Antithese La Nature

l'observation - partie de l'apprentissage fondée sur l'expérience : "fréquentes dissections" l.23 - l'être humain est un microcosme à l'image du macrocosme - histoire naturelle : aller sur le terrain pour observer la nature - savoir à tirer de l'observation du monde et des hommes en société "la ville par de louables exemples" ç Formation du corps - exercices militaires» chevalerie et les armes" - introduction du corps dans le programme éducatif : mens

péjoratives qui ont pour but de pointer du doigt les actes de Dom Juan, Dom Louis les qualifie de « méchantes affaires /actions indignes ». Il reproche à son fils de ne pas agir de manière correcte.De plus l’ignominie de ses actions est renforcée par les antithèses « éclat/déshonneur », « flambeau qui éclaire » et « honte d vos actions » qui expriment la valeur importante de ses ancêtres. Le père cherche à blesser son fils en rabaissant son mode de vie L13 « Ah quelle bassesse est la vôtre ! », il lui fait

I.P.I. La femme représente le paradis pour Baudelaire. I.S.A. Baudelaire rêve d’un monde meilleur dû à la femme. 1. Antithèse qui illustre la rêverie : « Quand, les yeux fermés, en un soir chaud d’automne, / Je respire l’odeur de ton sein chaleureux, / Je vois se dérouler des rivages heureux » (V.1-3) Parfum exotique Il y a la présence de la femme — « ton sein » — dans un monde idéal imaginé par le poète puisqu’au début du vers il précise qu’il a les yeux fermés et ensuite il dit « Je

cadre accueillant et joyeux signe d’un bonheur général l 30 « au son des flûtes, entre les danses » (2) le constat d’une situation heureuse : les indices d’une société idéale. a) Les caractéristiques physiques liées au contact gardé avec la nature : l’homme n’est pas dégradé dans son corps. --> le physique proprement dit : - // de construction hommes et femmes + énumération des qualités + beauté ajoutée aux femmes qui correspond au préjugé utopique l 11 « Regarde ces hommes ; Vois comme

situation ? 1ère partie Un tour d’horizon de la place de la femme depuis la Révolution... Citation Procédé + analyse «Femme, réveille-toi ; le tocsin de la raison se fait entendre dans tout l’univers ; reconnais tes droits. Le puissant empire de la nature n’est plus environné de préjugés, de fanatisme, de superstition et de mensonges.» (l.l-4) * Apostrophe + impératif → Provoque une émotion forte + incite les femmes à passer à l’action  Le sommeil souligne le manque de lucidité des femmes

relief l'égarement par l'antithèse avec " cherchais " -> scission dans l'être C - Idéalisation d'Hyppolyte • paradoxe de l' " ennemi " qui devient une idole vers 293 : antithèse ennemi/idolâtre (tétramètre) • passion qui relève d'une passion religieuse pour Dieu alors même qu'il s'agit d'un amour contre nature (cf Junie, idole pour Néron, idéalisation de Titus par Bérénice) • champ lexical de la religion qui fait fusionner l'amour pour Hyppolyte aux vœux adressés à Vénus pour y échapper

Dans le premier discours, c'est par le biais d'une parabole mettant en scène un naufragé pris par les habitants de l'île pour leur roi qu'on découvre la thèse de l'auteur : « tout le titre par lequel vous possédez votre bien n'est pas un titre de nature mais d'un établissement humain » (l. 27-28) Ainsi selon Pascal, les grands ne doivent leur rang qu'au hasard (« une rencontre, un discours en l'air, milles occasions imprévues » l.18-19), la richesse de leurs ancêtres provenant elle-même de cet

bien-être de Camille qui consisterait à épouser Perdican. - Il remet en cause le contenu de leur discours qui fait l’éloge de l’amour divin : « Elles qui te représentent l’amour des hommes comme un mensonge » (l.2-3). Or, Perdican, par une habile antithèse, oppose l’amour humain à l’amour divin, qui est, selon lui, la seule véritable tromperie : « savent-elles qu’il y a pis encore, le mensonge de l’amour divin ? » (3-4). - Perdican attaque alors l’ignorance des nonnes : anaphore (« savent-elles »

Le registre lyrique Il traduit les émotions et les passions du locuteur : la mélancolie, la nostalgie, la douleur, mais aussi la joie, le bonheur et l’enthousiasme. Il soutiendra notamment les thèmes de la solitude, de la fuite du temps, de la nature, etc. Il se caractérise par des figures de rhétorique (souvent très imagées), une ponctuation accentuée, des apostrophes (ô le beau soir de mai) et l’emploi du « je ». Ex. : Émile Nelligan, « Soir d’hiver » Ah! comme la neige a neigé! Ma vitre

mettre sur|sur une rue obscure. (Vallès) | |le même plan. | | |Antithèse: l’antithèse consiste à opposer deux termes pour suggérer |Ici c’était le paradis, ailleurs l’enfer. | |l’opposition de deux réalités contradictoires. |