Antigone Scène Avec Le Garde

reine, chante une chanson en bas de la fenêtre de Jocaste dans la cour, il fait peur à Jocaste.- Le Garde est endormi au début de l'acte mais il se réveille et tente de faire partir l'ivrogne.Acte IV ;- Le Messager vient annoncer la mort du roi de Corinthe Polybe et dévoile qu'Œdipe n'est que son fils adoptif.- Créon est le frère de la reine Jocaste et donc le beau-frère et l'oncle d'Œdipe. - Antigone est l'une des deux filles d'Œdipe et Jocaste. - Le Berger est la personne qui amène Œdipe chez

Marivaux) sont des comédies. La troisième (En attendant Godot de Samuel Beckett) fait partie du théâtre de l’absurde et peut être considérée comme une farce tragique. Quelles que soient ces différences d’époque et de genre, ces trois extraits mettent en scène une relation complexe entre maîtres et valets, que nous nous proposons d’étudier. Nous pouvons remarquer que dans les trois extraits, il est question de maltraitance, et notamment de coups de bâton donnés par le maître à son valet. Dans La Marmite

sévissait alors la Sphinx (c'est un être féminin, à moitié femme, à moitié bête). On ne sait pas vraiment pourquoi, Œdipe décide d'aller l'affronter : il réussit à résoudre son énigme et donc à en débarrasser la ville. Les tragédies que nous avons gardées ne donnent pas le texte de l'énigme, mais on le trouve dans les scholies qui accompagnent celles-ci, ainsi que dans des ouvrages de mythographie antiques. L'énigme posée était la suivante : quel être a quatre pattes le matin, deux le midi et trois

l’engagement. Est-ce simplement un divertissement, un spectacle esthétique et gratuit ? ou est-ce un miroir que le dramaturge tend à ses semblables pour leur dévoiler leur noirceur, la leur et celle de l’humanité, avec pour but corollaire de mettre en garde le public, de le rendre meilleur par le spectacle des perversités dont il doit se garder ? Certes, le théâtre comporte de nombreux atouts pour dénoncer vices et turpitudes humains. Mais cette alternative at-elle un sens ? S’il est vrai que la visée

RHINOCéros Le théâtre et ses représentations Étude d'une œuvre intégrale en classe de première Corpus : la pièce de Ionesco (coll. "Folio") ; photographies de mises en scène. Objets d'étude : théâtre, texte et représentation ; art et langage dramatique. Perspectives : étude d'un genre : le théâtre moderne ; étude des registres : le comique et le tragique, l'ambiguïté de leurs frontières. Perspectives complémentaires : étude du "nouveau théâtre" ou du "théâtre de l'absurde". Séance 1

C’est que cet art n'a pas besoin d'être réaliste pour atteindre ses objectifs.   En utilisant la métaphore du miroir, Shakespeare veut dire que le théâtre a pour fonction de représenter au spectateur un tableau réaliste du monde. Ce qui se joue sur scène représente la vérité des comportements humains, qu’ils soient individuels ou collectifs. Au théâtre, le spectateur voit des hommes et des femmes agir et discuter comme dans la vraie vie ; mais il n’est pas partie prenante, il est à l’écart comme un

dénoncer les travers et les excès des hommes et de la société. Jusqu’à la période classique les tragédies mettent en scène des personnages hors du commun dont l’héroïsme ou la passion mènent à la mort. Eurydice est une pièce de théâtre écrite par le dramaturge et scénariste Jean Anouilh et jouée pour la première fois en décembre 1942. Il s’agit d’une pièce tragique, genre qui met en scène des personnages hors du commun en proie à un destin exceptionnel mais malheureux. Jean Anouilh s’inspire du célèbre

D’INFORMATION AMPHITRYON Molière Mise en scène de Bérangère Jannelle © Luciana Botelho Lundi 4 janvier, mardi 5 janvier à 20h | Équinoxe Générique Pièce en trois actes de Molière Mise en scène Bérangère Jannelle Avec Olivier Balazuc (Sosie), Audrey Bonn et (La Nuit, Alcmène), Luciana Botelho (Polidas), Arnaud Churin (Amphitryon), David Maisse (Jupiter), Maxime Mikolajczak (Naucratès), Sophie Neveu (Cléanthis), Ismaël Ruggiero (Mercure) Assistanat à la mise en scène Luciana Botelho Scénographie Stéphane

lumières du dehors ; ils se condamnent à cette monotonie d’idées, à cette froideur de sentiment qui laisse passer les jours sans en tirer ni fruits, ni progrès, ni souvenirs ; et si le temps ne sillonnait pas leurs traits, quelles traces auraient-ils gardées de son passage ? S’il ne fallait pas vieillir et mourir, quelle réflexion sérieuse entrerait jamais dans leur tête ? Quelques raisonneurs prétendent que l’enthousiasme dégoûte de la vie commune, et que ne pouvant pas rester toujours dans

Aristote, la passion est une émotion15, par exemple le calme ou la colère, la vision stoïcienne reprend les émotions qui relèvent de l’excès dans la vision aristotélicienne et en fait ainsi son répertoire de passions. Les tragédies semblent ne mettre en scène que les passions qui relèvent de l’excès et donc qui sont plutôt négatives dans les conséquences qu’elles entraînent : l’intérêt tragique réside dans les bouleversements et les fluctuations que seules sont capables de provoquer ces passions qui deviennent