Antithese La Nature

ne semble pas très important pour le poète qui ne cherche pas à vérifier les sentiments amoureux de Lise. Il semble submergé par des émotions nouvelles. Les deux personnages de ce poème sont opposés, cette opposition est marquée par de nombreuses antithèses, qui relèvent de la différence de leurs sentiments. La forme de ce poème est amusante, il est composé de 7 quintils en dizain. Ce n’est pas une forme de poésie traditionnelle. Il y a une certaine sonorité apportée par cette forme et par les rimes

domaine du merveilleux, du magique et du fantastique. - « Tu verras la fontaine qui bouillonne, bien qu’elle soit plus froide que le marbre ». Le caractère fantastique et irréaliste des évènements est ici mis en lumière par cette contradiction, cette antithèse. La logique voudrait que l’eau qui bouillonne soit chaude, mais elle est froide ; ce qui ajoute encore au côté mystérieux. Le champ lexical de la froideur, rend la scène menaçante. - La grosse pierre : émeraude (= vert, couleur froide) sur des rubis

située en tête de vers : insiste sur la beauté du peuple . Il parle du monde ouvrier pauvre Toujours thème des yeux , le peuple a un visage, une beauté, une identité. Il y a des répétition de strophes. Cres quelques vers sur la nature : dans ce monde d’horreur , la nature est toujours belle . Ainsi peuple vulnérable mais il montre le courage de vivre. La beauté , l’avenir, la douceur, pourtant il subit l’injustice et le mépris : vers1 , «  Beau monde «  s’oppose à « masure » . Injustice :^privé

absolument incontestable. Elle permet donc aux propos du poète de paraître indéniables et indiscutables. Enfin, la sentence est une phrase brève et bien balancée. Elle est donc facile à retenir, comme une leçon qu’un élève devrait apprendre. - Des antithèses. Elles ont ici à la fois un rôle poétique (elles embellissent le poème) et un rôle didactique. En effet, Boileau nous présente la création poétique de façon simple, en opposant systématiquement ce qu’il faut faire et ce qu’il ne faut pas faire :

style. C’est pourquoi après avoir mis en évidence le schéma argumentatif du passage, nous étudierons l’utilisation que fait Pascal de la rhétorique pour emporter l’adhésion du lecteur. · · Lecture · 72/ 199. « Que l'homme contemple donc la nature entière dans sa haute et pleine majesté, qu'il éloigne sa vue des objets bas qui l'environnent. Qu'il regarde cette éclatante lumière mise comme une lampe éternelle pour éclairer l'univers, que la terre lui paraisse comme un point au prix du vaste

questionnement va en ordre hiérarchique. Babouc pose la même question et on lui donne la même réponse ce qui renforce l'effet d'absurdité. La motivation est la même pour le soldat et le capitaine, c'est la recherche du profit. Aux lignes 23-24 on a une antithèse du soldat tuer ou être tué pour gagner sa vie: c'est un nouveau signe d'absurdité. Après le général explique à Babouc l'origine du conflit: Cette guerre trouve son interêt dans une querelle d'interêt privé entre un eunuque et un commis. C'est

« musique » (v. 25) + « rythmique » (v. 27) + assonance en [AN] dans toute la strophe  appel à l’ouïe mais cette fois, sensations agréables comparaison : « comme l’eau courante et le vent » (v. 26)  bruits de la nature : spectacle harmonieux = alchimie opérée à la fois par la nature et par l’imagination du poète S8thème de la peinture avec la métaphore filée : « formes » (v. 29), « ébauche » (v. 30), « toile » et « artiste » (v. 31)  la charogne est comparée à un tableau, à une œuvre d’art. Les

Définition du lyrisme : vient de lyre : instrument d’accompagnement de la poésie de l’Antiquité. Principaux sujets du lyrisme : Les sentiments amoureux Le temps L’amour La mort La solitude, l’angoisse, la nature la rêverie Le lyrisme révèle certains aspects des personnages : amour de l’autre / amour de la mort. Il couvre tous les registres intimes, les peines, l’exaltation des sentiments, les tourments de la passion. Le lyrisme s’exprime à travers

intime] [1) Pronoms personnels] Omniprésence du « il ». Soit on emploie le sujet, soit le complément. Emploi de la 3ème personne du singulier « il » qui désigne l’amour. L’accent est mis non pas sur l’être aimé mais sur celui qui aime car : - La nature du sentiment amoureux est plus importante que l’être aimé. - La poétesse souffre justement de son absence. [2) Temps verbaux] Présent de l’indicatif (d’énonciation). Présent de vérité générale à justifier. Ce qui est confié dans ce poème est

mais auquel il oppose un cadavre blafard. Tout d'abord, la nature est évoquée quelque fois dans le poème, mais à chaque reprise sous son « mauvais » visage, de manière péjorative. La fleur, symbole évocateur et courant en littérature, n'est que très peu mentionnée. Elle est alors aussitôt démunie de ses pouvoirs sémantiques, visant à insinuer la beauté : « une fleur qui se fane » ( v16 ) ou « rose pâle » ( v35 ) De la même manière, la nature est insinuée de manière péjorative au vers 25 : « Des feuilles