Arbitrage Inflation Chomage

Gains répartis de 3 manières: Augmentation des biens consommation entrainée par: -augmentation salaires -diminution prix -augmentation profits Augmentation soutenue pendant une ou plusieurs périodes du PIB réel (déflaté). Avec inflation | Sans inflation | Nominal | Réel | Courant | Constant | Valeur | Volume | Economies d'échelle: augmenter quantité produite permet de réduire les couts unitaires de production. Quant produite et cout unitaire. Types de rendements → Si rend

telles que : le revenu réel ou nominal et leur croissance (rôle de la monnaie dans les récessions de 1981-82 et 1990-91, dans la longue reprise qui a suivi et dans le cycle actuel ?) le taux de chômage (la politique monétaire peut-elle créer du chômage et peut-elle rétablir la situation actuelle de chômage élevé ?) l'inflation (comment les banques centrales sont-elles venues à bout de l'inflation et la victoire est-elle définitive ? Le changement d'orientation des politiques monétaires en fonction

manipulés par les autorités publiques de manière à  inciter les agents à investir, c'est à dire qu'ils étaient tirés vers le bas. Les taux d'intérêt réels étaient souvent faibles, voire négatifs A partir du début des années 1980, la forte inflation et le fort chômage ont modifié le point de vue des pouvoirs publics. Les pouvoirs publics sont revenus à  une orientation nettement plus néo-classique de la politique monétaire : cela signifie que l'Etat intervenait moins sur le niveau des taux d'intérêt

| |(4) N^d ( w over p ) = N^o ( w over p) |(4') bar N > N^d | | | chômage | |Epargne / Consommation | |(5) S= S(r)

standard des économistes néoclassiques est avant tout un être parfaitement rationnel. Tout agent économique procède en permanence à des choix, des arbitrages afin d’atteindre son utilité maximale tout en tenant compte des contraintes (celle budgétaire pour le consommateur, les techniques de production pour le producteur) pesant sur lui. Ces arbitrages sont imposés par le contexte de rareté des ressources disponibles. Comprendre que les comportements économiques peuvent être analysés en termes d’arbitrages

Aux EU, le taux de chômage atteint 25% de la population active américaine en 1933: doc 1 Cette dépression mondiale montre que le libre fonctionnement des marchés peut aboutir à un désastre collectif. La crise a alimenté la réflexion sur la manière de concevoir l'économie. Comment des taux de chômage aussi élevés peuvent-ils survenir ? Est-il par exemple pertinent de se concentrer uniquement sur le marché du travail pour analyser les déséquilibres qui y apparaissent ? Ce chômage élevé a nécessairement

pour distribuer des ressources limites. Ces décisions affectent l’offre et la demande des services. Problèmes macroéconomiques : • la croissance économique représente la croissance en valeur des biens et services d’une économie • le chômage est la conséquence probable d’un recul de production (les entreprises produisent moins donc il auront besoin de moins en moins des personnes) • l’inflation fait référence à une hausse générale des prix à travers toute l’économie : si la demande

Introduction : le contexte économique Rejet de la théorie néoclassique puisqu’elle ne permet pas d’expliquer les crises profondes touchant la Grande Bretagne. Contexte économique chômage de masse qui restera toujours supérieur à 10% sur l’ensemble de la décennie La crise de 1929 vient aggraver la situation taux de chômage records de 20-25% de 08/1931 à 01/1933. Solution des classiques : rendre le salaire plus flexible et réduire les interventions de l’Etat. Damien DEJEUFOSSE Chapitre 1 : Pensée

variables telles que le taux de chômage, le taux d’inflation, le taux du déficit public. Ce sont certes des variables mais ce sont aussi des indicateurs économiques qui permettent d’évaluer la santé d’un pays. La macro est une science qui cherche à comprendre le fonctionnement des marchés à un niveau global et pour cela la macro étudie l’économie à travers des relations entre des grands agrégats économiques ex : relation entre taux de croissance et taux de chômage, la relation ici est évidente. Plus

un autre agrégat : les dépenses publiques (G). PIB = C + I + VAR STOCK + X – M + G – T (prélèvements obligatoires). Analyse conjoncturelle de 2012 : (qu’est ce qui a favorisé la croissance ?) Taux de chômage = chômeurs/actifs * 100 Consommation = O. Pourquoi ? Première fois depuis 1983 que le pouvoir d’achat des ménages diminue (Deleg pouvoir d’achat lexpress.com). On va être attentif aux prix des biens qu’on consomme au quotidien. Qu’est ce qui explique