Antigone La Révolte

d'accord avec le point de vue des écrivains. La littérature nous enrichit sans jamais nous "enfermer" comme la mer serait prisonniere de la glace dans une seule vision du monde. Ainsi, Anouilh nous propose plusierus réécritures de livres connus tels que antigone, la cigale et la fourmie de jean de la fontaine... Dans cette fable, il montre clairement qu'il est du coté de la cigale, mais le texte de la fontaine ne prend pas parti. Nous avons donc le choix de nous forger notre propre avis, les écrivains nous

comédiennes de la pièce ont d’ailleurs été attentives à la contamination opérée. Jeanne serait bien sûr Antigone, mais aussi Œdipe, déjà représenté par Nihad. La jeune fille se retourne sur son passé quitte à y perdre la vue, cette rationalité mathématique qui la caractérise jusque-là. La plupart des entités féminines se répondent, comme si elles formaient un seul et même personnage, celui de la révolte. À la fin de sa vie, Nawal garde le silence, pourtant elle continue d’une autre manière à résister

Lecture linéaire : Jean-Luc Lagarce, Juste la fin du monde (1999) : Partie 2, scène 2 :L’extrait analysé  : l 80 « Catherine. - Elle ne te dit rien de mal, tu es un peu brutal, on ne peut rien te dire … » p 113 jusqu’à l 128« Louis. – Je crois aussi. » p 114 Introduction : Jean-Luc Lagarce écrit la pièce Juste la fin du Monde en 1990 alors qu’il est atteint du sida et se sait condamné à une mort prématurée ; il mourra en 1995 à l’âge de

prose, je veux dire, une manière d'exprimer que la pensée n'explique pas" Avec Balzac Anouilh Jean : "C’est bon pour les hommes de croire aux idées et de mourir pour elles" Antigone -"c'est reposant la tragédie parce qu'on sait qu'il n'y a plus d'espoir" Antigone -"Rien n'est vrai, que ce qu'on ne dit pas" Antigone -"on est fidèle à soi même et c'est tout" l'invitation au château -"Mourir, ce n'est rien, commence donc par vivre. C'est moins drôle et c'est plu long" Romeo et Jeannette Apollinaire

dialogue théâtral offre au dramaturge la possibilité de multiplier les points de vue , et ainsi de donner un meilleur éclairage sur un conflit .Le spectateur peut en effet se faire une plus juste vie du conflit qui oppose les personnages. Ainsi dans antigone, Ismène et sa soeur présentent un portrait antagoniste et radicalement différent de leur oncle Créon. Ismène voit en son oncle un être puissant ("ils nous ferait mourir" ) et soumis au lois du pouvoir("il est le roi, il faut qu'il donne l'exemple")

le plan moral) ou insolubles par suite de l'intervention accidentelle d'un facteur qui — selon les lois constitutives de l'univers de la pièce — aurait pu ne pas intervenir9. » La grandeur du héros tragique vient de ce qu'il assume son destin : Antigone, fidèle à la loi divine, sait que sa désobéissance à un ordre du roi Créon (qui a entre autres buts celui de consolider son pouvoir civil) est passible de mort et elle accepte dignement cette mort. La notion de faute est particulièrement délicate

ou à accomplir la volonté de leurs maîtres. Les personnages réduits en esclavage suite à un malheur (les femmes de Troie, par exemple) ont plus de personnalité, mais se bornent généralement à se lamenter sur leurs malheurs, sans manifester aucune révolte contre leurs maîtres. Bref, on ne trouve dans ces tragédies aucune réflexion sur l'esclavage. Le sujet des femmes est plus intéressant. On trouve, à vrai dire, un nombre assez énorme de réflexions sexistes dans la bouches des personnages (hommes

nous parlent directement, parce qu’ils correspondent parfaitement aux interrogations de notre époque : l’amour, la mort, la religion, la famille, la liberté, la guerre, le sens de la vie, l’art, etc. -Ex. : Antigone, de Sophocle, qui, au 5ème s. av. J.-C., pose le problème de la révolte de l’individu (rendre les devoirs religieux et familiaux dus aux morts) face à une puissance supérieure (la raison d’État) -Ex. : les philosophes des Lumières et leurs combats en faveur de la tolérance au

que vérités partielles ou mensonge et illusion. Que ce soit dans la nature, dans la société ou dans son cœur, tout est laideur et injustice, à tel point que le fait même d’exister est un mal. Aussi le héros tragique, telles Électre et Antigone, cherche-t-il à se révolter. Passant de sujet souffrant à sujet agissant, il entend s’affirmer dans le présent d’une action, fût-elle désespérée, et veut mériter par un acte libre sa grâce ou sa mort. […] Dans la mesure où ses valeurs sont contradictoires, irréalisables

Règne d’Henri IV 1610 Assassinat d’Henri IV 1610-1617 Régence de Marie de Médicis Période 1600- 1630 1621 Début du règne de Louis XIII 1617- 1643 Règne personnel de Louis XIII 1618-1648 Guerre de Trente ans 1624 Richelieu entre au Conseil du roi 1631 Révolte de Gaston d’Orléans, frère du roi 1635 La France s’engage dans la guerre de Trente ans 1642 Mort de Richelieu 1643 Mort de Louis XIII. Instabilité politique. Période 1643-1661 Mazarin ministre 1630-1661 1648 Paix de Westphalie : fin à la guerre de