Argumentation Fabuliste

montre que face à plus fort que soi, rivalité ou résistance ne sont pas de mise »: il élargit donc la leçon et la fait devenir universelle; le recours aux arbres n'était qu'un prétexte. Quant à la fable de La Fontaine « Le renard et les raisins », le fabuliste interroge son lecteur: « Fit-il pas mieux que de se plaindre? ». En effet, face à la situation d'échec dans laquelle se trouvait le renard, la morale suggère que mieux vaut reconnaître ses faiblesses que vouloir, coûte que coûte, sauvegarder ridiculement

La cigale - Jean Anouilh Introduction Jean Anouilh XXème siècle dramaturge (Antigone, réécriture de Sophocle) et fabuliste "La cigale" fable qui reprend le thème de "La Cigale et la Fourmi" de La Fontaine (qui s'est inspiré d'Esope) mais Anouilh ne se contente pas d'adapter la fable du 17ème à son époque Anouilh en fait une création originale et lui donne une nouvelle signification = intertexte / pastiche Comment Anouilh transforme-t-il la morale de l'apologue de La Fontaine

élément de retour à la raison : Champs lexical du dépérissement A la fin, les membres se rendent compte de leur erreur, que ce qu'il «  croyait » était faux . Comparatif « Plus qu'eux » montre la supériorité de l'estomac . 2)Commentaire du fabuliste (V1-5) ont posé l'analogue entre l'anecdote de l'estomac et la royauté dc argument exemplaire pour dénoncer la réalité (V24) établit une transition entre le récit et la leçon : emploi du présent de vérité générale . Les éléments mis en cause

contraire, il sort vainqueur, triomphant de cette histoire puisqu’il reçoit un présent (v.51). Après avoir étudié la réaction du Cerf, nous pouvons enfin arriver à la conclusion que les courtisans sont crédules. Pour dénoncer cette crédulité le fabuliste se repose sur la satire. Nous apercevons mieux cette crédulité au vers 49 et 50. Les courtisans croivent sans méfiance à l’histoire contée par le Cerf, nous pouvons le dire grâce à l’interjection « Miracle apothéose ». Ils ne réfléchissent pas et

Introduction : Jean de La Fontaine (né le 8 juillet 1621 à Château-Thierry, et mort le 13 avril 1695 à Paris) est un poète, et romancier français. La Fontaine, au XVIIème, utilise ses fables moralisées pour dénoncer les différents abus de la société. Il personnifie souvent des animaux, en vue de leur donner une dimension symbolique pour que les lecteurs puissent faire un parralèle entre leur vie en société et la fable. L’une des plus célèbres fables, « Le Chêne et le Roseau », présente une double

lexical de la justice et de la religion. Lidée dominante est celle d’une justice injuste car la justice du conseil ne juge pas le crime mais prend position par rapport à la classe sociale. 2) L’ironie du fabuliste : L’expression « manger l’herbe d’autrui » nous permet de constater que le fabuliste met en avant une certaine ironie. Il met ainsi en avant l’injustice. Conclusion La Fontaine fait intervenir successivement différentes classes sociales dans son récit (Lion, Renard, Ane). On peut

que la morale exprime clairement : on voit beaucoup mieux les défauts des autres que les notre, que l’on oubli d’ailleurs souvent. Nous avons montré que l’utilisation des animaux permettait de rendre le récit plaisant et de masquer la satire. Le fabuliste Esope à lui aussi utiliser les animaux à son époque. Voulait-il exprimer lui aussi une critique sociale ?

constituent une somme de la culture classique latine et grecque, et s’ouvrent même dans le second recueil à la tradition indienne. ------------------------------------------------- Les Contes ------------------------------------------------- Le fabuliste a éclipsé le conteur. La crispation religieuse de la fin du règne de Louis XIV, et plus tard la pudibonderie du xixe siècle, ont mis dans l’ombre ces contes licencieux dont le défi poétique consiste à jouer de l’implicite pour (ne pas) nommer la

Le lion et le moucheron « Le lion et le moucheron » est une fable de Jean de la Fontaine, tirée du Livre II, extrait 9. Cette fable date des années 1668-1696. Jean de La Fontaine est un fabuliste appartenant à l'époque du classicisme. Dans ses fables il critique différents aspects de la société en personnifiant les animaux. Le titre, le lion et le moucheron nous informe sur la fable qu'il s'agit ici d'une opposition entre deux statuts sociaux, . I] Les caractéristiques de l'apologue

« phénix des hôtes de ces bois » Morale : apprenez que tout flatteur. Dimension théâtrale : décor minimaliste, et action centrale qui nous conduit à penser. Le corbeau représente l’être trahi, bercé dans un premier temps par ses illusions. Le fabuliste laisse le renard seul tirer la morale de cette fable en le laissant se moquer du corbeau, qui n’a plus le loisir ensuite de réagir. III Une fable moraliste, apologie de la moralité Où s’arrête la louange, et ou commence la flatterie ? a)