Antithèse Sur La Peur

pour expliquer son attitude volage. Il dépeint et met en évidence la séparation dans l’opposition entre honte et amour qui au départ est une fausse excuse. On voit l’honnêteté du personnage car petit à petit, il prend conscience qu’il a réellement peur, Ensuite, il a une vision concrète de son supplice qui est construite par : - l’alexandrin du vers 1279 - les termes «honteux, sinistre, insolent, fatal, funeste…» - l’anaphore «je» - l’emploi important de verbes - les mots tels que «esprit»et «raison»

-Indications de lieux disposées en chiasme accentuant l’effet de piège -> issues bloquées : « tout espoir de fuite fut donc interdit » l.17-18 I.2) -Champ lexical de la terreur/violence : l.3 « se laissa couler » = métaphore pour la peur de la vieille fille, elle est liquéfiée de peur ; l.20 « son horreur » ; l.21 « épouvantable » ; l.28 « des cris de terreur » ; l.31 « horrible et majestueux » = oxymore. -Rage dont est pris Vautrin -Caractère terrifiant de la scène grâce à la présence d’armes bruyantes/menaçantes

-L'utilisation d'hyperboles=(li.3) " 2ou3 milles hommes",(li.25) "5 ou 6 milles mourants",(li.20) "nous déchire en mille morceaux". La guerre est une expérience de violence incontrôlée. 2) Une entreprise insensée Il y a une antithèse entre le nombre de victime (li:21) et le nombre de commentaire(quelque millier. L'emploi du mot caprice infantilise les chefs d'états, la guerre est faite pour des motifs personnels et non politiques. L'adjectif "prétendues" 'li.28) insiste sur

auparavant. On voit donc la position de supériorité d’Enée en ce début d’affrontement, mais son rival riposte « tes paroles provocantes ne m’effraient point » il poursuit « ce sont les dieux qui me font peur » afin de déstabiliser Enée en lui montrant que ce n’est pas lui qui est la cause de sa peur. On voit que son temps de parole est plus réduit que celui d’Enée, mais est plus impulsif que lui, c’est ainsi qu’il lance une attaque contre Enée, qui va donner lieu à une description assez hyperbolique

(Sc.3, 1h) Supports : Les poèmes vus dans les deux séances précédentes. Travail préparatoire : -Relevez les figures de style dans les six poèmes étudiés. 1. Correction du repérage Texte 1 Moins je la vois, certes plus je la hais : >>> antithèse Plus je la hais, et moins elle me fâche. Plus je l'estime, et moins compte j'en fais : Plus je la fuis, plus veux qu'elle me sache. >>> anaphore En un moment deux divers traits me lâche Amour et haine, ennui avec plaisir. Forte est l'amour

menace et nous dit : " Souviens-toi !Les vers ont une allitération en D et N qui reprend le rythme d’une horloge, doigt = métaphore de l’aiguilleProsopopée et discours directPronom « nous » x2 montre que le destinataire = tout le mondeImpératif qui fait peur et donne des ordres, obligation, on doit se soumettre au temps qui passe et à son autorité, registre didactiqueNous = tous les hommes, c’est universelTutoiement : adresse directe et individuelle à partir d’une généralité universelleLes vibrantes Douleurs

pouvons ensuite trouver une comparaison, à la ligne 16 : « Les deux autres se sont approchés de moi, par derrière, comme des chats ». Cette comparaison aux chats insiste sur le côté chasseur, et connote la sournoiserie.Pour finir, on observe une antithèse à la ligne 20 : « L’homme au chapeau à trois cornes les époussetait doucement avec sa grosse main ». Il y a un fort contraste entre « doucement » et « avec sa grosse main », on peut comprendre que l’homme est appliqué à sa tâche.Avec tous ces éléments

sait à qui il s’adresse => Apostrophe Agnès => Il se place en prédicateur dès ce moment là * Il annonce que les femmes sont légères et qu’elles sont infidèles CL libertinage « fredaine » « coquette » « jeune blondin » « libertine » => Peur du cocufiage b. Un égoïste * Le mariage est bon pour lui uniquement => Adjectif Epithète « austères devoirs » =>Toute notion de plaisir est exclue pour elle * Il a le pouvoir absolu, toute la supériorité est incarné à travers lui

lettre XXX vise société parisienne, exerce curiosité naïve et indiscrète. Problématique : En quoi cette anecdote porte elle une valeur satirique ? Plan : Mettre en scène la curiosité parisienne, un récit anecdotique construit sous la forme d'une antithèse ( l1-8, l12-18), et la personnalité du persan. La satire des mœurs, la satire du mouvement hâtif du badaud, et une société superficielle I/ A) L.1-8 anecdote début " lorsque " Référence à 2 lieux de l'époque l.3 " Tuileries " l.4 " spectacle "

"échafaud". On peut aussi assimiler les mots "crépuscule", "ombre", "dirait", "tremble", "recule" comme ceux qui nous font entendre le frisson de la peur. Mais maintenant cette vision apocalyptique laisse place à un cri de douleur et d'incompréhension. On observe d'abord une expression très lyrique de la douleur. On voit d'abord des manifestations de peur et de souffrance : "un troupeau frissonnant", "les peuples éperdus" ainsi que des visions d'horreur qui montrent un champ lexical assez développé