Antithèse Sur La Peur

la ponctuation, les phrases courtes puis l'énumération vers 1 et 2 de ce qui s'est déroulé. De plus, on retrouve le champ lexical de la mort qui s'assosie à l'arrivé de Ubu au pouvoir avec au v1 « mort », v5 « corps » v6 « tués » qui font écho à la peur du premier paysan et renforce l'aspect tyranique du roi. Du fait de cette rumeur, le roi Ubu est tout de suite montré comme quelqu'un de tranchant avant même d'avoir été exposé. Ce passage d'information ce clos sur l'adjectif « abominable » (v 9)mis

vue, d’une idée), antithèse (défense du point de vue adverse), 3ème partie regroupe les idées qui dépassent l’opposition de deux premières parties – Exemple : la politesse • Les arguments en faveur de la politesse, les raisons pour lesquelles tout le monde n’adhère pas et cette attitude et enfin, un « bon usage » de la politesse est il envisageable 3. Plan proprement dit • Plan alternatif ou plan binaire (exercice p.14) – Correspond aux 2 premières parties thèse et antithèse du plan dialectique

les figures de style - Les moyens linguistiques (subordonnées relatives, adjectifs, participes passés, compléments de nom…) Elle donne au récit l’effet du réel (psychologie des personnages, informations sur les lieux…) et crée une impression (joie, peur…) - Littérature - Publicité - Documentaires - Guides touristiques - Inventaire - Dictionnaires - Mots croisés… Injonctif Le T.I. donne des recommandations, des ordres, des consignes, des conseils, des directives… - Impératif - infinitif

Point de vue interne, on est dans la tête du personnage. 3- Registre : fantastique --) hésitation, doute : personnage est perdu --) ancré dans la réalité (Paris, description de lieux connus …) --) champs lexicaux de l’étrange, de la mort , de la peur --) description déformée de la ville et des gens --) inquiétant L57 « étrange » ; personnages comme fantômes : « « les conducteurs dormaient, invisibles », « le cocher ne répondit pas » L79 maisons ne rép pas L115, --) hyperboles : répétition +

constructions expressives | | | |- ironie, antithèse, hyperbole | | | |- interpellation directe

vengeance et car rythme lâché  Le poète est celui qui est inspiré et qui inspire après III) Le sens du texte et cet invincible désir d’être ailleurs  Titre du recueil + chp lex de la lumière et de la vue (v 14,19,20)  Pvr d’accéder à l’inconnu (antithèse v23,24)  Il a accès au sens caché et peut dc nommé ce que le vulgaire ne peut pas  Il voit, il éclaire et il nomme III) Le poète est rejeté : I°) rôle dévalorisant que lui accorde le vulgaire.  Opp entre le rôle de voyant, de mage que

intéresserons à l’auteur amoureux et souffrant. Dans ce poème le vocabulaire de la souffrance est omniprésent et il appartient au champ lexical de la maladie : « fièvre », « souffrir » et « langueur ». L’état amoureux du poète est contredis par des antithèses qui montre la folie dont il est victime : « Bonheur qui me fuit », « chaud, froid » et « front joyeux et langueur extrême ». L’intensité des sentiments et des sensations se révèlent par des hyperboles comme « furieux », « fatal » ou encore « extrême »

de vue du héros : J'ai repris l'extrait de Stendhal (Fabrice heureux en prison) et fait le lien avec Le Rouge et le Noir; j'ai terminé avec l'inquiétude métaphysique des héros des Frères Karamazov qui confère au roman son climat particulier II : antithèse 1) peinture des mœurs: je cite les théories de Zola dans Le roman expérimental et Maupassant qui dans la Préface de Pierre et Jean veut que les pensées restent cachées sous les faits comme dans la réalité. A la place, le romancier privilégie donc

durée Dans leurs yeux purs IX Les femmes les enfants ont le même trésor Dans les yeux Les hommes le défendent comme ils peuvent X Les femmes les enfants ont les mêmes roses rouges Dans les yeux Chacun montre son sang XI La peur et le courage de vivre et de mourir La mort si difficile et si facile XII Hommes pour qui ce trésor fut chanté Hommes pour qui ce trésor fut gâché XIII Hommes réels pour qui le désespoir Alimente le feu dévorant de l'espoir Ouvrons ensemble le dernier

; l'un renvoie à la nature du mot donc reste une simpe notion grammaticale tandis que "trop commun" renvoie lui, à quelque chose de courant, de banal. Jeu grammatical qui se poursuit sur le genre "féminin" du terme sur lequel il semble s'excuser de peur d'attaques féministes. Ce premier paragraphe énonce la position de l'auteur face à l'auteur face à la torture : "trop commun" montre qu'il s'oppose à cet acte de barbarie ainsi que le fait de s'excuser du genre du terme montre qu'il n'y adhère pas