Anaphore

la societé francais 9)la compsition du texte: ETAPEN°3:ETUDE DE DETAIL(ETUDE LINEAIRE) Repérage dans le texte | Description/procédés d’écriture | interprétation | L.1: le temps L.2:2pts et 1 vir | «deux siècle» Anaphore de «déprédations» et «braigandages» euphémisme «gouffre»(=abîme,catastrophe) un rythme taché | Destruction de pays le catastrophe de pays | L.3:2 pts L.4:1pts et point vir L.5:1 pts L.6:2 pts et 1 vir L.7:2 vir et 2 pts

Dyptique riche/ pauvre : Dyptique : œuvre construite en deux parties . Tableau en deux mouvements inégaux : long pour le riche, court pour le pauvre . 1/ Antithése sur le plan matériel : RICHE Hyperbole «  les immenses possessions » Anaphore de «  tous, toutes » l.5 à 7 Adverbe «  fortement » Pluriel l.3 Périphrase valorisante sur le plan social «  un homme de considération » . L.9 Pauvre Phrase négative l.32-33 dénuement financier . Locution adverbiale «  a peine »

violence et la convoitise. En ayant recours à ces actes-là, le colonisateur est lui-même « décivilisé » puisque c’est contraire aux principes même d’une civilisation. Aimé Césaire met en valeur ses exemples en utilisant comme figures de styles des anaphores et un parallélisme. 6) Aimé Césaire compare le colonialisme et le nazisme pour montrer le fait qu’au fond, ces deux concepts ont tous les deux apporter une certaine ignorance du peuple, qui se cachait la vérité soi-même en se disant que ça

le cid. Anacoluthe = L’anacoluthe est une rupture de construction. « Vous voulez que ce dieu vous comble de bienfaits / Et ne l’aimer jamais ? » Racine Analepse = C’est un retour sur des événements antérieurs au moment de la narration. Anaphore = Une anaphore est un procédé qui consiste à commencer par le même mot en début de phrase. Antanaclase = Une antanaclase est la reprise d’un même mot avec un sens différent. « Le cœur a ses raisons que la raison ne connait point » Blaise Pascal. Antiphrase

principe que plus une activité peut détourner l’homme du malheur caché dans la solitude et l’ennui, plus celui-ci cherchera à la pratiquer. Néanmoins il explique que ces moyens de se détourner du malheur ne sont pas synonymes de bonheur en faisant une anaphore de négation “Ce n’est pas qu’il y ait en effet du bonheur […] Ce n’est pas cet usage mol […] mais c’est le tracas qui nous détourne d’y penser et nous divertit”. En effet, c’est n’est pas le fait de posséder des biens qui divertit, c’est la quête

« si » Conclusion : « cette félicité languissante ne le soutiendra point» et « de sorte que » + chiasme = paradoxe II. Démarche déductive (cas particulier / loi générale / conséquences / cas particulier) 1. ¶4 et 5 :Les conséquences de la thèse Anaphores « de là vient que » Raisonnement clos : reprises des exemples du roi et vocabulaire du divertissement Bonheur illusoire 2. ¶6 : Conclusion pessimiste sur l’homme Reprise exemple de la chasse Paradoxe= opposition raison des philosphes/le cœur

donne un constat universel. V14/ 15 Anaphore avec un effet d'insistance.V16 : « violente » « lente » : rime qui montre que la douleur du poète est étendue dans le temps. Diérèse au mot "violente": donne de l'importance au mot, et donc à la souffrance ressentie par le poète.Majuscule à Esperance : mot important pour le poète. Lui même a la fin du mvt 1 avait l'espérance de s'unir encore avec la femme aimée.RefrainDernier quatrain conclusifV.19 à 21 => anaphores "passent" x2 et "ni" x2 => montrent

incantatoire destiné à être lu et transmis oralement Parce que ce texte était destiné aux Résistants, Eluard retrouve la tradition de la poésie orale qui doit frapper les esprits par sa ligne mélodique. A. Le souffle des anaphores 20 strophes construites sur le même canevas : - Anaphore de la préposition "sur", répétée 3 fois par strophe et suivie de compléments circonstanciels de lieu - Dernier vers de la strophe : "J'écris ton nom" → Eluard cherche à ce que son texte soit facilement mémorisé

I. Un texte incantatoire destiné à être lu et transmis oralement A. Le souffle des anaphores La préposition « sur » est répétée au début de nombreux vers. Elle indique les lieux sur lequel le mot mystérieux va être apposé. Ces anaphores créent la musique du poème qui ne contient pas de rimes. B. Un vocabulaire simple, proche de la prose avec des répétitions qui sont comme des refrains Un même vers est répété à la fin de chaque quatrain : « j'écris ton nom » qui sonne comme un refrain et

* Entrelacements de deux thèmes : « et » conjonction de coordination = correspondance entre l’amour et la mer Champs lexicaux primordiaux : la mer (6 fois) et l’amour (8 fois) Répétitions au vers 1 et 2 avec : -parallélisme (mer=amour), -anaphores (« et la mer », « et la mer ») -chiasme (ver 1 mer-amour-amer et ver 2 mer-amère-amour) Métaphores de la mer agité qui devient l’amour renforce parallélisme donc amour=mer * Ressemblance entre mer et amour : L’amour et la mer toujours associé :