Antithese La Nature

Connotation amoureuseRedondance  « charogne »+ « infâme » Effet d’insistance sur l’horreur de la découverteantithèses sémantiques : « beau matin d’été  si doux » / « charogne infâme » + antithèses dans les rimes  : âme/infâme, doux/cailloux Fusion du beau et du laidPolysémie « un lit » « lit » de la rivière ou de la chambre→contribue à personnifier le cadavre comme s’il s’agissait d’une femmeStrophe

composé · Souligne l’idée de changement, de rupture, d’une nouvelle ère pour les femmes qui mettrait fin aux injustices. · « le tocsin de la raison se fait entendre dans tout l’univers » (l.1), « Le puissant empire de la nature » (l.3), « Le flambeau de la vérité » (l.5) = métaphores · Désignent les idéaux des Lumières : la lumière représentée par le flambeau amène vers la vérité, elle éclaire la raison contre la sottise et le mensonge. La raison

beauté rayonnante d'une femme « trop gaie », associée à la beauté de la nature. Le présent de l'indicatif dans les quatre premières strophes permet de décrire la femme. b) Les cinq dernières strophes esquissent l'autoportrait du poète, diamétralement opposé au portrait de la femme C'est le vers 16 — « Je te hais autant que je t'aime » — qui fait figure de pivot entre ces deux mouvements opposés, en résumant dans une antithèse l'ambivalence extrême des sentiments du poète.) Autoportrait du poète 

dénigrement du mode de vie tahitien, pourtant meilleur.Premier mouvement : ligne 1 à 10 « toute une contrée »→ le vieux Tahitien démontre que les Européens volent leur terre . Première phrase = antithèse entre « nous » = les Tahitiens caractérisés par leur liberté, et « tu » = Bougainville. L’autre opposition est entre « libres » , un état de fait éternel avec le présent de vérité générale, et « futur esclavage », ce que les

repend le dessus)- hyperboles  intensifient la sc et souligne la sensualité de M- négation restrictive  réserve de DG = DG en retraitLg 13 à 18 : l’analyse de DG- passage au pqp et à l’imparfait  DG débute l’expression et l’analyse de ses émot°- antithèse  relat° instable et mvt qui le bouleverse- exclamation  intensité de la scène- comparaison  narrateur qui réfléchit et veut nous faire comprendre son état- CC de tps et de lieu  absence de repères- lexique de l’angoisse  inquiétude face à une

Commentaire composé d’une fable de la Fontaine. Le Villageois et le Serpent Jean de La Fontaine (né le 8 juillet 1621 à Château-Thierry décédé le 13 avril 1695 à Paris) manifeste un intêret certain pour l’observation de la nature : il occupera d’abord l’emploi de maître des eaux et des forêts pour par la suite partir à Paris où il écrira quelques fables destinées au fils du roi Louis XIV, des fables qui se veulent simples telle que La Cigale et la Fourmi. Il fréquentera la cour soutenu par son

braises) = métaphore de la fin de la vie ; allusion aux Parques (« dévidant et filant ») ; insistance âge (répétition « vieillesse », début et fin du poème). • => épicurisme, philosophie : acceptation de la mort ; mais épicurisme = profiter de la Nature grâce à ses sens, donc quand les sens se délitent (la vieillesse), la vie devient insupportable, d’où la peur de Ronsard pour la vieillesse (il a 54 ans quand il écrit ce texte). 2. Nostalgie, seul recours et seule occupation • Regret : « amour

Autres œuvres célèbres : le chat qui parlait malgré lui est un conte pour enfant Mouvement littéraire : humaniste, Claude Roy était un homme engagé Vocabulaire difficile : ourdissent : comploter. Eléments pour l’introduction : Le poète observer la nature. Par son texte, Claude Roy propose une peinture à vocation lyrique d’une rivière qu’il personnifie tout au long du poème. La rivière endormie évoque les impressions que le mouvement de l’eau fait naître dans l’esprit du poète. Eléments pour la conclusion :

ressource d'une recherche qui pourrait nous mener vers la révélation. Un univers inquiétant et sublime. Le travail de la contradiction. L'univers que décrit Pascal semble en effet travaillé par des forces contradictoires. On note de nombreuses antithèses dans l'utilisation du champ lexical des dimensions : « haute », « bas », « vaste », « point », « imperceptible », « ample », « immensité », « raccourci », « infinité », « petitesse »... Tout cela entretient une impression pénible d'insécurité. C'est

sens C'est sans cesse la renaissance de l'essence même de nos cinq sens C'est le moment où on passe de l'autre côté des paysages On sympathise avec le vent et on tutoie les nuages Il fait jour en pleine nuit et il fait nuit en plein jour : antithèse à effet de chiasme Profite de cet instant, il ne durera pas toujours C'est tout sauf une légende, on espère juste toucher l'instant Les quelques secondes du poète qui échappent à l'espace-temps Le moment où le voile se lève et la magie s'élance