Anaphore

parties : celle des riches colons blancs & celle des indigènes = proletariat * « Ville blanche » organisée spatialement « la périphérie ; le centre ». Periphérie composée de plusieurs habitations (villas...) = partie de la ville la + spacieuse : anaphore de superlatifs « la plus large, la plus aérée ». Centre + peuplé, + encombré « la masse de la ville », métaphore « éjectait des buildings » * Centre comporte cafés, boutiques & terrasses fréquentés essentiellement le soir * Quartier caractérisé

Ce premier renvoi anaphorique ne s'érige pas en solitaire. Les anaphores sont en effet légion : petits morceaux de papier (l. 92) adopte une structure identique à un précédent passage évoquant le petit morceau de madeleine (l. 66), passage d'une importance capitale renfermant la première apparition de la mémoire involontaire ; tremper se répète également à trois reprises (l. 68, 83 et 91). Ainsi, les allitérations et ces deux anaphores ouvrent subtilement la voie à l’analogie : de la même manière

fois chez Giton, 2 fois chez Phédon: l'un attire, l'autre repousse. Par ailleurs, le verbe " être ", peu présent chez Giton, et récurant chez Phédon. L'un se disperse dans l'action, l'autre est intériorisé. Une certaine rigidité syntaxique : anaphore récurrente d'un portrait à l'autre, mais aussi à l'intérieur de chaque portrait. Grande simplicité dans la composition des phrases : " il " + complément, " il " + verbes, " il " + être, effets répétitifs (" il s'arrête et l'on s'arrête

donner uniquement un caractère religieux (repentir, confession religieuse) à son œuvre. Je dirai hautement : fierté, il est sûr de lui. Voilà ce que j'ai fait, ce que j'ai pensé, ce que je fus. : guillemets (discours direct). Enumération. Anaphore avec « ce que ». J'ai dit le bien et le mal avec la même franchise : soucis de franchise. « le bien » / « le mal » > antithèse. Je n'ai rien tu de mauvais, rien ajouté de bon : appui de la phrase précédente. et s'il m'est arrivé d'employer

refuse de se marier avec Pyrrhus. II. Un véritable massacre a) La description d’une scène vivante : Andromaque, choquée que Céphise lui parle ainsi, elle est indignée. * On retrouve plusieurs anaphores « dois-je » (3), « songe » (2), et « voilà » (2), ces anaphores montre le côté narratif de cette tirade. * L’impératif des verbes, “songer” et “se figurer” s’adresse à la confidente ainsi qu’aux spectateurs. L’emploi de ce temps cherche à créer la double énonciation propre

constate dans la citation suivante : « Vous connaissez la Présidente de Tourvel (…) Voilà ce que j’attaque; voilà l’ennemi digne de moi; voilà le but où je prétends atteindre » (p.20, l.245-247). Dans l’extrait précédent, le procédé stylistique est une anaphore. En effet, le mot « voilà » est répété afin de démontrer que Tourvel est le parfait défi. Tout cela considéré, le choix est une étape du projet libertin de Valmont présente dans ce roman.

il ?» qui détruit la jeunesse «qui brise la jeunesse en fleurs» Il fait allusion aux conséquences négatives de la Révolution Industrielle. «Qui» à partir du vers 24 d’ailleurs est employé en anaphore pour insister sur le rôle de l’homme «Maudit» employé quatre fois du vers 29 à 32 est aussi une anaphore insistant sur l’indignation Le poète prend à témoin Dieu «Ils semblent dire à Dieu» Puis il l’implore«O Dieu!» «Maudit comme le blasphème» vers 31/32 Il finit par rappeler à l’homme

ambiguïté entre la beauté de la ville et la beauté d'une femme "ces grandes filles" / métonymie : mélioratif "d'or" pour blondes. Champ lexical du froid : "métal bleu", "beauté froide" => le premier abord de la ville est froid, et impressionnant (anaphore de "Si timide" montrant que le poète est impressionné par New York). L'auteur a des "yeux de chouette" => idée de grands yeux grands ouverts => curiosité et étonnement du poète face à New York. Puissance de New York : "dont les têtes foudroient

pour un poème sans rimes, ce qui est surprenant (peut-être qu’il appartient au mouvement des surréalistes) avec des anaphores et autres figures de styles (ex : « J’ai l’impression d’être ridicule ») qui est au début de chaque strophes du poème (ce qui donne un tonalité presque musicale au poème), cela souligne qu’il a vraiment l’impression d’être ridicule, de plus on remarque des anaphores dans tout le poème ; « dans leurs » qui revient souvent et « avec » (effet ?) Par des procédés différents

voilà comme il faut vous défendre… ») * Elle est faussement lyrique car Done Elvire exagère ses sentiments, donc cela devient comique. (Paroles hyperboliques, exagérées). * Interrogations oratoires, anaphores : Done Elvire possède le langage comme Dom Juan. * Elle est très amère, elle souffre (anaphores).Elle regrette qu’il ne lui est pas menti car elle aime encore Dom Juan mais elle l’accuse, le rabaisse quand même. Elle se rend compte qu’elle a était manipulée. Réaction de Dom Juan Réponse