Argumentation Et Fiction

des fictions. Tout ou presque y est inventé. Ains i, on peut trouver de faux jour naux intimes, de faux souvenirs, d e fauss es lettres . Il peut aussi arriver que l’auteur s’inspire de sa vie pour en faire une fiction. C ertaines chos es sont vraies, d ’autres sont trans formées, d’autres s ont inventées. Quand un récit est écrit à la première personne, il f aut toujours s e demand er s’il s ’agit d’un récit autobiogr aphique (vrai, ou présenté ainsi par l’auteur) ou bien d’une fiction (d’un

ne devez pas mélanger ces trois notions qui sont très différentes : I. Le genre du texte On caractérise un texte d’après sa forme générale. Dans chaque genre, il existe des sous-genres. Roman : policier, historique, autobiographique, de science-fiction, de vie quotidienne, d’aventures, d’amour… Nouvelle : fantastique, réaliste, policière… Théâtre : comédie, tragédie, tragi-comédie, drame, farce… Poésie : en vers réguliers, en vers libres, en prose, calligramme… (voir fiche 3ème) Autobiographie (voir

QUESTION SUR CORPUS  Traite des nègres L’Encyclopédie : Il commence par une définition puis s’engage progressivement dans une argumentation (on ne reste pas que dans l’informatif) qui dénonce l’immoralité de l’esclavage (et du génocide des indiens). Cette dénonciation s’accompagne d’un éloge du libéralisme économique : il faut laisser ces peuples exploiter leurs terres pour qu’ils s’émancipent en prospérant économiquement. On est ici davantage dans l’essai, dans lequel l’auteur engage fortement

compassion, la femme parle de « ces gens-là ». À mon avis, ce dernier paragraphe est primordial, puisqu’il permet de persuader totalement le lecteur. À l’instar de Baudelaire, Jean Anouilh cherche à persuader le lecteur au travers d’une fiction. Il s’agit d’une argumentation indirecte. L’extrait de sa pièce La Sauvage commence in medias res, c’est-à-dire que l’action a déjà commencé. Il s’agit d’un dialogue entre deux personnages principaux, Thérèse et Florent, et un personnage secondaire, Tarde, le père

capacité de séduction qu'offre la peinture des univers exotiques. En deuxième lieu, nous verrons en quoi cette peinture renvoie, en creux, à notre propre monde. Nous tenterons en dernier lieu de mettre en avant l'efficacité et la force critique d'une argumentation qui passe par le détour de l'utopie. I. L'évocation d'un monde très éloigné du nôtre transporte le lecteur dans un ailleurs séduisant 1. Elle dépayse totalement le lecteur La littérature est peuplée de mondes très éloignés du nôtre. Cet éloignement

Depuis L'Histoire d'Hérodote, jusqu'aux actuels film de Science-Fiction, les mondes lointains, éloignés dans le temps ou dans l'espace fascinent. En quoi ces récits, pourtant à des années-lumières de notre réalité, nous amènent-ils à réfléchir à notre condition ? Nous verrons comment ils proposent des alternatives à notre fonctionnement, puis comment ce nouveau regard peut transformer notre perception. Évoquer des mondes éloignés dans le temps ou dans l'espace permet de proposer une alternative

quoi ça sert d'inventer des histoires, alors que la réalité est déjà tellement incroyable ? ». Elle a donc décidé, dans cet ouvrage, de parler de pourquoi et comment l'histoire de l'individu et celle du roman s'entrelacent dans ce noeud qu'est la fiction. Le premier chapitre traite de la naissance du Sens. Elle introduit cette thématique en parlant de son origine : le pourquoi . C'est en effet ce que nous avons, nous les humains, comme différence avec les autres espèces : nous savons que nous sommes

appelle des paroles au style direct « Voilà un bon oiseau », et trois autres scènes sont alors proposées au lecteur, dont l'auteur imagine les paroles. De même, trois fictions, introduites par l'hypothétique « si » s'achèvent par les réactions supposées de celui-ci. Le lecteur est invité à construire le raisonnement, dans une argumentation imagée et qui se veut efficace. Dissertation Selon vous le détour par l'Autre est-il un bon moyen pour dénoncer les travers de sa propre société ? I. Différentes

emblématiques de Racine : Britannicus. Les consignes étaient de jouer par binôme ou plus et d’interprété en changeant complètement d'univers. Il fallait quitter la Rome antique pour jouer dans une autre époque une autre civilisation ou même dans une fiction tout en adaptant le jeu d'acteur. La scène interpréter était l'affrontement entre Néron et Juni de la scène 3 de l'acte

présentation du personnage éponyme, père de Pantagruel dont les tribulations sont restées mémorables. Mais avant de s'y livrer, l'auteur se lance dans une apostrophe et initie le lecteur à une interprétation « à un plus haut sens » de ses joyeuses fictions condamnées par l'Eglise. Il apparaît donc essentiel de prendre en compte cette invitation adressée au lecteur, l'enjoignant de se rendre attentif aux multiples sens de l'oeuvre : c'est un texte crypté qu'il lui faudra parcourir. Quelle est donc