epiques A. Napoléon Ier, un être exceptionnel grandeur du personnage mise en avant :-> "sa grandeur" v. 1, "le dieu" v. 3• Nommé une seule fois (v. 9) <- il est unique• Repris 9 fois par le pronom sujet "il" => v28 amplification : Augmentation puissance perso b)Qui décide du sort du monde v33 → Sujet des verbe Impression de la chute d'icare, comparé a

ici d'une situation historique, parvient à transfigurer la scène en un tableau épique, voire fantastique. Nous nous attacherons tout d'abord à voir cette arrivée de la colonne des insurgés comme une scène épique à la fois grandiose et terrifiante, puis nous verrons comment la nature, complice du soulèvement, compose avec lui une symphonie fantastique et héroïque. I. L'arrivée des insurgés : une scène « grandiose », épique 1. Un spectacle impressionnant et magnifique L'arrivée de l'immense colonne