Anaphore

Annonce des axes Commentaire littéraire  I- L'expression de l'amour dans le sonnet A- Le cadre énonciatif - C'est un sonnet italien (rimes en abba / cddc / eef / ggf) en décasyllabes. - La poétesse apostrophe l'homme aimé (anaphore de "Ô"). - L'homme aimé est d'abord désigné par métonymie (remplacer un élément par un autre élément appartenant au même ensemble logique) : ("yeux bruns", "chauds soupirs"...). - Ensuite apparaît explicitement le pronom personnel "toi" (vers 12

Chaque quatrain reprend la même construction. Le nom du peintre et une série d’appositions (souvent métaphoriques) qui définissent ses ou une de ses œuvres. ¬  Les trois derniers quatrains sont constitués d’une énumération (7 termes) et d’une anaphore qui constituent la profession de foi artistique de Baudelaire. I Les sept quatrains dédiés aux peintres II La profession de foi artistique de Baudelaire I Les sept quatrains dédiés au peintre *Rubens (fin XVI

qui domine le personnage et sur laquelle il n'a pas de prise. En effet, la dialectique du destin et de la fatalité est centrale dans ce genre théâtral, de même que la question du temps. Ici, dès l'incipit, le compte à rebours est enclenché : cf anaphore de « chaque seconde marque » avec une variante nominale « chaque seconde à sa place exacte ». Présence d'une énumération asyndétique : « un pas de côté, ….. », le personnage se livre à une pantomime, un « pur mouvement » dont la gestuelle a été

questions rhétoriques, des impératifs (phrases injonctives ou l’exhortation, encouragement. Exemple : Andromaque ; « Dois-je oublier Hector privé de funérailles,/ Et traîner sans honneur autour de nos murailles ? » Racine ⁃ Répétition (anaphore) et l'accumulation qui ne peuvent laisser le destinataire indifférent = mettre en relief une idée ou une émotion. ⁃ L'utilisation de l'ironie : c'est un double discours car on dit quelque chose mais on suggère que l'on pense autre chose. Registre

repères habituels qui guident le lecteur. L’amour ici semble brouillon, chaotique, le passé et le présent se mélangent sans cesse et ceux qui le vivent, comme le lecteur, semblent un peu perdus. 2-Un texte qui piétine Il progresse avec des anaphores (pour décrire l’amour et le raconter), progression « en spirale ». * Les seuls repères sont les « blocs » où une structure grammaticale

parle une langue étrangère, Et ne rejetez pas des vœux mal exprimés, Qu'Hippolyte sans vous n'aurait jamais formés. I - Les caractéristiques de l'aveu A. La nécessité • • • • Poussé par l'invocation de la "haine" supposée envers elle. Anaphore "il faut" et lexique de la nécessité ("céder", "rompre") ainsi que la présence de négations qui montrent l'impossibilité de cacher son secret plus longtemps. Thème du secret : "silence, secret, renfermer, cacher". Il n'a plus le choix, il ne peut

Paronasme: «entre mont c'est autrement bon.» confusion de sonorités des deux termes. e. Antanaclase: «le scotch Cully Sark qui préfère un établi en désordre à un ordre établi.» f. Onomatopée: on reproduit le son «crack, boum, ouille.» g. Anaphore: répétition d'un même mot au début de segment de phrase. h. La gradation: «on joue, on marque, on gagne.» 2. Les figures de construction. a. L'inversion: «un grand homme pour un homme grand.» b. L'ellipse: omission d'un

qu’il était «lande terrible » l28 et ce qu’il est c/ Omniprésence du personnage, il occupe tout l’espace * Grandissement du personnage qui devient véritable héros * Il est dehors dans les champs et non plus enfermé dans sa tanière * Anaphore « il » d/ Narrateur en empathie avec le héros * Focalisation ambigüe qui souligne la proximité entre le narrateur et P. * Narrateur témoin, externe ? * Etat intérieur de Panturle, omniscient ? * Terre et silence perçus par Panturle

quasi fraternelle Anaphore « dans un coin » qui traduit un rythme ternaire=relation à trois. Le rythme d’une danse se met en place qui est un jeu Insiste sur les coins (4fois) ->jeu des quatres coins= chaises musicales Le perdant serait Eluard 2eme strophe : les verbes suggèrent la passivité d’Eluard : « attend » « immobile » B. L’ivresse de la séduction l’expression « les poissons d’angoisse » = poire d’angoisse + poison = anesthesie Eluard pétrifié par l’angoisse. Anaphore « dans un coin

froid) b) Les figures d'insistance I- Répétition de vers: «Ah! Comme la neige a neigé!» (4 fois) «Qu'est-ce que le spasme de vivre» (2 fois) «Pleurez, oiseaux de février» (2 fois) «Ma vitre est un jardin de givre» (2 fois) II- Anaphore: «Pleurez, oiseaux de février Pleurez mes pleurs, pleurez mes roses» c) figures d'analogie I- personnification: «Pleurez, oiseaux de février» II- métaphore: «Ma vitre est un jardin de givre» 2. «Maison fermée» a) Les