Antithèse Sur La Peur

de bougies allumées” “j'en ai allumé un tas pour avoir moins noir” → gradation descendante et métaphore → la vie de Mme Rosa qui s'eteint comme les bougies Métaphore implite du tombeau littéraire de Mme Rosa b- Le trou: sybole des enfers? “peur des rats” → lieu souterrain → catabase des grecs “je savais bien que j'allais en avoir besoin” “ je vais pas battre le record du monde des legumes” → reference à la guestapo, et aux hopitaux, c'est a dire a ceux qui veuelent la faire vivre une vie

domine, marque le territoire, il y a des antithèses : rosefumier, orcendres. On passe d’un extrême a l’autre, métamorphose brutal des situations, illusion que peut avoir l’homme d’être tout puissant, riche => inversement des rôles, pouvoir inexorable. La mort ne peut être arrêtée, domination de la mort. On ne peut lutter contre cette mort, elle touche tout le monde, le poète ne peut agir contre cette fatalité. Peur, nuit, mort, angoisse…, évocation de la peur « doigts osseux, noirs grabats » On

      ex : les aristies violentes et orgueilleuses. 3. Les héros sont mus par des passions qui expliquent le recours à la force.       ex : la colère et le chagrin d'Achille, l'orgueil pour tous. [pic]  Antithèse : mais cette force est condamnée... A.  La force brutale est assimilée à une passion néfaste, et donc à une faiblesse.       ex : l'ivresse funeste de Patrocle au combat, les manifestations extrêmes et passionnelles d'Achille

superstitions populaires comme les sorcières et les monstres. Montre que c’est un personnage peu instruit, peu érudit, ancré dans l’obscurantisme. -Cette idée est reprise à la ligne 32 lorsqu’il évoque les « courroux du ciel ». Prouve que S choisit par peur, il est sous l’emprise de l’obscurantisme religieux, et ne choisit pas par conviction. - «  Cela m’est sorti un peu bien vite de la bouche » m’= S est COD. Il ne maitrise pas le flot de ses paroles. Parle plus vite qu’il ne réfléchit. N’arrive pas

pour lui demander si elle connaît des sentiments humains l’angoisse, la haine, la peur ou la souffrance. Il développe tout au long des 4 premières strophes un jeu d’images fatalistes qui sont censées infliger de la pitié vis-à-vis de l’ange et qui renvoient à cette idée de prière. De suite dans la suivante, la maladie apparaît pour enfin, dans la dernière de ces quatre strophes revenir au sentiment relié à la peur, associée à la terreur du temps qui passe, de vieillir sans que rien ne puisse être

leur appartient pas « nuire à notre bonheur » d. La volonté de vengeance des Européens Cette volonté est méprisable. Le vieillard décrit la réaction de Bougainville (ressentiment très fort de Bougainville) Ressentiment très fort (bagatelle, antithèse) en opposition avec une chose méprisable volée. Page 1 sur 3 Lectures analytiques de Français – 1re S2 – Supplément au voyage de Bougainville (1772), Diderot – Chapitre 2 BILAN DE TRANSITION Le vieux est le personnage qui veut protéger les

a des antithèses : rosefumier, orcendres. On passe d’un extrême a l’autre, métamorphose brutal des situations, illusion que peut avoir l’homme d’être tout puissant, riche => inversement des rôles, pouvoir inexorable. La mort ne peut être arrêtée, domination de la mort. III- Sort de l’humanité On ne peut lutter contre cette mort, elle touche tout le monde, le poète ne peut agir contre cette fatalité. IV- Champs lexical de la mort Peur, nuit, mort, angoisse…, évocation de la peur « doigts

2. Les émotions. Peur : Le sort du cerf vers 30/31 le vers 38 qui insiste sur la gravité (intensité dramatique). On a une certaine révolte au vers 25/27 contre la reine par le verbe « étrangler » par rapport au Lion « Venez Loup.. » succession de l’impératif qui ordonne un châtiment cruel. Le fait même qu’il y est un flatteur (puisqu’il dénonce) « Et soutint qu’il l’avait vu rire » la conjonction de coordination plus le verbe « soutenir » peur donner un sentiment de révolte par

Terreur, pitié, catharsis. Thèmes : Fatalité, destin, mort, puissances des passions, désespoir, amour impossible, dilemmes, menace, châtiment. Procédés : Champ lexical : fatalité, mort, passion désespérée. Figures de style (d’opposition) : antithèses, oxymores. Dilemmes tragiques. Écriture peut être en vers. Genres : Tragédies, romans. Épique Person. héroïque voire surhumain, traverser des obstacles gigantesques. Univers démesuré où s’exercent des forces colossales. Effets : Étonnement

que celui pour lequel Clindor aura été puni. Nous avons un champ lexical lié à la mort très abondant dans cet extrait « meurtrier », « trépas », « à la fin de ma vie », « mort », « châtiment », « meurtre » qui nous font comprendre que Clindor a peur de mourir et est obsédé par sa mort. Le fait qu’il fasse un cauchemar dans lequel il meurt « Dans le sein du repos je suis à la torture : 
Au milieu de la nuit, et du temps du sommeil, 
Je vois de mon trépas le honteux appareil” démontre que Clindor