Antithese La Nature

voyait)L’asyndète domine et suggère le caractère systématique de l’effet provoqué. Cette réaction est renforcée par des hyperboles ( On voyait Gwynplaine, on se tenait les côtes ; il parlait, on se roulait à terre).Ce portrait est renforcé par des antithèses (gens en deuil / rire indécemment, bourreau / rire) et une anecdote au passé simple, qui confirme le caractère irrépressible, incontrôlable du rire.Le chiasme final et l’allégorie Spleen font de Gwynplaine un symbole, une allégorie opposée à la

construit " importance de l’éducation - Ils possèdent des qualités sociales l.11 "conversant en compagnie honnête " Ces qualités s’expriment dans la vie de chaque jour, le groupe suit la décision de l’individu = émulation avec les " si " l.21 à l.24 antithèse entre tous - Ils ont des connaissances dans divers domaines, ce sont des humanistes. L31-L34 - Ils sont des activités raffinées comme par exemple : chasse l.25 " lire, écrire, chanter, jouer d’instruments harmonieux " l.31 " ébat aux champs

petite vermine à qui la Nature ait jamais permis de ramper à la surface de la terre'' - ironie : ''panégyrique'' ; ''qualité'' (qui est reliée à ignorance, incapacité et vice) ๑ Ces procédés sont la pour forcer le trait, il engage la critique. III) La caricature a) Critique du jeu • 1er défaut : ''distraction'' ; divertissement'' ; ''art'' VS ''formation intellectuelle'' ๑ Le jeu entraîne l'oisiveté et l'absence de réflexion intellectuelle • 2ème défaut : antithèse ; ''gens viles et corrompus''

types de plan La dissertation est un enchaînement serré d’arguments où tout se tient d’un bout à l’autre, depuis l’introduction jusqu’à la conclusion. À ce modèle formel, la philosophie ajoute l’idée que l’ensemble doit répondre à un problème de nature philosophique. D’où la question suivante, à la fois philosophique et méthodologique : qu’est-ce qu’un problème philosophique ? Mise au point... I - Des questions, des problèmes... Il est possible de confondre, en apparence, une simple question

chinois qui a commis l’erreur de confondre la réalité avec l’image que le peintre Wang- Fô en donne. Or il s’agit d’une vision personnelle très esthétique, voire onirique, qui révèle la beauté intrinsèque des choses, exprimée par le champ lexical de la nature et de la légèreté aérienne. L’empereur oppose cette vision idéale à la réalité prosaïque décevante, marquée par le champ lexical du dégoût et de la dureté minérale. Ce souverain incarne une autorité cruelle et destructrice qui jalouse le pouvoir du

terre ? se compare en tout cas à une force de la nature, à un événement naturel impressionnant. + mimésis métrique : le vers est une péninsule, rattaché par la césure : ce vers « démarre » lui aussi, casse ce qui le rendait binaire * V.12 : oxymore « tohu-bohus triomphants » : en général, pas de triomphe, juste du bruit, du désordre. Plaisir du poète dans la liberté * V.13 : métaphore, la tempête devient le prêtre qui bénit la liberté. Antithèse : la tempête est en général un élément naturel

passé simple : « nous vîmes »(v1), « vous crûtes » (v16)Puis, Parallèlement, cadre de la promenade amoureuse= moment lieu propices à la rencontre amoureuse - le souvenir de la vision se fait au détour d’un « sentier »(v3)- Évocation champêtre de la nature avec son champs lexical : « ciel »(v13), « soleil »(v9), « matin d’été » (v2), « cailloux »(v4), « fleur »(v14), …- Temps également propice à la promenade amoureuse : « Ce beau matin d’été si doux »(v2), « le soleil rayonnait »(v9)= Ce poème semble

immédiate, la condamnation est unanime. Il est condamné a l’unanimité vers 55 : "On". Accumulation de mots péjoratif pour désigner l’âne vers 57 : "Ce maudit animal" déterminant démonstratif. L’âne est dénigré et rejeté unanimement. Vers 59 est une antithèse entre "peccadille" et "cas pendable". Elle met en évidence l’injustice de la condamnation et de l’injustice de la justice. Cela débouche sur la morale de la Fable car la justice est injuste quelque sois le pêché commis et que c’est forcement le plus

hommes, marqué par le spleen et l’ennui. Récurrence des termes évoquant la verticalité « Soleil, nuages, air » monde idéal, monde intelligible, proche du monde nouménal chez platon : caractérisé par l’éternité, la perfection et l’immuabilité. Antithèse entre « miasmes morbides »  et « air supérieur  » contraste saisissant entre le monde des hommes et le monde idéal. Univers à double dimension. Récurrence des verbes de mouvement « tu sillonnes », « tu te meus » « s’élancer », « plane » le poète

des axes : 1. L'homme et la nature. 2. Un texte qui met en evidence l'esprit des sens. Commentaire littéraire: I - Un texte qui montre l'homme face à la nature A - Prédominance de la nature sur l’homme vers 1 : métaphore "La nature est un temple" : connotation religieuse thème de l’intégralité du quatrain : la nature et l’homme B - Confusions de l’homme par rapport à la nature champ lexical de la confusion antithèse "vaste comme la nuit et comme la clarté" C - La nature envoie des signaux que l’homme