Apologétique

apparaître le contexte dans lequel Saint Augustin pense le temps. La question du temps s’insère dans le cadre théologique et même religieux et spirituel des Confessions (titre à prendre dans le triple sens de : aveu des péchés, profession de foi, apologétique et louange). Le temps est pensé par référence à l’éternité divine. La défense de Dieu, au ch. 10, répond à trois arguments (manichéens entre autres) qui rendraient l’acte de la création incompatible avec l’éternité de Dieu : 1/ que pouvait bien

l'enseignement d'Aristote et des péripatéticiens) avec la théologie chrétienne (héritée des Pères de l'Église et d'Anselme) Critique : Scolastique formate les esprits Pb : Comment concilier foi (révélation divine) et raison (philo gréco-latine) ? ( Apologétique (=raison et foi ne sont pas contradictoires) Saint-Thomas d’Aquin et la conciliation entre la religion et la foi (13e s) : culture profane antique ne s’oppose pas à la religion mais en était la préparation : les sages de la Grèce ont joué un

personnes les plus immédiatement concernées, les ecclésiastiques. Elle est faite dans la volonté de garder la mémoire des traditions propres. Une façon de s’assurer de ses identités. En même temps, cette histoire était fortement imprégnée d’objectif apologétique, c'est-à-dire qui cherchait à légitimer les propres raisons d’être, tout en prenant des distances, voire en dénonçant la façon des autres confessions, ou bien même à l’intérieur des églises individuelles ou d’autres courants et spiritualités. Si

cette ampleur suscite necessairement de nouvelles critiques, y compris des autocritiques, et projette theoriciens et militants dans un nouvel espace. Certains auteurs releverent ainsi chez les fondatrices du feminisme islamique des tendances apologetiques ; N. H. Abu-Zayd, M. Arkoun et R. Rhouni leur reprocherent ce qu’ils appelaient leur ≪ fondationalisme ≫, c’est-a-dire le fait de n’avoir pas su s’emanciper pleinement de la tradition intellectuelle (patriarcale) qu’elles pretendaient detruire

lance. Il existe peu de chroniques fiables sur cette période mal connue de l'histoire de la corrida. La bravoure du Cid Campeador face au taureau est célébrée non seulement par Paquiro dans la Tauromaquia completa et dans son « discours historico-apologétique des fêtes taurines », mais aussi par d'autres chroniqueurs de l'époque qui s'en font l'écho et dont Paquiro affirme : « Tous conviennent que le célèbre chevalier Rodrigo Díaz de Vivar, dit Le Cid Campeador fut le premier à avoir combattu les taureaux

didactique complexe élaboré par leur paratexte, ménagent plusieurs niveaux de lecture : leçon édifiante, puisque elles invitent à l’induction de lois morales à partir de la présentation de cas singuliers, frappants mais exemplaires ; méditation apologétique, quand elles mettent en évidence, en conclusion du récit, les signes, peut-être indéchiffrables mais irréfragables, de l’action de la Providence divine ; texte politique engagé qui, dans ses oublis apparemment les plus criants (la Saint-Barthélemy)

triangle arithmétique ; en 1666, ils prennent un privilège pour les « Fragments et Pensées... sur diverses matières » dont sortira en 1670 I'édition des Pensées, dite de Port-Royal. Les proches de Pascal sont d'abord déçus de trouver le grand projet apologétique si peu avancé ; ceux-ci comportent des textes manifestement étrangers à l'Apologie, par exemple sur les esprits de géométrie et de finesse, ou sur les miracles. Quelques repères permettent de se guider : vers mai 1658, Pascal a exposé les grands

l'élaboration d'une Apologie de la religion chrétienne, ainsi que d'autres textes dont le rôle vis-à-vis de l'Apologie n'est pas toujours certain. L'œuvre restée à l'état d'ébauche affichait donc un caractère fragmentaire après sa mort. Le projet apologétique de Pascal était non celui de prouver l'existence de Dieu, car il n'y a pas de certitude de Dieu; mais plutôt de démontrer que l'homme,dans son amas de concupiscence, ne peut trouver la paix intérieure et le véritable bonheur qu'en acceptant que

quatre exemples pour clarifier l’idée d’imagination dont le premier apparaît comme l’antithèse de l’interrogation oratoire qui précède. Le fragment se termine par une conclusion qui parachève le raisonnement et radicalise l’accusation de façon apologétique. Le fragment est placé sous le signe d’une instance autoritaire qui n’est pas dans l’hypothèse mais dans l’affirmation d’où l’utilisation du présent de vérité générale. A travers les exemples, Pascal donne à constater les vecteurs de transmission

godillot tiède, marque de leur indéfectible vulgarité. Pourtant quelques fragrances échappent à son écoeurement. Dans Croquis Parisiens, il chante un hymne fétichiste au Gousset déclinant les variations parfumées des aisselles féminines sur le mode apologétique et élégiaque. L’hiver au bal “le gousset exhale l’arôme du valériane d’ammoniaque et de l’urine, un léger fleur d’acide prussique ou une faible bouffée de pêche talée et par trop mûre ainsi que des extraits de fleurs et de poudre”. L’été, il fleure