Aristippe de Cyrène

seule passion qui se paye d'une monnaie qu'elle fabrique elle-même. " (Stendhal) " On examine avec soin les objets dans les boutiques, mais quand il s'agit des gens, on les juge sur l'apparence. " (Aristippe de Cyrène) " La beauté plaît aux yeux, la douceur charme l'âme. " (Voltaire) " On ne découvre jamais mieux son caractère qu'en parlant de celui d'autrui. " (J. P. Richter) " Le coeur perçoit ce

bonheur, est facile à atteindre : il faut savoir se contenter de peu. Epicure souligne la condition du bonheur : l'indépendance. Les hommes fuient la douleur et recherchent le plaisir, mais tous les plaisirs ne sont pas bons (comme le pensait Aristippe de Cyrène) ; c'est la « raison vigilante » (l,23) qui permet à l'homme de se représenter les choses telles qu'elles sont et de se libérer des vaines craintes et de discerner entre les plaisirs désirables (naturels et nécessaires) et les autres, tandis

doit rendre heureux celui qui l'exerce. Cette école est fondé par le philosophe Grec Aristippe de Cyrène (4ème siècle avant J-C). Plus précisément Aristippe affirme deux thèses fondamentales : Seul le présent existe, le bonheur c'est donc la jouissance au présent. Tout les plaisirs se valent. Autrement dit tout les plaisirs sont équivalent, il n'y à pas de préférence à avoir. Avec ces deux principes Aristippe forge une règle permettant à l'homme d'être heureux facilement étant entendu que

bonheur n’est ni hors du temps ni dans l’impossible neutralisation du temps, est-il possible dans le temps et par le temps ? a) Une vie de plaisirs peut-elle être heureuse ? * Thèse de Calliclès dans le Gorgias * Les cyrénaïque (Aristippe de Cyrène) : hédonisme. Le bonheur est dans le plaisir en mouvement, donc il s’oppose aux épicuriens. Mais il est beaucoup plus modéré que Calliclès. Les petits plaisirs de tous les jours finissent par former le bonheur. b) Le bonheur dans l’action

des autres. Les fondations directes d'une philosophie hédoniste sont la curiosité et le goût pour l'existence d'une part, et d'autre part l'autonomie de pensée. 4. →Histoire Dans l’Antiquité, cette doctrine est associée notamment à Aristippe de Cyrène et au Cyrénaïsme, mais aussi à Épicure, bien que leurs définitions du plaisir soient légèrement différentes. En effet, Épicure rappelle qu'un plaisir excessif actuel doit être évité s'il conduit à une douleur future alors que les Cyrénaïques

à remplir une vie loin de toutes passions.L’absence de trouble (Atarxie) définie le bonheur épicurien,c’est pourquoi le poète latin Horace nous recommande de prendre le jour sans se soucier du lendemain (carpe diem : vivre au jour le jour,Aristippe de Cyrène : la recherche de tous les plaisirs) « On doit être le maître du plaisir mais le plaisir ne doit pas être notre maître «  Doit-on compter dans le bonheur que le seule plaisir sensible ? et le plaisir se réduit-il à la satisfaction des biens 

nous ne sommes pas les premiers à désigner le plaisir comme une signe évident de bonheur : un disciple de Socrate, Aristippe fonda ainsi l’école des cyrénaïques (du nom de la ville de Libye nommée Cyrène, où naquit Aristippe), qui prônait que le bonheur devait être identifié aux plaisirs sensibles, et non à une quelconque élévation spirituelle. S’opposant ainsi à Socrate, Aristippe affirmait que le bonheur, qu’on peut désigner comme l’absence de tout manque, était possible si on l’identifiait comme

plaisir et le bonheur tant et si bien qu’il suffirait de suivre ses désirs et de les satisfaire pour être heureux. Ex : L’Hédonisme radicale d’Aristippe de Cyrène (hédoné = plaisir en grec). Le plaisir produit équivaut au bonheur. Le but de la vie serait donc le plaisir définit comme « un mouvement doux accompagné de sensation ». Pour Aristippe, la seule réalité réside dans nos sensations actuelles. Il faudrait fuir les sensations désagréables et rechercher les plaisirs. Le plaisir serait en soi

philosophie de la notion de concept, ouvrant par là le chemin aux idées platoniciennes33. Disciples et continuateurs Il eut de nombreux disciples, dont Eschine de Sphettos, Apollodore et son frère Aïantodore ; Isocrate, pendant une courte période ; Aristippe de Cyrène, Antisthène, Cébès, Chéréphon, son ami d'enfance et assistant ; Ménexène, Simmias, Phédon d'Élis, MétrodoreNote 27, Xénophon, Euclide de Mégare, Alcibiade dès 431 av. J.-C., Charmide, Critias, Théétète d'Athènes, Criton et ses enfants Critobule

; c'est pourquoi on trouve du plaisir à recommencer souvent. " Prince de Ligne Retour liste des thèmes Apparence " On examine avec soin les objets dans les boutiques, mais quand il s'agit des gens, on les juge sur l'apparence. " Aristippe de Cyrène Aptitude " Un homme n'est pas bon à tout, mais il n'est jamais propre à rien. " Antiquité Chinoise Retour liste des thèmes Artisan de son sort " De tous les maux, les plus douloureux sont ceux que l'on s'est infligés à soi-même