Antigone Registre Tragique

dramaturges de l'Antiquité et son caractère, à l'époque, « révolutionnaire ». Alors que la tragédie classique, par exemple, prônait l'imitation des Anciens et une séparation stricte des genres, V. Hugo s'inspire de sujets inédits, mêle comique et tragique, et met en avant le choix et la singularité de l'auteur. Le renouvellement perpétuel de l'art est certainement un de ses aspects essentiels, d'autant plus qu'il est l'œuvre d'un individu. 2. La création d'un univers personnel L'art est également

souhaitait créer « un mur de son, commençant bas et grimpant jusqu'au sommet. » Roger Taylor apparaît brièvement en tant que chanteur principal lors de cette section, lors des célèbres 'Galileo', qu'il chante dans son registre suraigu, auxquels Freddie fait écho en chantant dans son registre le plus grave. Le groupe utilise une technique connue sous le nom de « bell effect » sur les paroles « magnifico » et « let me go ». En outre, sur « let me go », Taylor, qui chante la section aiguë, prolonge sa note

pitoyable, n’en demeure pas moins inquiétant dans sa mégalomanie et son autoritarisme absurde.                 Les dramaturges ont donc à leur disposition toute une série de moyens pour représenter les tyrans  que ce soient les genres théâtraux, les registres et les variétés de mise en scène. Dans la tragédie, le genre noble s’il en est, le roi ou la reine se doivent d’être grands jusque dans le crime et la démesure. Ainsi Cléopâtre dans Rodogune de Corneille n’hésite-t-elle pas à envisager le meurtre

d’exposition Objet d’étude : le théâtre, texte et représentation (toutes sections). Texte 1 : Musset, On ne badine pas avec l’amour (1834), Acte I, Scène 1 Texte 2 : Hugo, Ruy Blas (1838), Acte I, scène 1, v. 1-30 (Il se lève) Texte 3 : Anouilh, Antigone (1947), extrait du Prologue Annexe : Entretien avec Ezio Toffolutti, scénographe et costumier (mise en scène de Ruy Blas à la Comédie-Française, en 2002) Texte 1 Musset, On ne badine pas avec l’amour (1834) Acte I, scène 1 Scène 1 Une place devant

pitoyable, n’en demeure pas moins inquiétant dans sa mégalomanie et son autoritarisme absurde.                 Les dramaturges ont donc à leur disposition toute une série de moyens pour représenter les tyrans  que ce soient les genres théâtraux, les registres et les variétés de mise en scène. Dans la tragédie, le genre noble s’il en est, le roi ou la reine se doivent d’être grands jusque dans le crime et la démesure. Ainsi Cléopâtre dans Rodogune de Corneille n’hésite-t-elle pas à envisager le meurtre

énumération il y a une gradation + référence aux Rois de l’Antiquité gréco-romaine enfin il évoque les rois les plus proches. Cette longue énumération et la gradation tendent à montrer que le pouvoir et la richesse aboutissent sans cesse à une fin tragique. c) Eloge travail : - Pour contredire les grandes tirades de Pangloss, candide ne se lance pas dans de grandes démonstrations mais incite Pangloss à cesser de parler pour se remettre au travail « il faut cultiver son jardin » x2. Cette

un grand et beau cri ».Dans cette perspective, le conflit dans la pièce s’apparente-t-il aux rapports familiaux ou au langage lui-même porteur de dissensions ? De même, le tragique s’articule en fonction de trois ressorts, en l’occurrence l’incompréhension, le vide et l’absence : comment ces vecteurs aiguisent-ils le tragique de la pièce ? Enfin, selon quelles modalités le dramaturge dédramatise, ironise et démystifie-t-il la mort ?Juste la fin du monde, une pièce résolument modernePenser la mort

e au grand jour. Plus  tard on apprendra qu’elle trompe son mari.  Défendre le mensonge c’est défendre son bonheur. Cette décision de fiancer Electre au jardiner  répond à une stratégie d’Egisthe exprimée par l’expression « le truc d’Egisthe » : registre familier qui  montre bien que la situation telle qu’elle est et qui risque d’évoluer l’inquiète et l’énerve. Il veut  refiler Electre et les problèmes à une autre famille.    II. Un portrait d’Electre  Un portrait d’Electre se dessine entre eux dans ce passage

Vichy suggère d’éviter tt sujet d’actualité. C’est pourquoi d’ailleurs on assiste à retour en force des mythes et des pièces qui se passent ds l’Antiquité. => vs devez avoir un ex en tête, la fameuse pièce incontournable au collège… Antigone d’Anouilh,qui reprend Antigone de Sophocle, av bcp de modif, d’anachronismes… D’autres : Les Mouches de Sartre, La guerre… de Giraudoux Ds cette période de troubles, après le désastre qu’a été la 1ere GM, on ressent un besoin d’ancrage ds une litt qui ait des

qui semble romanesque. Bien souvent l’attention du public et du lecteur se focalise sur lui, tant il paraît à la fois inquiétant (il a commis un crime) et inoffensif (il est entre les mains de la justice). L’accusé apparaît dans une ambiguë posture tragique, tout à la fois omnipotent, puisqu’il a renversé les lois humaines (Mériam Korichi en fait l’image même de l’insoumission), et soumis. La dramaturgie du procès lui ménage un rôle de choix : de manière significative, c’est à lui qu’appartiennent les