Antithèse Sur La Peur

la révolution prendront exemple que Étienne de la Boétie Étienne de la Boétie, Discours de la servitude volontaire, 1576 Problématique I) L'horreur au service d'un tyran II) Un auteur concerné Lecture Dvpt: -I) A°Une tyrannie inconsidérable . antithèse (affaiblissez/plus fort 22), renforce le paradoxe, le tyran prend la force des gens qu'il tyrannise . oxymore 22, blâme du tyran (vision négative même dans moments positifs) . métaphore 16, le tyran s’approprie les biens en les volant . comparaison

taisez-vous », supporter les violences « vous pouvez lier mon corps, garrotter mes mains, gouverner mes actions », n’ayant pas le droit à la révolte. III-La victoire d’Indiana a)Un personnage plein de courage et de conviction - Courage => aucune peur ni faiblesse devant son mari qui la menace. -Maîtrise de soi => « digne et froid comme elle », « d’un ton glacial », « sans changer de visage » -Le colonel se laisse emporter par sa colère et a conscience de sa défaite : « il sentit qu’il avait tort

balancement, le rythme du v4 (3/3/3/3)Détail vestimentaire « le feston » : broderieElle « savait » qu’on l’observait et qu’elle produisait de l’effet :v14Importance du regard v8 et 104/ La bizarrerieFemme en grand deuil et pourtant coquetteOxymores et antithèses pour marquer l’ambiguïté « le plaisir qui tue »et hyperbole (mourir de plaisir)Douleur v2 et douceur v 8Deuil et plaisirTristesse et beautéMouvement et immobilité de la statueFroideur de la statue et feu du regard « où germe l’ouragan »Ella a l’air

définitivement« bas » moralement. Anouilh insiste sur le sentiment de lâcheté. L'enjambement entre les vers 25 et 26 met en valeur le mot « haine »;c’est la jalousie qui anime le roseau,ceux qui sont bas moralement ne supportent pas ceux qui sont grands. L' antithèse (opposition entre deux mots) entre « morne » et « allume » vers 26 « Son morne regard allume » souligne que le regard du roseau ne s’allume que par la haine. Le commentaire au vers 23 « II ne se fut jamais permis ce mot auparavant » souligne la lâcheté

chambre est éclairé par l’extérieur : pénombre. Opposions de la pénombre et de la clarté : mousseline blanche, électricité blanche. Contraste entre le bien et le mal : connotation morale. Le décors est symbolique, inscrit dans le roman, dans une antithèse, un dilemme entre deux monde : sa conscience et son devoir. L’extérieur, l’intérieur, personnage qui dors allonger et Tchen debout : opposition des corps, des lumières, du jour de la nuit …. La vision de la victime : « moins visible qu’une

comparaisons, des antithèses, des hyperboles, des anaphores, des gradations, … -Dieu donne la vie, lui seul peut la reprendre -On peut exécuter un innocent -la peine de mort n’a pas un caractère dissuasif La place de Grève Six semaines À partir du chapitre 18 Six heures Quatre heures Point de vue interne Indifférence à la souffrance du condamné Champ lexical de la mort, de la captivité, de la cruauté, de la laideur, de la souffrance… Beaucoup d’adjectifs qualificatifs péjoratifs Désespoir, peur et colère

HUGO FABLE OU HISTOIRE ( Les châtiments) > Présentés comme des hommes ! > Personnification Le loup, l'HORRIBLE LOUP qui fait peur aux enfants, Le loup maigre et cruel qui guette, Assassin précis, l'innocent Et l'emporte poissé de sang, Rentre au foyer le soir où les siens lui font fête Et s'écrie : " Vilains garnements, J'espère qu'aujourd'hui vous avez été sages ? Quand les petits loups sont méchants Jésus pleure dans les nuages. Votre maman n'a pas à se plaindre de vous ? " " Non

à peine dissimulés ; stigmatisation de leur ignominie • antithèse, 26 / noircissement de la culpabilité par un tel contraste b) aliénation à l’angoisse, qui génère la peur, qui se propage • symbole des mouches, des « ombres », 12 / les remords aliènent l’être, finissent par prendre toute la place, empêchent la lumière de passer • paradoxes, 26, 39 / processus fatal ; cercle infernal, vicieux, d’autodestruction • champ lexical de la peur, torpeur, 28-30 / pression terrifiante qu’engendre l’angoisse

puissances. Fable associ diff tonalité comme ironie ou la tragédie ironie : « je me dévouerai dc s’il le faut »ver30 le roi ne se sacrifira pa a la place des autre animaux. Tragédie : allusion à l’achéron(fleuve ds enfers) .morale :parallélisme et 2 antithèses. La fable se termine par une éllipse : le lecteur ne sait donc pas si la peste a disparu suite au sacrifice de l’innocent(l’âne) II ; Le rôle des animaux transposé par La Fontaine dans la Monarchie absolue Animaux : hommes et leurs relations

signification,,ces termes renvoient à la malhonnêteté,à la dissimulationà l’appauvrissement intellectuel et soulignent qu’à cette bêtise s’ajoute la vanité et l’effronterie Pas de description mais l’observation précise de quelques allusions -une double antithèse exprimée par des pronoms indéfinis qui s’opposent-reprise d’un substantif par un pronom indéfini-une assonance basée sur la répétition du son ‘en’La première « celui dont il lui y échapperait de dire ce qu’il en p