Apologétique

vie éternelle ; et l’événement majeur est la Rédemption, qui réconcilie l’h à Dieu et donne tt son sens à l’histoire humaine. => La conversion n’est dc pas seulement un acte humain ; elle exige le concours de Dieu. - Foi et Raison : Œuvre apologétique > à ce titre, voulue par Dieu. L’apologiste peut convertir, mais il ne doit pas en tirer orgueil : il n’a servi que d’instrument à Dieu. > la corruption a frappé essentiellement la volonté. Perturbe l’exercice de la raison en refusant de croire

1797, essaiPublié à Hambourg chez J. F. Fauche et à Paris chez Le Mière • Atala, ou les Amours de deux sauvages dans le désert, Migneret, 1801, essai apologétique • René, ou les Effets des passions, Migneret, 1802, roman • Le Génie du Christianisme, 1802 • Les Martyrs, ou le Triomphe de la foi chrétienne, Le Normant (Paris), 1809, œuvre apologétique • Itinéraire de Paris à Jérusalem et de Jérusalem à Paris, en allant par la Grèce et revenant par l’Égypte, la Barbarie et l'Espagne, Le Normant, 1811

son parcours, témoigne de cet effet. Un prêche, donc, fin édifiante (litt apologétique = qui défend la religion et la morale). Se qui convertie lorsange : la peur d’un châtiment divin. Foudroiement de justine : mettre à l’épreuve les vertueux + preuve que la main de dieu peut s’abattre. Mais, rapidité de la conversion : trop rapide et trop extrême pour pouvoir être vrai : parodie de conversion, topos de la litt apologétique radicalisé et outré. + « Ô vous … » // p29-30 : effet de circularité. Commentaire

essentiellement sur la question des règles (invraisemblance du sujet, entorse aux bienséances du fait de l’impudicité de Chimène, critique de l’unité de temps, caractère trop épisodique du personnage de l’Infante…) Mai 1637 : Corneille écrit une Lettre apologétique dans laquelle il refuse de discuter sur le fond avec Scudéry et manifeste du mépris envers la hargne d’un ancien ami Juin 1637 : Scudéry en appelle au jugement de l’Académie française Décembre 1637 : publication des Sentiments de l’Académie française

plus convaincante qu'elle se nourrit de tous les vers précédents... Et c'est sur cette note émouvante que s'achève cette ballade où l'atrocité du traitement subi par les pendus, par contraste, rend les prières chrétiennes de Villon encore plus apologétiques...

René de Chateaubriand, bref récit à caractère autobiographique, paraît en 1802; il a été composé comme un épisode de la longue épopée des Natchez, mais détaché ensuite de celle-ci et inséré dans le Génie du Christianisme (ouvrage apologétique écrit pendant son exil et qui défend la sagesse et la beauté de la religion chrétienne, affectée par la philosophie des Lumières, puis par la tourmente révolutionnaire) pour illustrer le “Vague des passions”. *

1) L’existence De Dieu Même si l’Ecriture Sainte ne reconstitue pas une autorité en apologétique, elle nous éclaire sur la conclusion puisque raison et foi ne peuvent s’opposer. Cf. Rom. I : 18 En effet, la colère de Dieu se révèle du haut du ciel contre toute impiété et toute injustice des hommes, qui tiennent la vérité captive dans l’injustice;

l’Économie et le ciment de la société, achève d'énoncer le dogme libéral_ cependant Smith n'a jamais pensé que son système de libertés naturelles pourrait être pleinement mis en œuvre ni qu'il pouvait en faire des prédictions.•On lui reproche l'aspect apologétique de son approche et d'avoir sous-estimé le rôle de laTechnologie et des progrès des méthodes de production;Smith a contribué à détourner la réflexion du domaine politique vers celui de l'économie et de la sociologie et, ce faisant, à exclure les

Pulchérie (1672)  Suréna (1674) Varia  Au lecteur (1644)  Au lecteur (1648)  Au lecteur (1663)  Discours du poème dramatique (1660)  Discours de la tragédie  Discours des trois unités  Lettre apologétique  Discours à l'Académie  Épitaphe de Dom Jean Goulu Traductions  L'Imitation de Jésus-Christ  Louanges de la Sainte Vierge (1665)  Psaumes du Bréviaire romain  L'Office de la Sainte Vierge  Vêpres

constituer un alibi en rencontrant l'œuvre de façon superficielle, y compris parfois en multipliant la lourdeur des appareils méthodologiques ou en se réfugiant dans le traitement privilégié d'œuvres qui d'évidence formulent de façon explicite ou apologétique la dimension religieuse. La lecture anthropologique que nous préconisons et qui vise à fournir le cadre méthodologique sans exclure les dimensions mythiques et religieuses du discours littéraire, non seulement permet à l'enseignant d'assurer à