Anzieu Moi Peau

contre l'angoisse provoquée par la découverte de la différence des sexes. Refusant d'admettre la réalité, l'enfant continue de croire à l'existence d'un pénis féminin, puis attribue son absence à une castration.> Selon Anzieu, quelles sont les différentes fonctions du « Moi peau » ? Une instance, une figuration dont le moi de l'enfant se sert au cours des phases précoces de son développement pour se représenter lui-même comme Moi contenant les contenus psychiques, à partir de son expérience

corps » Le corps d’une part fonctionne comme défense (rempart), d’autre part suppose une polarité « intérieur »/ « extérieur ». Le corps joue comme frontière. Il intervient pour établir le partage entre l’intériorité et l’extériorité (cf. Anzieu ; le « moi-peau ») IV) 3ème affirmation : 3ème élément : Le corps Le corps comme rempart (« défense ») contre la pensée. Quelle utilisation font-ils de leur corps ? Le corps ici est un corps fantasmé ‘(ce n’est pas le corps comme organisme physiologique

nous disserterons à perte de vue. Mes yeux te voient et à force de te voir et de te regarder encore, ils finissent par saisir de ta présence une conscience qui est ma connaissance de ce que tu donnes à voir de toi. L'œil, au même titre que la peau, la bouche, l'anus et le sexe serait-il le lieu d'un plaisir d'organe dans l'élaboration de la sexualité infantile ? Il fait jouir de voir et fait s'angoisser de ne pas voir. A défaut de pouvoir affirmer que l’œil est un organe sexuel au sens d’une

actuelle sur les états limites, le manque de membrane, de peau pour protéger l’état limite. 1926 : inhibition/symptomes/angoisse : prototype de tte situation traumatique, celle de la détresse du bb privé du pare excitation, d’un environnement insécure. Freud ajoute le bb n’a pas le choix face à ce déferment d’excitation qui rend le moi corporel du bb (qd un bb va mal, c’est son moi corporel qui est impacté, c’est un moi peau pour Anzieu), la seule solution pour le bb de mettre des digues : mise

psychanalyse « L’inconscient produit partout et toujours des effets contre lesquels les hommes ne cessent de se défendre, ou qu’ils interprètent faussement, ou encore qu’ils cherchent à manipuler par des voies obscures pour un profit supposé. » D. Anzieu, Le groupe et l’inconscient. Au départ, il y eut un petit groupe : le groupe du mercredi. La théorie est née des échanges de Freud avec son ami Fliess, relayés ensuite au sein de ce petit groupe, à Vienne, composé d’intellectuels, beaucoup d’origine

INTRODUCTION Je travaille sur des structures d'accueil d'urgence depuis 7 ans comme maîtresse de maison. J'ai précédemment occupé un poste de responsable d'entreprise dans la restauration rapide dans lequel j'ai accompagné des jeunes majeurs dans leur insertion professionnelle. Au fil de mon parcours, après un baccalauréat médico-social, un emploi dans le secrétariat et pour terminer la gestion d'une équipe en restauration. Je me suis orientée vers le poste de maitresse de maison qui me correspondait

l’image de soi mais aussi de celle que l’on donne à voir à l’Autre. Didier Anzieu a élaboré le concept du « moi-peau » pour définir l’enveloppe psychique que constitue la surface du corps, le lien corps-moi permet la structuration du sujet, rejoignant ainsi les travaux de Winnicott pour qui le moi se fonde sur un moi corporel. " Le Moi-peau apparaît tout d’abord comme un concept opératoire précisant l’étayage du Moi sur la peau et impliquant une homologie entre les fonctions du moi et celle de notre

Plus encore, la voix est fugitive, elle est ponctuelle, au moment où elle est reçue, elle n’existe plus (perte). Anzieu, psychanalyste français, parle de « moi-peau psychanalyste » qui serait une pulsion du contact. Il décrit l’être humain comme un individu qui est dans des enveloppes successives, soit un système d’enveloppe psychique. 1) enveloppe de la mère, 2) enveloppe de la peau, 3) enveloppe des vêtements, 4) enveloppe de la demeure. Dans ce système, la voix est le bain sonore à notre enveloppement

tende à s’y enliser dommageablement en retombant en série dans le même genre de 64 pièges. » Il ajoute plus loin : « On peut considérer que tout se passe comme si l’analyste venait alors se coller lui-même, sans pouvoir s’en différencier, dans la peau psychique fantasmatique 65 de son patient, à la manière d’un parasite. » J.B. Pontalis voit lui aussi dans les mouvements contre-transférentiels avant tout des réponses, réfractées par la propre fantasmatique de l’analyste, aux mouvements 61 62 63

décharges. L’enfant satisfait et apaisé, souhaitera que l’évènement se renouvelle. C’est donc grâce aux soins notre mère et de la manière dont elle les a prodigués avec amour, que nous avons pu avoir une enveloppe psychique dont parle Anzieu D Anzieu D. (1985), Le moi-peau, Paris, Dunod, 2è éd. 1995. Un bébé ne peut survivre tout seul d’où la nécessité de l’intervention de l’adulte. Le besoin vital physiologique petit à petit va se séparer de la fonction purement alimentaire et devenir désir de l’objet