Anaphore

guerre : image péjorative de l’amour • (v.13) hyperbole : « si fort » • Allitération en m : «  Et la mer est amère, et l’amour est amer » • « tous deux » désignent des points communs • « mais l’eau » désigne les différences • Anaphore : « celuy qui craint …qu’on souffre pour aimer » : mise en garde envers l’amour et la mer • Allitération en r : mime le danger • Jeu de mots : la mer et l’amour (mots homophones) • « armes-larmes » : « armes » désigne l’amour comme

personnelle, le poète dresse ici le portrait des vieilles. I ) 3 premiers quatrains : vision ordinaire A) des femmes en marge - un rythme lent par « e » opposé « au chaos » et « vivantes » ==> les vieilles sont en dehors du rythme du monde - anaphore « nul ne vous reconnaît », « nul ne vous salue » et place en COD des « vieilles » ==> les vieilles sont en dehors de la population - « autrefois » « fûtes » - le passé (v 3/4/5) est étouffé par le présent (v 1/2 et 6/7/8) - vers 5/6/7/8 «

intégrale…) : le candidat peut choisir quelques quatrains parmi les vingt et unes strophes du poème qui lui plaisent particulièrement et il explique alors les raisons de son choix. thèmes abordés, langage employé, figures de style, ton… : importance des anaphores qui mettent en place un martèlement ou lancinement sourd facilitant la mémorisation du poème qui devait être dans tous les esprits. Abondance des métaphores significatives en ce qu’elles multiplient les supports d’écriture du mot « Liberté » jusqu’à

Maintenant cette dernière veut même que tout le monde l’entende en disant « Je voulais hurler pour que tout le village l’entende, pour que les arbres l’entendent, que la nuit l’entende, pour que le lune et les étoiles l’entendent. ». L’auteur fait ici une anaphore qui est une répartition d ‘un même terme au début ou la fin de chaque vers, ici on voit bien que c’est le verbe « entendre » qui est répété a chaque fin de vers. Celui-ci sert à montrer l’insistance et l’importance de cette nouvelle. Nawal dit ensuite

naturellement vertueux et bien élevés : le beau et le bien inséparables (coupole avec énumération l.6-7-9, les hyperboles L,18à 21 « tant » l.18, les anaphores et l'accumulation d'adverbes d'intensité montrent l'équilibre) -Aucun conflit, seul soucis de plaire → l.11 + le parallélisme de construction ternaire l.12-13 et les nombreuses anaphores l.12 à 15. -Réciprocité entre un seul et tous → le singulier devient pluriel (l.12). Ressemblance et entente (l.6) + le jeu sur les modes : le passage de

sur la ville 2) les liens entre l'auteur et la ville *l'auteur à la fois -observateur (dét.démonstratif) -et habitant de la ville(dét.possessif + pron. perso. 1ère pers), expérience personnel de l'auteur, c'est SON point de vue sur la ville (anaphore de « je » *lien profond comme celui d'un enfant avec sa mère * lien entre un artiste et sa source d'inspiration : -ville qui inspire le chanteur -rapport traditionnel de dépendance entre l'artiste et sa source d'inspiration -référence aux formes

interrogatoire que le plan de la raison en cherchant à détruire les motivations du mariage : ‘’mettez la main à la conscience ; est-ce que vous êtes malade ?’’. Cet interrogatoire renverse les hiérarchies sociales de manière comique. Présence d’une anaphore exclamative de manière comique (= répétition d’un mot ou d’une expression en début de vers ou en début de phrase) : ‘’si je suis malade !’’. Cette répétition participe à la dimension mécanique et reflexe des cris d’Argan, sort de pantin colérique

Percevoir la cohérence entre phrases et groupes de phrases tout  au long du texte.  Repérer les  facteurs de cohérence : reprises d’informations d’une  phrase à l’autre (anaphores).  Percevoir la cohérence entre phrases et groupes de phrases tout  au long du texte.  Repérer les facteurs de cohérence : reprises d’informations d’une  phrase à l’autre (anaphores).        Réponses  Amandine.   Kamicha  (ou du chaton).  Kamicha et ses frères (ou des chats).  Kamicha.    Modalités de correction    1  pt. par réponse (4 x 1)

pays. Le corbeau représente une menace comme les l’allemands nazis. Nos plaines : Notre pays, notre grand espace plat ou il est impossible de se cacher. Dans les plaines les proies sont à la merci des prédateurs 2e vers : Ami, entends-tu : anaphore pour insister. Les cris sourds : les souffrances des prisonniers torturés par les SS, celle des civils terrorisés par les bombes. Pays qu’on enchaine : La France souffre d’être esclave de l’occupation Allemands Nazis. (Les paroles ne cite jamais

indications temporelles (CCT) : « dans les temps contraires » v.1, « en des jours impies » v.11, « quand les peuples végètent » v.21 → connotations négatives des mots à la rime · La st. 1 dépeint un certain malaise, indéfinissable : lexique « Malheur » (anaphore v.3 et 5), « Honte » v.8, « Tourmentent », « le peuple agité » v.7, « les haines et les scandales » v.6. → Evocation de temps troublés · L’attitude à adopter est évoquée indirectement à travers la référence au « penseur qui se mutile » v.8 en attitude