Anna Freud Klein

(les crèches), avec des personnels particuliers. La psychanalyse a joué un rôle majeur dans la conception que l'on a aujourd'hui de l'enfant. Le psychisme des enfants est pris en compte et pris en charge par des gens comme Anna Freud, Hermine von Hug-Hellemuth, Mélanie Klein, Bethelleim, Donald Winnicott, Dolto. Avec la psychanalyse le rôle des parents devient central. Aujourd'hui on est témoin de l'inflation d'amour envers les enfants. Comment en est-on arrivé là ? Au 21ème siècle, l'amour pour

s’articulera autour de trois grandes axes. Dans la première parie du développement de notre réflexion, nous procéderons à une revue brève de la question de l’influence du lien social sur le développement de la psyché telle qu’elle a été présentée par S. Freud et par J. Lacan. A ce titre, nous tenterons d’aborder la problématique des sujets en situation d’exclusion du côté de la pulsion scopique au niveau de l’expérience du stade du miroir. Dans un deuxième temps, nous étudierons quelques questionnements

pour leur intelligence ; il a étudié les signaux employés entre individus d’une même espèce animale et l’empreinte laissée sur ses oisons par les premiers signaux reçus (forme, couleurs, mou­ vement, visage humain) à l’éclosion. Cela confirme ce que Freud avait démontré sur le plan affectif : la marque indélébile des premières expériences émotionnelles chez le petit de l’homme. La psychologie différentielle La psychologie expérimentale, qu’elle prenne comme sujet l’homme ou l’animal, étudie une

développement ; non qu’un psychanalyste conséquent conteste une dimension de maturation et de développement, cependant. En fait, les écoles psychanalytiques divergent sur la façon de considérer l’enfant, voir par exemple le débat entre Anna Freud et Mélanie Klein, et Freud lui-même n’est pas parvenu à se dégager de l’évolutionnisme ambiant, avec ses stades oral, annal, du miroir, génital et ainsi de suite. Il a mis une contrainte présente ab ovo, et c’est ce qui a conduit certains psychanalystes à

appliquer aux occurrences modernes de l’humour que celles de Freud. Avec deux textes, le premier sur le mot d’esprit (Der Witz)26, le deuxième sur l’humour, Freud est le fondateur du modèle dominant des interprétations humoristiques. Le risible, à travers ses variétés (le mot d’esprit, le comique, l’humour) consisterait en une activité psychique visant l’obtention d’un gain de plaisir. Ses liens à l’enfance et au jeu ont été découverts par Freud ; ce plaisir découlerait de l’économie d’une dépense psychique

le rôle de donna Anna. Or, à l'entracte, elle apparaît dans la loge où il se trouve. Elle lui parle avec passion de son amour de la musique, et leur dialogue établit entre eux un lien mystérieux dans lequel amour et art s'entrelacent : elle dit le connaître, connaître un de ses opéras. Dans la suite du spectacle, il remarque qu'elle est devenue plus faible. Après le dîner, poussé comme par une force irrésistible, il retourne dans la loge et invoque, mais en vain, la belle donna Anna, ne parvenant qu’à

pour les institutions, je recherche à travers la littérature les éléments d’évolution du concept qui mènent naturellement à l’acception du terme que j’utilise. Pour ce qui est du sens du terme en psychanalyse freudienne, je m’appuie sur les textes de Freud et Ferenczi. Puis les textes de P. Heimann, M. Little, A. Reich, J. Guillaumin me servent à préciser l’évolution du concept et les différentes acceptions que l’on pourrait lui donner. Chapitre 2. Je cherche à voir comment la description de la dynamique

comme science du sens intime ⋄ Accès direct du sujet à son psychisme par l’introspection (Maine de Biran⋄ fait psychique premier = « je veux », or on ne peut toujours vouloir, il y a parfois des résistances à notre volonté, qqch de caché, profond⋄ Freud, Janet, Charcot ) - La psychologie comme science du comportement⋄Recherche des lois d’adaptation du sujet à un milieu socio-technique. La vision de Descartes Pourquoi Descartes ? Parce qu’avec lui l’âme ne fait plus partie de la

relation avec l’analyste, des formations inconscientes du sujet. Du côté du clinicien il y aura ce qu’on appelle son contre transfert. Et également un transfert de ses propres matériaux inconscient sur le patient. Le transfert va être considéré par Freud comme un obstacle majeur qui s’oppose à la remémoration du matériel refoulé. C’est ce qu’on appelle les résistance du moi, qui sont là, mise en action et qui vise à se défendre contre l’arrivée de ces désirs inconscient infantile, interdit. Mais précisément

´elabor´ee par Sigmund Freud au d´ebut de ce si`ecle, affirme l’existence d’un inconscient psychologique pouvant d´eterminer tout ou partie de notre personnalit´e et de notre comportement. Elle a permis l’´elaboration d’une th´erapie des n´evroses1 , des troubles de l’´equilibre psychique et de l’affecivit´e. 1.2.1.1 L’´ elaboration du concept d’inconscient C’est tout d’abord en s’attaquant, avec un autre m´edecin Breuer, au traitement de l’hyst´erie que freud va commencer `a envisager