Analyse lexicale

aborde le texte. Il correspond à l’observation d’une caractéristique formelle du texte. (l’étude de l’énonciation, d’un champ lexical, des comparaisons et des métaphores, des modalités de la phrase, etc…) Cette observation permet de dégager la signification de l’extrait. Mais, il ne faut surtout pas en rester au simple relevé. Le relevé des termes qui composent un champ lexical ou celui des différentes images utilisées dans la description d’un lieu ne présente aucun intérêt s’il n’est pas accompagné

mot-clé Exemple : 'Ainsi les révoltes. Mais des révoltes étouffées (Mot clé – Reprise thème avec nuance supplémentaire) • Nombreux connecteurs logiques : J veut comprendre et se faire comprendre ==> L essaye de comprendre dans quel état il a été ; analyse ce qu'il a vécu dans cette crise. 2) Une crise qui se poursuit et qui va le remettre en cause : a. La métaphore filée qui donne des images édifiantes : Idée d'un mouvement qui se fait dans temps. 'Se craqueler' montre qu'avant enfance lisse

tranquille, prend la décision devant le baron de rompre avec elle. Division en parties et analyse : La première partie débute de « L’assemblée était nombreuse » à « me témoigner les mêmes égards. ». Elle est appelée « Situation embarrassante ». La société du baron de T*** parle dans le dos d’Adolphe, de sa situation difficile avec Ellénore et il s’en aperçoit. Il est très mal à l’aise. Le champs lexical sur le gêne et le mal être, nous le montre clairement : « ma situation était insupportable

Marguerite Brodeur Techniques de réadaptation physique groupe 03122 L’amour paternel dans « Mistral gagnant » de Renaud Analyse présentée à Mme Marie-Claude Lapalme Département de Français Écriture et littérature Cégep de Sherbrooke 8 novembre 2012 En premier lieu, certains éléments du contenu de « Mistral gagnant » de Renaud montrent l’amour d’un père pour sa fille. Cet amour paternel est d’abord perceptible à travers les caractéristiques psychologiques du locuteur. Son dévouement

chaumière, Et les plaines et les hauteurs ; A tous d'en haut il la dévoile; Car la poésie est l'étoile Qui mène à Dieu rois et pasteurs ! [pic] POUR CEUX qui ont perdu l’étude ….HUGO VOIT LE ROLE DU POETE COMME GUIDE DES HOMMES VERS DIEU Analyse linéaire en parallèle avec le texte ligne à ligne. Impératif , adresse au peuple, exclamation, apostrophe => Poète > au peuple qu’il doit guider Nuit = ignorance : métaphore et opposition (lumière = savoir. Métaphore filée) , le front : l’esprit

et la guerre. Lorsque l’on analyse ces trois documents, la première chose qui nous frappe est la violence des propos ou de la mise en scène. Cependant, chaque texte est différent de par ses procédés. Nous avons d’abord le texte de Corneille : Le Cid. Cet extrait est un récit du combat de Rodrigue, et les espagnoles contre les mores. Le texte évoque la violence notamment grâce au champ lexical de la guerre : « Carnage », « sang », « pillage » ainsi que le champ lexical de la mort : « mourir », « ténèbres « 

indispensables pour le décryptage du texte | |Le type de texte, la versification, les sonorités, l’énonciation, | |les valeurs des temps et modes des verbes, les adjectifs antéposés | |et postposés, les adverbes, le champ lexical, champ sémantique, | |connotation, dénotation, la syntaxe, la ponctuation, les figures de | |style, le niveau de langue, les modalisateurs… | 1. Ma jeunesse ne fut qu’un ténébreux orage, Traversé çà et là par

Analyse poétique Analyse du poème « J’ai tant rêvé de toi » de Robert Desnos * Poursuivons avec les thèmes du poème. Ces réseaux de sens sont assez simples à observer dans ce texte de Robert Desnos. Il y a bien sur, l’amour décrit* dans ce poème comme éta*nt presque impossible et irréel. I*l y a aussi *un* sens face à la perte de réalité, qui se relie grandement au rêve.* Les thèmes du corps et du toucher sont aussi grandement abordés dans ce po*ème. Le poème analysé possède un contexte

événements s'amplifient au fur et à mesure que l'on avance dans le récit. Maupassant commence par illustrer les rudes conditions météos dans lesquelles l'aveugle est plongé « un hiver (…) il gelait horriblement...). On peut relever le champ lexical du froid, de la neige, du gel et remarquer que les expansions du nom et les adverbes insistent sur la dureté du climat hivernal. Grace à la conjonction de coordination « or », dans la phrase « or, son beau frère le conduisit fort loin », il insiste

(l.9,10,12,16) ainsi qu’avec les 16 occurrences des adjectifs possessifs : « me » (l.13), « ma » (l.10) et « mon »(l.8,9,10,13,16) reflète d’un travail sur soi-même, d’une analyse. Il utilise aussi des hyperboles comme « tout est fini pour moi » (l.10) ou « je n’ai plus que faire au monde » (l.10-11) ainsi que le champ lexical de la mort composé de « meurt », « mort », « enterré », « ressusciter », « tout est fini » qui symbolisent tous deux la douleur et la tristesse liées à la « ruine » d’Harpagon