Apologétique

Wainwright lorsque Rosasharn est en train d'accoucher. On en comprend aisément que plutôt que de sombrer dans la violence face à l'injustice, l'homme a de quoi alléger le fardeau de l'iniquité et les affres d'une extranéité adverse et hostile. La visée apologétique de Pascal est à souligner ici d'autant que la concupiscence humaine n'est critiquée que pour laisser transparaître l'horizon d'une pureté possible avec une élévation permise par la morale et la vertu constitutives de l'être chez l'homme. Si Athéna

les idées des philosophes véhiculées par l’entreprise éditoriale de l’Encyclopédie : déisme, matérialisme, tolérance => Indifférence et relativisme. Ils se battent avec l’arme des philosophes, la raison, pour défendre le dogme. La littérature apologétique qui en découle est très variée, l’effort est constant mais cela n’empêche par le climat spirituel de changer et d’acculer les jésuites à un rôle de contre attaque. Le « journal de la Trévoux » par exemple, fondé en 1701 par des pères Jésuites,

génération » et « espérant qu’au moins… ») permet de centrer clairement le dispositif sur le sujet. Aussi au discours supposé objectif de Rousseau se juxtapose une certaine subjectivité. Cela est vrai particulièrement là où le discours a une intensité apologétique: « ayant vu toute la génération présente concourir à l’œuvre des ténèbres dont il était l’objet », ici Rousseau éprouve le besoin de défendre JJ en rapportant ses paroles exactes lorsqu’il se croit menacé d’un complot. Or la certitude paranoïaque

on connaît le talent comique, fait toujours pencher la pièce du côté de la farce. Ainsi, après la disparition de Dom Juan qui inspire à tous horreur et terreur, Sganarelle ne trouve mieux à faire qu’à se lamenter sur ses gages. Tous ses efforts apologétiques finissent de manière dérisoire, et Dom Juan, qui devrait en être le premier convaincu, est de fait toujours le premier à les prendre en dérision. « Voilà ton raisonnement qui a le nez cassé », dit-il à la fin de la scène 1 de l’acte III. Face au

l’emphase sur le problème israélien : «  la question qui devait devenir déterminante était celle d’Israël » dont «  la France ne pouvait admettre la disparition ». Abel Thomas base sa version de l’affaire sur la même idée dans un livre fortement apologétique au titre significatif : Comment Israël fut sauvé. Naturellement, Merry et Serge Bromberger plancent eux aussi la crainte d’une élimination d’Israël parmi les considérations majeures des Français Jean Martin souligne que «ce qui va beaucoup aider

lecteurs français de Don Quichotte : Pierre Perrault, Saint-Evremond, Charles Sorel comiques offrent un répertoire de caractères humains et critiquent leurs défauts d’une manière divertissante qui attire les lecteurs. Néanmoins, le projet apologétique et l’évaluation positive du genre romanesque comique ne s’applique pas à Don Quichotte de Cervantès, qui devient une cible de critique de Charles Sorel. Sorel met en relief les insuffisances du roman de Cervantès dans ses Remarques sur les XIV

constante et en recherche de gloire, ce que soutient Hobbes dans « Léviathan ». L’autre étant qu’il est essentiellement bon et se suffisant à lui-même, comme le suggère Rousseau dans « Du contrat social »,  En premier lieu, Hobbes présente une vision apologétique de la société actuelle qui s’explique par le fait que sans cette société, cet homme naturel qu’il dépeint d’un portrait extrêmement pessimiste ne peut agencer lui-même aucune structure lui permettant d’évoluer. C’est selon lui la peur du souverain

représente un danger réel que tous ses adversaires soulignent. Plus qu’un autre ouvrage il peut insuffler un esprit nouveau, mettre en cause des positions acquises. Il devient alors primordial d’ « étouffer la contagion ». Une importante littérature apologétique consacrée à la réfutation du DP s’échelonne de 1765 à 1772. Il s’agit de déconsidérer Voltaire et d’affirmer l’autorité de l’Église. La bataille ne se livra pas dans les traités, mais en adoptant des formes susceptibles de plaire à un public élargi

mensonge, illusion et perversion. Seule la foi en Dieu peut redonner à l’homme sa dignité. Si l’homme s’attache aux apparences du monde, il se perd et devient méprisable. Dés lors, au regard des deux derniers chapitres, se dessine une intention apologétique et les chapitres précédents étaient au service de cette véritable intention : «  […] ils ne sont que des préparations au seizième et dernier chapitre, où l’athéisme est attaqué […] ; où les preuves de Dieu […] sont apportées. » (Discours de réception

« Depuis des décennies, les chrétiens ne parlent presque plus que de relations humaines et oublient la valeur spirituelle du savoir et de la créativité ». La problématique de ce livre est justement de soumettre à l’appréciation du public, une lecture apologétique qui se voudrait être plus, un appel, à la concorde, à la bienveillance mutuelle, à l'entente amicale et fraternelle, entre les hommes de science et les hommes de la religion.  Dans certains cercles philosophes et scientifiques, nous dénotons des