Antonymie

voir ce qu’est le réel. Mes perceptions s’intercalent entre moi et le monde. La perception doit-elle être conçue comme pure réception d’informations venants de l’extérieur ou bien , est-elle constituée par une activité du sujet pensant ? A cette antonymie ( opposition ) , l’empirisme a répondu par la première position : l’expérience sensible est à l’origine de toutes nos connaissances. Pour l’empirisme , toutes nos idées dérivent de l’expérience. La thèse de l’empirisme : ‘’ Il n’y a rien dans l’entendement

(répétition de l'adverbe « maintenant » (v.1-9) insiste sur ce présent d'énonciation) → Soulignée par le « mépris de Fortune » (v.1) / « la Fortune est maîtresse de moi » (v.9) ; l’ « honnête flamme » (v.4) / « divine ardeur » (v.13) + Jeu sur les antonymies « doux plaisirs » (v.5) / « mille maux et regrets » (v.11) ; les Muses au lieu de danser avec le poète s’enfuient à son approche ; « désir de l'immortalité » (v.3) / renoncement résigné « De la postérité je n’ai plus de souci » (v.12) – Sa souffrance

bien faut-il les différencier, voire même les opposer ? Mais alors, y a-t-il une irréconciliable dualité en l'homme ? Plan : 1. Il y a synonymie, car désirer et vouloir c'est se consacrer de tout son être à réaliser une tendance. 2. Mais il y a antonymie, car la volonté nous permet de refuser ou de maîtriser nos désirs (stoïcisme). 3. Finalement, vouloir, c'est désirer ce dont la satisfaction dépend effectivement de nous (Descartes) ; c'est désirer ce que l'on peut sous le gouvernement de la raison

Maintenant). Cette coupure radicale est soulignée par des reprises de mots: le “ mespris de Fortune ” est repris au v.9 par “ la Fortune est maistresse de moy ”, l’“ honneste flamme ” (v.4) est rappelée par la “ divine ardeur ” (v.13). Jeu sur les antonymies : aux “ doulx plaisirs ” (v.5) répondent les “ mille maulx et regrets ” (v.11) ; les Muses au lieu de danser avec le poète s’enfuient à son approche ; au “ desir de l'immortalité ” (v.3) succède le renoncement résigné du v.12 (De la posterité je

l’histoire même de la construction du Temple du roi Salomon. L’une des colonnes était haute, l’autre était large. Ainsi, que serait donc la verticalité sans l’horizontalité ? Je me mets à l’ordre. L’ordre n’est rien sans le désordre. Encore une antonymie, une dualité, … Deux colonnes symboliques Je ne sais ni lire, ni écrire. Je ne sais qu’épeler. La colonne J se nomme J A C H I N et la colonne B, B O A Z. Je ne les connais pour l’instant que par leur première lettre. Dans le Temple de Salomon

signifié. Exemple : Rhume/Rhinite. Mais malgrè leur signification identique ces deux termes ne sont pas employés au hasard, et dépendent du contexte. Un médecin dira "Vous avez une rhinite", mais nous nous dirons à nos amis que nous avons un "rhume". Antonymie : C'est le contraire d'un mot Beau/laid. Les antonymes dépendent essentiellement du contexte. EX : " J'ai une belle bronchite", ici le contraire de belle n'est pas laide mais petite ou légère. Polysémie/Monosémie : Monosémique : Le mot ne possède

contemplation du regard de la femme. L’homme dévisage la femme et se perd dans sa contemplation. Les 2 Tercets : Vers 9 --> Résumé méthaphorique de la rencontre. On voit un éclaire ( -> rappel au vers 7 «ouragans» ) puis la nuit -> rapidité -> antonymie -> Il suggère un coup de foudre . (éclaire puis la nuit … ) La nuit symbolise l’absence --> retour brutal au réel. «Puis» --> enchainement trop rapide de ses états (…) (v.9) --> Ellipse --> répercutions intérieur du regard -> rapidité de la rencontre

Vers 283 à 284 : « d’un incurable amour remèdes impuissants ! En vain, sur les autels ma main brûlait l’encens » = vers 283 = chiasme car l’amour est incurable autant bien physique que mental. Victime de cet amour renforcé par les négs lexicaux par antonymie qui forme ici des hyperboles « incurable » et « impuissant » = elle est victime et tout reste dans l’échec. Dans le deuxième mouvement, tout est voué à l’échec.· La locution adverbiale « en vain » = renforce le fait que ça ne sert à rien de se battre

dessinés - broussailleux - cassés - caves - creuses - droits - empourprées - en accent circonflexe - granuleuses - lisses - pâles - pleines - relevés - tombants - touffus - veloutées 4) Associe les adjectifs suivants par antonymie. Pour chaque groupe, écris la partie du corps qu’il concerne. Un ANTONYME EST …………………………………………………………………. blême – avancé – bronzé – charnues – chétif – costaud – élancé – enfoncés – exorbités – fuyant – minces – trapu. 5) Trouve

préciosité du roman, voc > carte du tendre. Le parfait amant doit avoir une attitude irréprochable. · Conclusion encore sous forme d’opposition avec //isme de construction et antonymie > «  agitation  ». Dilemme exposé précédemment et les sentiments contradictoires l’expliquent. · Conséquence : « sans répondre  » > absence d’action car indéterminée. >