Arabe

illisible, purement esthétique. 1.2.2- L'écriture cursive L'écriture cursive est dite l'écriture Naskh. Elle se développe au Xè siècle avec l'introduction du papier qui permet l'essor du livre (les manuscrits sont au centre de la vie intellectuelle arabe) et elle se présente sous plusieurs formes. C'est un rapprochement des écritures coufiques et administratives, soit une écriture généralisée qui est utilisée de nos jours, par tous et dans le monde entier. – – Le nashk est une écriture simple

maisons d’édition locales commercialisent leurs publications sur le marché arabe. Cette tendance s’inscrit parfaitement dans la continuité d’une tradition historique consistant pour Beyrouth à jouer le rôle de maison d’édition du monde arabe. L’industrie locale du livre est en effet structurellement rattachée aux marchés de la région depuis les années 1950. Elle doit sa prospérité à la montée en flèche de la demande arabe générée par la croissance astronomique des recettes pétrolières, le rétrécissement

plurilinguisme de devenir un atout plutôt qu’un obs tacle ? Le Maroc, en tant que carrefour des civilisations et des cultures, a reconnu officiellement le plurilinguisme. Dans ce sens, le système éducatif marocain a adopté l’enseignement de la langue Arabe, du Tamazight, du Français, de1 l’Anglais et de l’Espagnol, de même que d’autres langues. Or, les enseignements- apprentissages se déroulent dans un cloisonnement opaque et sans que l’enseignement d’une langue ne profite des avancées didactiques

pas faite du jour au lendemain et sans problème. 1830-1883 a été une période de tâtonnement marquée par la mise en place de quelques « écoles arabes-françaises » ouvertes uniquement aux « indigènes »[1] dans lesquelles un enseignement de langue arabe est aussi dispensé. 1883-1922 a été une période marquée par une certaine résistance de la part des populations autochtones qui refuseront de fréquenter ces écoles. 1922-1962 est la période à laquelle les premiers effets de la politique coloniale

linguistique et pragmatique, on procède à une opération d’occultation du vrai problème qui est constitutionnel, dont les véritables enjeux s’appellent identité, rapports sociaux, religion et légitimité. En plus du dualisme interne à la langue arabe, commun à tous les pays arabes, qui se distingue par la variété dialectale de chaque pays et la variété littérale classique, le français a fait son apparition à travers la colonisation dans les pays du Maghreb et représente depuis, d’abord, la langue

française et arabe, en prend en considération le texte rédigé en arabe. En effet, dans la Constitution marocaine et plus précisément le Préambule, la langue officielle du Maroc est l’arabe. Cependant, certains textes publiés en langue étrangère sont pris en considération car l’arabisation de ceux-ci n’a pas été assurée. La preuve, la traduction des Grands Codes de 1913 a été entreprise que depuis quelques années. De plus, une loi ou un règlement est d’abord publié en français et ensuite en arabe. Cette

les fondements ont été figés par le grammairien Sibaweh (au II siècle après l'Hégire/ VIIIe siècle ap. J-C), l'arabe classique n'est la langue maternelle d'aucun Arabe et il se peut même qu'elle ne l'ait jamais été. Malgré un apprentissage long et douloureux, très peu de Marocains se sentent à l'aise à la lecture d'ouvrages en arabe classique et ils le maîtrisent mal à l'oral (les discours d'hommes politiques à télévision sont souvent truffés d'erreurs). En cause l'absence de vocalisation(4)

est,   à   ce   titre,   pertinente   pour   au   moins   trois   raisons  :     è  Une  première  qui  réside  dans  le  fait  qu’il  s’agit  d’un  auteur  de  culture  et  d’expression   arabe  dont  les  œuvres  sont  écrites  en  langue  française.         Cette   caractéristique   de   son   œuvre   peut   trouver   sa   cause   première   dans   la   situation   politique   de  

littéraire bilingue : traduction ou réécriture ? Le cas de Salah Guermadi salah mejri Université de Tunis 1, Tunis, Tunisie RÉSUMÉ L’expérience originale de l’écrivain tunisien Salah Guermadi, qui a publié certains de ses écrits simultanément en arabe et en français, représente une pratique permettant d’abandonner l’explication de la non-conformité des textes traduits et des textes originaux par l’attitude ou les compétences du traducteur. Puisqu’il s’agit d’un travail de réécriture, les textes

Non LA langue Arabe est apparue en tant que langue écrite au IIème ou IIIème siècle avant JC. C’est une langue sacrée car c’est dans cette langue que le prophète à reçu le message de Dieu. Le message de dieu ne peut être aux hommes qu’en Arabe. Un bon musulman essaye de lire le Coran en Arabe. L’Arabe devient alors une obligation interculturelle car il y a 1 milliard de Musulman et que tous ne parlent pas la même langue. L’arabe devient alors la langue véhiculaire. La langue Arabe a laissé dans