Apologue La Fontaine Fable

texte une imitation de la fable 3 du livre III des fables de la fontaine intitulée « le loup devenu berger », qui se termine sur une morale qui pouvant penser à celle de notre poème : « toujours par quelque endroit le fourbe se laisse prendre » Effectivement, ce poème peut-être lu comme un apologue : au delà de la fable plaisante, il y a une véritable leçon qui est donnée Ø Problématique : l'écriture du pastiche et de l'apologue au service de la satire I- La fable: le masque A noter : ▪

Commentaire composé sur la Fable « Le philosophe Scythe » De Jean de La Fontaine Jean de La Fontaine est né en 1621 et est mort en 1695. C’est un fabuliste et poète du classicisme. Nommé à l’Académie Française en 1684 et prit part à la Querelle des Anciens contre les Modernes mais il a un goût pour les auteurs licencieux et les libertins italiens ce qui lui a été souvent reproché. Il s’inspire des fables de l’auteur grec Esope pour écrire celle qui l’ont rendu célèbre (il respecte ainsi les Anciens)

P1 L’efficacité de cet apologue dépend avant tout de la qualité du récit. P2 L’efficacité de cet apologue dépend aussi du traitement des personnages. A1 On trouve en effet une mise en scène dramatisée dans cette fable. I1- Ce court récit composé en alexandrins et en octosyllabes en rimes croisées présente un schéma narratif composé de trois parties distinctes : un homme est poursuivi par des voleurs (c’est la situation initiale);sur son chemin il rencontre un Torrent qui l’effraie ; il rencontre

Le Loup et l’Agneau est la dixième fable du livre I des Fables, écrites par Jean de La Fontaine en 1668. La Fontaine est un fabuliste classiciste du 17e siècle. Il a principalement écrit des fables mettant en scène des animaux et il dit : « je me sers d’animaux pour instruire les hommes ». Dans le Loup et l’Agneau l’auteur met en scène des animaux pour mieux évoquer les hommes. Elle met en évidence une réalité a portée universelle : le comportement de celui qui non seulement exerce sa violence sur

 La Fontaine et les Fables I- Histoire 1- La Fontaine a vécu au XVIIième siècle sous le règne de Louis XIII et de Louis XIV, le roi Soleil. 2- Le courant littéraire dominant est le classicisme. Les principaux représentants sont Racine, Corneille, Boileau, Molière.. 3- Un courtisan est étymologiquement une personne qui demeure à la cour du souverain. Cette personne cherche à plaire par la flatterie et essaie de gagner ses faveurs. Parmi les courtisans

Lundi 08 Novembre 2010 La Fontaine (1621-1695) : tenant des anciens, classicisme, fables. Il est opposé à Louis XIV, il s'est inspiré d'Esope. Son but va être de plaire et d'instruire. C'est un moraliste = il observe la société et montre comment elle se comporte, comment elle fonctionne. Il faut faire avec, pense La Fontaine. Il est le fils d'un maître des Eaux et des Forêts, ce qui peut expliquer son goût pour la nature, cadre de ses fables publiées de 1670 à 1693. Ami du surintendant Fouquet

La Fontaine est un poète • si la Fontaine n'est pas un poète, qui l'est ? • Si cela peut vous rassurer, j'ai mis une fable de La Fontaine dans ma séquence sur l'animal en poésie, aux côtés de Vigny, Hugo, Baudelaire, Leconte de Lisle, Apollinaire, Ponge... Il ne fait aucun doute que La Fontaine est un grand poète (comme Racine et même Molière !) Le sujet de bac incluant un texte de Charles Dantzig et des extraits de roman et de nouvelle n'affirme-t-il pas que "toute action humaine menée

Commentaires et analyses des fables de Jean La Fontaine par Chamfort . 1796. V. 1. La qualité d'ambassadeur. Ce M. de Barillon était l'un des plus aimables hommes du siècle-de Louis XIV. Il était intime ami de madame de Sévigné, à qui il disait : En vérité, celui qui vous aime plus que moi vous aime trop. Il avait te plus grand talent pour les négociations, comme on le voit dans les mémoires de Dalrimple imprimés de nos jours ; mais de son temps, il ne passait que pour un homme de beaucoup d'esprit

CONVERGENCES ENTRE LES CONTES ET LES FABLES Les contes (en l'occurrence philosophique) et les fables sont des apologues. C'est à dire des récits divertissants qui ont une visée symbolique. Fable : Récit imaginaire didactique, court récit, apologue, généralement en vers, dont on peut tirer une moralité Conte : Récit d'aventures imaginaires, histoires peu vraisemblables CONVERGENCES: Tout comme la fable, le conte est écrit de manière à être facile à lire et peut être compris par tout le monde, même des

nos jours Problématique : Etudes transversales et/ou thématiques : Découvrir les différentes stratégies argumentatives au service du thème abordé par les auteurs et leur efficacité sur le destinataire. Séquence 1 : Utopie et contre-utopie Des apologues Texte 1 : Candide ou l’optimisme de Voltaire, 1759, Chapitre XVIII, L’Eldorado, « Ils entrèrent dans une maison fort simple … Il est certain qu’il faut voyager » - Texte 2 : Georges Perec, W ou le souvenir d’enfance, 1975 chapitre 12 « Il