Arbre de décision

totalement les préférences des consommateurs mais vont imposer un degré de rationalité et permettent une étude du comportement. Courbes d’indifférences sont convexes Le but est de savoir comment le consommateur va arbitrer ses différentes décisions. L’utilité totale est concave (grosse cloche). C’est l’ensemble des courbes d’indifférence. C’est l’utilité de la dernière unité de bien consommée. Loi de Gossen : Va en diminuant jusqu’à la satiété. TMS = Taux marginal de substitution=

fichiers, mais au final nous obtenons des résultats similaires. Nous avons choisi de mettre en compétition trois méthodes d’apprentissage pour illustrer notre propos : un SVM linéaire (Support Vector Machine), la régression logistique et un arbre de décision. Fichier Nous utilisons le fichier BREAST (UCI IRVINE). Il comporte un attribut classe binaire (tumeur bénigne ou maligne), 9 descripteurs, tous continus, et 699 exemples. Nous avons sélectionné 499 observations pour l’apprentissage, 200

département, division fonction, filiale, société caractéristique : du plan indicatif au plan informatisé Avantages : Suivit de l'avancement de l'organisation contrôle facile convergence des plans opérationnels et stratégiques aide à la décision et à la reflexion réalisation des économies gestion des changements Inconvénients : faux prévisionnement processus long et difficile cout de mise en oeuvre très élevé Le processus de planification 1 : L'analyse de la situation

française Introduction : Pour l'introduction nous allons vous parler de 4 points clef : → Le droit à l'environnement est un droit qui est à cheval sur le droit privé et public, il n'est pas défini (ex : un arbre est sur mon terrain -privé- et je veux le couper. Si cet arbre est dans une zone où sont espèce est protégée on ne peut pas le couper). → Il relève d'une politique volontariste, c'est à dire qu'il n'est pas ''obligatoire'', et donc le droit de l'environnement passe très souvent

l'arbre B+ d'ordre 1 suivant : 66 3.2) Insertion d'une clé dans un autre arbre 67 3.3) Coût de création d’un arbre B+ 68 Transactions 72 I. LE CONCEPT DE TRANSACTION 72 II. LES ETATS D'UNE TRANSACTION 73 III. EXECUTIONS CONCURRENTES 74 3.1) Ordonnancement 74 Reprise sur pannes Dépendances fonctionnelles Implémentation des opérateurs relationnels Bases de Données distribuées Systèmes d'aide à la décision Le modèle conceptuel Entité - Association INTRODUCTION AUX BASES

(Othello, évidemment, mais aussi échecs, morpion, puissance 4, Go, etc) : somme nulle : les gains d’un joueur sont exactement l’opposé des gains de l’autre joueur (ces gains peuvent donc être négatifs) ; information complète : lors de sa prise de décision (i.e. du choix d’un coup à jouer dans le cas qui nous intéresse), chaque joueur connaît précisément – ses possibilités d’action ; – les possibilités d’action de son opposant (c’est-à-dire les répliques possibles de l’adversaire dans le cas d’Othello)

besoin ; * Diffusion : l’information non diffusée ne sert à rien * Le passage de l’information - connaissance à l’intelligence économique est lié à l’action c'est-à-dire en intelligence économique l’information ne sert pas à l’action ou à la décision devient « baliverne » ; * Le feed-back est indispensable pour vérifier est ce que l’information à bien répondu aux besoins d’utilisateurs ; * La sécurité : garder confidentielles les informations stratégiques (sécurité de l’information

variables dont on a déterminer le pouvoir explicatif… • Les modèles causales (un même phénomène peut avoir plusieurs causes. • Les modèles d’aide à la décision : analyse de la décision, analyse coût/bénéfices et Bénéfices/risques. • Le modèle de prévision : anticipe ce qui va se passer de façon à prendre les bonnes décisions • Le modèle d’évaluation : évalue les choix, ex : évaluation lors d’une implantation, s’implanter ici plutôt que là-bas, car on aura de meilleurs résultats

de la qualité par approche système………………………10 6. Développer des relations mutuellement bénéfiques avec les fournisseurs………………………………………………………………...10 7. L'amélioration continue …………………………………………………...10 8. Approche factuelle pour la prise de décision………………………………10 V. Les outils de la qualité………………………………………………………………10 1. L’analyse de la performance ……………………………………………..11 a. Carte de contrôle………………………………………………………………11 b. La maîtrise statistique des procédés (MSP) (Statistical Process Control

Chapitre 1 : Le dialogue dans l'itinéraire de création de la réserve de biosphère. Quand le dialogue doit-il s'ouvrir ? * Un Dialogue en amont de la création de la réserve de biosphère Le dialogue doit s'ouvrir en amont de toute décision concernant le projet. L'ouverture du dialogue en amont du processus assure un degré d'engagement maximal et une mise en confiance des divers interlocuteurs et permet également une appropriation essentielle de l'objet du dialogue. La mise en dialogue