Anarcho-syndicalisme

départementales...). Il existe enfin des regroupements nationaux qu'on nomme confédérations et qui réunissent des organisations syndicales (unions, fédérations et, éventuellement, des syndicats de base) se réclamant d'une même tendance particulière du syndicalisme : communauté de vue idéologique ou sur la stratégie syndicale à adopter, les revendications à formuler, etc. Mais, la liberté de constitution des syndicats ne les dispense pas du respect de la légalité. Il reste possible de poursuivre la nullité

L’appréciation des critères établissant la représentativité syndicale a soulevé de nombreuses incertitudes. L’arrêt rendu par la première chambre sociale le 29 février 2012 en est la première illustration. En l’espèce, un syndicat CGT avait obtenu 16,13 % des suffrages au premier tour des dernières élections des membres titulaires du comité d’entreprise d’une société. Ce syndicat s’estimait représentatif et avait alors désigné une salariée au poste de déléguée syndicale au sein de l’établissement

disparu. A la place, lui a succédé un groupe ouvrier frappé par le chômage, la fermeture des grands bassins industriels (tels le Nord, la Lorraine, la Loire, la petite couronne de la banlieue parisienne), l’effondrement électoral du PCF, la crise du syndicalisme ouvrier ou encore la précarisation des conditions de travail et d’existence des classes populaires. Les ouvriers apparaîtraient aujourd’hui comme des individus isolés, divisés entre eux, soumis de plus en plus à l’intensification du travail et

pratique du syndicalisme. Ce faisant, le gouvernement a profondément mis à mal les moyens de pressions que pouvaient utiliser les syndicats dans leur lutte contre le milieu patronal. Nous pensons par exemple aux limitations du droit de grève imposée par le Code du travail du Québec. En règlementant le droit de grève, par exemple en rendant illégales les grèves spontanés, le gouvernement limite un des moyens de pression importants pour les syndicats face au patronat. Ce bref bilan du syndicalisme au Québec

acte désespéré où les motivations sont toujours similaires : c’est un moyen de « faire pression pour que les négociations s’accélèrent et qu’elles fournissent davantage de résultats » d’après René Mouriaux, auteur de nombreux ouvrages sur le syndicalisme français et relayé par le site internet de Challenges. Ces évènements étant très souvent repris par la presse, cela permet également de médiatiser une action qui est souvent comprise voir soutenue par l’opinion (en avril 2009, un sondage IFOP-Paris

Doc 1: droit syndical et notion de représentativité Le syndicat : une association de personnes exerçant ou ayant exercé une même profession ou des métiers similaires ou connexes. Son objectif : la défense des droits et des intérêts professionnels, matériels et moraux tant collectif qu'individuels de ses membres. A/ Représentativité syndicale double principe de la liberté syndicale et pluralisme syndical Un syndicat squelettique, comptant peu d’adhérents, ne peut parler avec autant

* Régis Boulat, Jean Fourastié, un expert en productivité : la modernisation de la France, années 1930-années 1950, Presses universitaires de Franche-Comté, 2008, p. 29 * Marc Descostes, Jean-Louis Robert (dir.), Clefs pour une histoire du syndicalisme cadre, Éd. de l’Atelier, 1984, p. 254-255

Mise en application : |le XX XXXX 2009 | | | | | | | | |

Historique du syndicalisme -Les années 1880 ont vu la naissance et l’affirmation des syndicats en Europe. Quatre principaux facteurs ont pu contribuer à ce mouvement : la concentration industrielle et démographique (Développement des industrie (révolution industrielle) qui emploient près de 50 % de la population), la condition ouvrière(les nombreux ouvriers veulent des conditions meilleures : salaire ,minimum, baisse du temps de travail, congés…) l'attitude du gouvernement (droit de grève, sécurité

prennent peur de cet homme politique devenu très fort et mobilisent leurs partisans à l’occasion d’une grande manifestation anti-péroniste. Mais Perón jouit du soutien de la masse, et des syndicats qu’il a réussi à unifier, créant ainsi le début d’un ”syndicalisme péroniste”. Perón s’est appuyé sur la classe ouvrière pour asseoir son pouvoir mais il a aussi permis au mouvement syndicaliste de se renforcer. Ce lien entre Perón et la masse suscite des craintes dans le reste du gouvernement militaire qui le