Antithese La Nature

 La scène 2 de l’acte II nous permet de cerner Tartuffe et de comprendre qu’il joue un rôle. Elle nous permet aussi de savoir qui a finalement raison sur sa véritable nature. Tout d’abord, analysons l’image que Tartuffe veut se donner et comment il essaie d’y parvenir. Comme l’atteste l’emploi de termes tels que « serrez ma haire », « ma discipline » et « priez » au vers 853 et 854, Tartuffe veut montrer qu’il est très pieux, qu’il souffre volontairement pour la religion. Le vers 854, « Et priez

................. 20 D. SYNTHÈSE OU CONCLUSION SYNTHÉTIQUE ? ................................ ................ 21 IV - LA CONCLUSION ........................................................................................................ 21 A. SA NATURE DE RÉPONSE ................................ ................................ ................... 21 B. LA QUESTION DU RÉSUMÉ ................................ ................................ ................. 21 C. CONCLUSION FERMÉE OU CONCLUSION

d’envisager différents points de vue (pour/contre) La discussion implique qu’on est capable de prendre position (répondre à la question posée dans le sujet) Plan : Introduction : sert à poser une question Développement : thèse (réponse pour) – antithèse (réponse contre) [sert à apporter des éléments de réponse] Conclusion : sert à apporter la réponse Introduction (2 parties) Amorce : sert à amener le sujet Problème traite : sert à montrer que le sujet est compris (7-8 lignes) Amorce : il

plan des émotions que sur celui des sentiments. On peut remarquer qu’ils exposent les symptômes d’un mal inquiétant qui met sa santé en péril : « je vis, je meurs ». On peut remarquer des états contradictoires et simultanés : On s’interroge sur la nature du mal. Le vers 9 du premier tercet répond aux quatrains : Il parle de l’Amour. On peut apercevoir que le mot Amour dans le vers 9 est mis en valeur grâce à une majuscule qui le personnifie. Il est aussi mis en valeur par le hiatus (2 sons voyelles

thème de l’amour Une structure en énigme : Les 2 premier quatrains exposent les symptômes d’un mal inquiétant qui met en péril sa santé (« je vis, je meurs »). L’auteur présente des états contradictoires et simultanés : on peut s’interroger sur la nature du mal. La réponse est au 1er tercet (vers 9) : c’est l’Amour. L’Amour est mis en valeur par la majuscule, par le hiatus (2 sons voyelles à la suite nécessitant une pause), il est personnifié, son rôle dominateur est souligné. Il fait l’unité du

poétique présentée comme douloureuse, permet-elle cependant la création poétique ? Tout d’abord, le premier quatrain est une allocution à la Nature. Puis le deuxième quatrain se transforme cette fois en une allocution à Hermès. Enfin, les deux derniers tercets mettent en exergue la transmutation du réel par le regard poétique. Plan d’ensemble : I – L’allocution à la Nature (1er quatrain : vers 1 à 4). II – Une allocution à Hermès (2nd quatrain : vers 5 à 8). III – La transmutation du réel par le regard poétique

Sa robe de pourpre au soleil, A point perdu cette vesprée Les plis de sa robe pourprée, Et son teint au vôtre pareil. Las ! Voyez comme en peu d’espace, Mignonne, elle a dessus la place, Las, las ses beautés laissé choir ! Ô vraiment marâtre Nature, Puisqu’une telle fleur ne dure Que du matin jusques au soir ! Donc, si vous me croyez, mignonne, Tandis que votre âge fleuronne En sa plus verte nouveauté, Cueillez, cueillez votre jeunesse : Comme à cette fleur, la vieillesse Fera ternir

simplement appelée par les allitérations en «b» et en «f»), celle-ci n’étant qu’un vase antique sans caractéristique spéciale ; on peut cependant la supposer comme remplie d’un liquide semblablement magique qui transforme les êtres dans une autre antithèse : «le héros» devient «lâche» et «l'enfant courageux». Au début de la troisième strophe, la question initiale, revêtant un caractère obsessionnel, est posée de nouveau par le poète de façon presque identique, les deux termes antithétiques, «gouffre

l’attaque aux hommes ,le second l’argument de la nature et en dernier un texte significatif de l’esprit des lumières. citation identification interprétation “homme,”l1 apostrophe Apostrophe qui montre à qui s'adresse le discours (aux hommes avec un grand H) Ligne 1 - "Homme, es tu capable d'être juste ?" Question rhétorique Mépris de la femme vis a vis de l'homme Ligne 1-2- "c'est une femme" présentatif présentatif qui met en valeur la femme + antithèse par rapport à la première phrase (homme - femme)+

l’imagination au sens scientifique, quand elle dépasse les apparences sensibles pour montrer au libertin confiant dans sa raison, les limites de la pensée conceptuelle. Notre imagination se perd dans cette pensée, c'est-à-dire la pensée de Dieu, auteur de la nature. * 3. Il conclut avec logique et ironie que l’homme n’est rien ni dans l’espace ni par la pensée. II) Le recours à la rhétorique Chacune de ces étapes est rendue frappante donc plus convaincante par le recours à la rhétorique. * a)