Antithèse Sur La Peur

le destin, la mort, la puissance des passions, le désespoir, l'amour impossible, les dilemmes, la menace, le châtiment. | Champs lexicaux de la fatalité, de la mort, de la passion désespérée, figures de style (de l'opposition en particulier: antithèses, oxymores etc.), dilemmes tragiques. Niveau de langue généralement soutenu. L'écriture peut être en vers. | Tragédies, romans | Le registre fantastique | On assiste à une intrusion de l'irrationnel, à des phénomènes étranges : expression

chevreau comme son amie L5 passé simple elle adopte le comportement d'un oiseau qui a peur en cryant. L7 passé simple comportement de singe. L7 nom il lui on crée un univers adapté à sa folie. L11 gérondif de verbe d'action comparé à un oiseau. L16 3 pers du s elle se comporte en singe. L21 verbe infinitif son oncle la considéré comme un animal. L29 verbe infinitif elle a peur comme un animal. L39/40 passé simple il adopte u comportement ou il la considéré comme

| | | |Eveiller l’esprit critique du lecteur | |Antithèses, oxymores | | |Fausse logique |

d’une pièce, c’est peut-être une leçon indirecte de Hugo, et ce serait du théâtre engagé. 3. Donc on analysera d’abord la tragédie d’Angelo, en montrant qu’il est soumis à des forces qui le dépassent et qui le font agir : un pouvoir extérieur et la peur de lui désobéir, et qu’il se trouve dans un sérieux dilemme. Ensuite, on cherchera à comprendre le sens de ce discours politique : description ambiguë d’un monde à double face, puis celui de cette dénonciation didactique d’un système autoritaire

vrai Sardanapale »( figure légendaire débauche), « bête brute » (pourceau et bete brute → instinct animal éloigne DJ condit° H) : H cherche plaisir ds débauche et luxure. Suit instincts primaires. b) Homme méchant -« gd seigneur méchant H » : antithèse « gd seigneur » → noblesse, générosité / « méchant H » = . Signifie dc juste posit° sociale, sans qualités morales. DJ anomalie. -« scélérat » : condamnat° morale → criminel. Renforcé par tournure superlative « le +gd scélérat » et expansion « que

-Les majuscules à « Mal » et « Ciel » traduisent la crainte du monde divin qui sanctionne les mauvaises conduites (« pour punir les crimes de la terre »). -Les rimes à « fureur » et « terreur » des deux premiers vers renforcent l’impression de peur qui se dégage du texte. Le son « reur » évoque le tonnerre (assimilé au châtiment divin). D’autre part l’association sémantique donne un sens à cette rime : la fureur divine provoque la terreur. -Le chiasme du vers 7 crée une impression puissante :

aujourd’hui c’est a mon tour/ De pousser la porte et voir le jour». (l.29-30) En outre, l’homme dans le texte de Jean-Pierre Ferland cherche à protéger la femme qu’il aime. Dans la citation suivante : «T’auras jamais peur/Tant que j’vivrai/Même si je meurs» L’utilisation de la figure de style antithèse à pour but de montrer au lecteur que l’homme veut la protéger pour la vie entière, elle permet créer une effet d’importance. Bref, même si chacun cherche à protéger quelque chose, ils le font d’une manière opposée

renonce au monde pour lui, et qu’on n’ait plus d’yeux pour personne ? » b) Style oratoire : Rythme ternaire  mieux imprégner l’auditeur de ce qu’on veut lui monter. Comme un avocat plaidant. c) Métaphores : la mort « s’ensevelir » « être mort » Antithèse « mort  jeunesse » d) Référence au droit : Retournement de l’argument du droit : il se bat pour l’intérêt des femmes, pour leur égalité. e) Inexplicable, victime : « Les inclinations naissantes ( =début séduction, attirance), après tout

même) et il connait une absence de reconnaissance littéraire... (...) Le lieu est représenté par des éléments du décor marqués par une réelle négativité. Certains connotent le thème de l'enterré vivant : «enterré» (v.5), avec un enjambement et une antithèse avec «vif». L'auteur parle aussi de «pierre» (v.13) qui signifie la pierre tombale, ajouté à cela, le mot «sous» et la ligne de pointillés qui est une représentation graphique de cette pierre tombale. D'autres suggèrent une matière sale, dégoûtante

ailée » il se déplace facilement d’un point a un autre de la terre, il n’a peur de rien « hante la tempête et se rit des archées » cette métaphore désignant les hommes affirme qu’ils ne lui font point peur, il est téméraire et ne crains rien. Il y a le monde d'en haut et le monde d'en bas et la communication entre les deux est difficile, c’est parce qu’il c’est trop rapproché des hommes qu’il fut capturé. Il ya une antithèse entre aisance et maladresse, Jadis roi admiré dans le ciel, il fait désormais